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23/05/2012

Washington sur Seine ? Ces ministres de François Hollande qui ont été formés par les Américains

La French American Fondation est connue pour sa formation, les « Young Leaders », réservée à une dizaine de jeunes surdiplômés chaque année. Sur les huit socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François Hollande en 1996, six rentrent dans son gouvernement cette semaine. Le plus « atlantiste » n’est pas toujours celui qu’on croit…

Exit Alain Juppé, Valérie Pécresse, Nathalie Kosciusko-Morizet, Laurent Wauquiez, Jeannette Bougrab… Place à François Hollande, Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, Marisol Touraine, Najat Vallaud-Belkacem, Aquilino Morelle (plume du Président), etc.

« Enfin des têtes nouvelles ! » entend-t-on ici ou là. Nouvelles ? Tout est relatif, quand on sait décrypter la liste ci-dessus : en fait, tous ces « Young Leaders » de l’UMP ont laissé la place à des « Young Leaders » du Parti socialiste. Car François Hollande et Pierre Moscovici depuis 1996, Marisol Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006, sont tous des « Young Leaders ».

Tous ont été minutieusement sélectionnés et « formés » par ce très élitiste réseau Franco-Américain, inconnu du grand public, sponsorisé entre autres par la banque Lazard.

En d’autres termes, ils ont tous postulé et se sont fait parrainer pour être admis à suivre ce programme phare mis en place par la FAF, la French American Fondation. La FAF est elle-même un organisme à cheval sur Paris et New-York, créée en 1976 conjointement par les présidents Ford et Giscard d’Estaing. A noter qu’entre 1997 et 2001, John Negroponte présida la FAF, avant de devenir entre 2005 et 2007, sous Georges Bush, le premier directeur coordonnant tous les services secrets américains (DNI), dirigeant l’US States Intelligence Community (qui regroupe une quinzaine de membres, dont le FBI et la CIA).

Atlantico via Fdesouche.com

21/05/2012

14 mai 1948: indépendance d'Israël

Le 14 mai 1948, David Ben Gourion, président du Conseil national juif, proclame la naissance de l'État d'Israël.

Un si long chemin !...

Depuis vingt siècles, une partie la diaspora juive nourrissait le rêve d'un retour vers la Terre promise. Ce rêve prend forme en Europe à la fin du XIXe siècle sous le nom de «sionisme».

L'émigration vers la Palestine se développe dès l'époque ottomane et se poursuit après la Première Guerre mondiale alors que la province est passée sous administration britannique. La Palestine voit sa population dépasser le million d'habitants dont 335.000 juifs (1936).

Une organisation militaire, l'Irgoun, s'en prend aux Anglais et lance des attentats contre leurs forces armées.

Londres porte le problème devant l'Organisation des Nations Unies (ONU).

L'assemblée générale vote le 29 novembre 1947 le principe d'un partage du territoire entre deux États, l'un arabe, l'autre juif, au sein d'une union douanière, le secteur de Jérusalem et Bethléem étant quant à lui placé sous administration internationale (résolution 181).

Le mandat anglais prend donc fin le 14 mai 1948. Ce jour-là, conformément au plan onusien, les derniers soldats britanniques quittent la Terre sainte.

L'échec du plan de partage

Cette carte montre la Palestine sous mandat britannique partagée par l'ONU et finalement écartelée par les belligérants...

Après l'échec des offensives arabes, il ne reste plus grand-chose du plan initial. Les lignes de cessez-le-feu deviennent à peu de chose près les nouvelles frontières de l'État d'Israël.

Au même moment, toutes les armées des pays voisins (Égypte, Syrie, Transjordanie, Irak et Liban) se ruent contre le nouvel État...

Les Israéliens arrivent à refouler leurs ennemis et des armistices sont signés l'année suivante. Ils vont délimiter les nouvelles frontières d'Israël... de façon très provisoire.


