14/10/2015
Jean-Louis Masson (sénateur) : « L’immigration d’aujourd’hui, ce sont les terroristes de demain »
Bronca hier au Sénat après les propos du sénateur non-inscrit Jean-Louis Masson sur les immigrés. Il souligne que l’immigration actuelle ne permet plus d’avoir « de très bons Français » comme Marie Curie. Hors des « limites de la République » pour Didier Guillaume, « scandaleux » selon Pierre Laurent. Jean-Vincent Placé se dit « révolté ».
Hémicycle du Sénat, mardi après-midi. L’heure est aux explications de vote sur le projet de loi sur le droit des étrangers, durci par la droite. Le sénateur de Moselle Jean-Louis Masson prend la parole. S’il siège parmi les non-inscrits, il n’en est pas moins proche de l’extrême droite dans ses propos. Sa prise de parole a scandalisé les sénateurs, surtout de gauche, mais aussi à droite. Jean-Louis Masson s’est lancé dans un amalgame entre les populations immigrées de confession musulmane – tout en restant dans l’allusion – et les terroristes. Il a affirmé que « l’immigration d’aujourd’hui, ce sont les terroristes de demain ».
[...] « Son intervention a dépassé les bornes et peut-être même les limites de la République française » selon Didier Guillaume, président du groupe PS du Sénat (voir la vidéo). « C’est pour toucher les instincts les plus vils. Tout simplement car ces gens-là (les Polonais, Italiens, Portugais, ndlr) sont des catholiques, alors que ceux qui viennent maintenant sont des musulmans » [...] « vérifier si les propos de notre collègue sont dans le champ de la République et nous en tirerons les conséquences » le cas échéant.
via Fdesouche.com
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La citation du jour
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13/10/2015
Immigration maghrébine - Alain Finkielkraut : " Je m’étonne qu’un accent soit transmis de génération en génération "
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Chasse aux couples en Algérie par un « Lillois »
Rabah Guestal, l’homme qui est au coeur d’une vive polémique sur les réseaux sociaux en Algérie suite à la diffusion sur Internet d’une chasse aux couples filmée à Bordj El-Kiffan fait ses excuses aux Algériens “blessés” par son comportement violent à l’encontre des jeunes couples qui se promenaient sur la plage “La Sirène”. “Je vous présente mes excuses et je vous assure que je ne referai plus une telle vidéo ou une telle action”, confie Rabah surnommé depuis plusieurs jours “Moul El Kezoula” après avoir brandi fièrement sur Internet son bâton devant les visages des couples qu’il pourchassait avec beaucoup d’agressivité sur la plage de son quartier balnéaire. “Je ne suis pas un adepte de Daech et je ne souhaite pas le malheur à