Commentaires:

Louis (15-05-200821:57:27)

Les fondements de l'État d'Israël sont plus que discutables et en conséquence, discutés.
Se réclamer d'un retour sur un territoire 2000 ans après est déjà bien "tiré par les cheveux"...
Les Sionistes ont profité de l'après guerre,de la culpabilité des démocraties occidentales, des très puissants lobbies anglo-saxons, et d'une myriades de grandes et petites lâchetés.
Le monde arabe, encore sous tutelles, ne pouvait qu'être scandalisé par la création d'un Etat juif, sous la houlette des puissances coloniales et de la grande finance internationale.
Aujourd'hui, alors que les rapports de force démographiques, économiques et énergétiques ont radicalement changé, les conflits passés, présents et à venir entre Juifs sionistes et arabes ne cessent d'empoisonner la vie politique et économique des Occidentaux. Rappelons que les derniers conflits ont déclenché des chocs pétroliers que nos économies n'ont pas su surmonter.
L'Islamisme est nourri par les humiliations successives que les peuples arabes ont été contraints de subir de la part d'un État souvent arrogant et impérialiste, protégé par les puissants Etats-Unis d'Amérique.
Pour combien de temps encore?
Israël a des airs de citadelle assiégée;le compte à rebours a commencé le jour même de sa création. Qui voudra mourir pour cet État et ce peuple?
 

Louis (14-05-200703:37:36)

Bon resume mais qui a mon avis devrait rappeler les raisons de l'implication de la Grande Bretagne dans cette "ancienne province ottomane de Palestine" (cf premier paragraphe) et la maniere dont celle ci, les Etats Unis et les puissances occidentales ont interdit aux palestiniens de pouvoir participer aux decisions concernant leur propre pays apres que celui ci ait ete libere de la tutelle ottomane.

Il serait en particulier bon de rappeler qu'apres l'effondrement de l'empire ottoman pendant la 1ere guerre mondiale, le moyen orient continua a etre soumis aux ambitions coloniales des pays europeens, en particulier de la France et de la Grande Bretagne, et que c'est dans ce cadre que cette derniere se fit attribuer par la Ligue des Nations un mandat sur la Palestine, qui fut alors administree comme une colonie britannique, sans que ses habitants aient leur mot a dire et en violation des differentes promesses faites aux arabes pendant la guerre contre l'empire ottoman (cf divers episodes impliquant les princes Faysal et Abdallah et le fameux colonel britannque Thomas Lawrence, dit "Lawrence d'Arabie", entre autres officiels britanniques impliques dans la trahison de la parole donnee aux arabes).

A cette epoque le but de la Grande Bretagne, selon divers historiens britanniques, etait double: d'une part controler les territoires au nord est de L'Egypte et du canal de Suez, enjeu strategique tant militairement qu'economiquement, et aussi de controler le "pont terrestre" entre Mediterranee/Palestine et Golfe Persique/Mesopotamie, qui permettait a la fois de doubler le canal de Suez vis a vis de la desserte de l'Empire des Indes et aussi de controler les debouches des oleoducs a construire en provenance des champs petroliferes recemment decouverts en Mesopotamie, futur Iraq.

Il faudrait aussi rappeler que, dans le cadre de ce mandat, la GB divisa ensuite le territoire palestinien sous mandat entre d'une part, la Palestine cotiere, a l'ouest du Jourdain, et d'autre part la creation d'un nouvel etat artificiel a l'est du Jourdain, dans des etendues essentiellement desertiques, denomme initialement Transjordanie, aujourd'hui Jordanie, et concu pour servir de tampon a la fois vis a vis de la Palestine, de l'Arabie Saoudite et de la Syrie sous mandat francais (comme souvent, le gouvernement britannque montrait a cette occasion son gout pour la methode du "diviser pour regner", sans en prevoir les consequences desastreuses).

Des lors, on peut conclure qu'Israel fut cree a la faveur de la colonisation de la Palestine par la Grande Bretagne, initialement comme "foyer national juif" (cf declaration Balfour) puis comme Etat, en imposant unilateralement ces decisions fondamentales (mandat britannique, separation de la Transjordanie, creation d'Israel) aux populations arabes qui y habitaient, sans que celles ci puissent avoir voix au chapitre concernant l'organisation de leur propre pays, que ce soit de la part de la Grande Bretagne, de la part des nations qui voterent la decision a l'Organisation des Nations Unies approuvant le partage de la Palestine (dont la France), et de la part des colons juifs qui prirent l'initiative de declarer unilateralement l'Etat d'Israel le 14 mai 1948..

Il faudrait enfin mentionner que dans l'annee qui precedait le vote de l'ONU de novembre 1947 en faveur d'une partition de la Palestine, le ministere des affaires etrangeres ("State Department") des Etats Unis etait fortement en faveur du maintien d'un etat palestinien unique qui serait mis sous administration des Nations Unis en attendant que palestiniens arabes et colons juifs trouvent un accord entre eux; mais le president Truman decida in extremis d'approuver la partition de la Palestine et la creation d'un etat juif d'Israel sous la pression des groupements juifs americains, alors qu'il se trouvait en position difficile en vue de la prochaine election presidentielle, y compris, en particulier, des mauvais sondages dans l'etat le plus peuple, celui de New York ou la presence et l'influence de citoyens juifs americains etait decisive. Ce dernier point est decrit en detail dans divers ouvrages d'historiens americains et britanniques....une fois encore, et la aux Etats Unis, l'interet des habitants palestiniens etait soumis a des facteurs qui leur etaient etrangers.

Source: Hérodote

L’Afrique du Sud envisage d’imposer la Palestine sur les étiquettes d’origine

L’Afrique du Sud envisage d’imposer l’étiquetage comme tels des produits venant des Territoires occupés palestiniens, au lieu de la mention d’origine Israël comme cela arrive parfois, a-t-on appris samedi au ministère du Commerce et de l’Industrie.

Pour le moment, il n’y a pas de décision mais les gens doivent savoir que l’Afrique du Sud reconnaît Israël dans les frontières admise par l’ONU en 1948, a expliqué à l’AFP Macdonald Netshitenzhe, directeur pour la politique et la législation commerciale au ministère sud-africain du Commerce.

Un avis est paru le 10 mai au journal officiel ouvrant une période de consultation publique de deux mois. Ce n’est pas un appel au boycott des produits israéliens, a précisé M. Netshitenzhe.

En fait, la loi sur la protection du consommateur impose de ne pas induire en erreur sur la provenance exacte du produit. Si par exemple c’est un vin de Bordeaux, il ne peut pas venir de Bretagne, a-t-il ajouté.

Si l’on vient à la question de la Palestine et d’Israël, un produit d’Israël doit être fabriqué ou produit dans les frontières de 1948. Donc pour les biens ou légumes venant de zones où Israël a envahi d’autres pays arabes, l’Afrique du Sud considère qu’il est mieux de les étiqueter comme produits en Palestine ou dans les Territoires occupés palestiniens, selon le haut responsable sud-africain.

Cité par l’agence de presse sud-africaine Sapa, le ministre du Commerce Rob Davies avait expliqué vouloir permettre aux Sud-Africains qui ne soutiennent pas Israël, mais soutiennent les Palestiniens, d’identifier ces produits. (…)

Romandie.com via Fdesouche.com

20/05/2012

Etats-Unis: deux jeunes Blancs lynchés par une bande de Noirs

 

Autre vidéo illustrant le racisme anti-Blanc aux Etats-Unis: un jeune Blanc est pris à partie et agressé physiquement dans un bus scolaire par un groupe de Noirs

 

Australie: 3 Noirs lynchent un jeune Blanc

La scéne s'est déroulée dans le couloir d'une gare, en Australie, en avril 2011.

 

Le racisme anti-blanc en images

 

"Celui qui aujourd'hui me dirait qu'il n'y a pas de racisme anti-blanc serait un menteur." (Maire UMP de Rosny-sous-Bois)

 

 

Source: France 5 - C Dans L'Air

19/05/2012

Grèce: échauffourrées entre vendeurs ambulants africains et citoyens grecs

Israel : Tensions croissantes concernant les immigrés africains

Un Israélien a été inculpé pour jet de bouteilles incendiaires contre des logements où vivent des migrants africains à Tel Aviv, un incident qui témoigne d’une vive tension entre ces derniers et la population locale.

Cette attaque a lancé un vif débat à propos des tensions croissantes que suscite l’immigration illégale d’Africains, pour la plupart originaires du Soudan et d’Erythrée, demandeurs d’asile ou migrants économiques.

« Leur comportement compromet réellement la sécurité des citoyens israéliens (…) La plupart — 99% d’entre eux — ne sont pas des réfugiés, mais des infiltrés qui cherchent du travail et nous devons les expulser ». Eli Yishaï, ministre de l’intérieur israélien.

L’écrasante majorité [des immigrés] s’est infiltrée en Israël via la frontière avec le désert égyptien du Sinaï et s’est installée dans les quartiers jouxtant la gare routière de Tel Aviv.

Selon des statistiques officielles, Israël comptait fin 2011 plus de 50.000 migrants africains illégaux, toutes catégories confondues.

Dans ce contexte, la police a confirmé vendredi avoir arrêté à la suite d’examens ADN concluants trois Erythréens soupçonnés du viol d’une adolescente israélienne de 15 ans.

Trois Erythréens ont été arrêtés, en connexion avec le viol apparent d’une jeune Israélienne, a indiqué à l’AFP le porte-parole de la police Micky Rosenfeld, à propos de cette affaire qui était sous black-out jusqu’à jeudi.

Le ministre de l’Intérieur Eli Yishaï a affirmé vendredi qu’il fallait relâcher des délinquants mineurs incarcérés dans les prisons israéliennes pour faire de la place aux migrants.

«Nous avons un vrai problème. Il y a actuellement plus de 50.000 personnes que nous ne pouvons pas expulser », a-t-il déclaré au site internet Walla!. «Leur comportement compromet réellement la sécurité des citoyens israéliens (…) et j’ai donc proposé de faire de la place pour eux dans les prisons. La plupart –99% d’entre eux– ne sont pas des réfugiés, mais des infiltrés qui cherchent du travail et nous devons les expulser » a ajouté M. Yishaï.

Chef du parti orthodoxe sépharade Shass, il a dans le passé accusé les migrants africains de nuire au caractère juif d’Israël.

En novembre 2010, le gouvernement israélien a décidé la construction d’un centre de rétention susceptible d’accueillir des milliers de migrants illégaux dans le Néguev (sud), près de la frontière égyptienne.

Israël a par ailleurs entrepris de construire une imposante barrière tout au long des 250 km de sa frontière avec l’Egypte.

Romandie News via Fdesouche.com

17/05/2012

Sarkozy aurait menacé de mort les présidents africains au sujet de la Libye

« Je vous interdis de monter dans l’avion, parce que si vous passez l’espace je vous flingue », ce n’est pas une réplique digne d’un polar de série B, mais l’incroyable menace qu’aurait proférée Nicolas Sarkozy à l’encontre d’une délégation de présidents africains, porteurs d’une solution négociée pour la Libye.

Sur le plateau d’Africa24, Kofi Yamgnane, un homme politique franco-togolais, qui fut notamment député socialiste du Finistère de 1997 à 2002, révèle, indigné, cette déclaration qui fait l’effet d’une vraie déflagration.




Source: oumma.com via Fdesouche.com

Chine: un violeur d'origine étrangère est surpris en flagrant délit et neutralisé par des passants

Selon la télévision chinoise, le violeur d'origine maghrébine aurait la nationalité britannique. Les faits se sont déroulés le 10 mai dernier à Pékin.

 

 

Source: tv.sohu.com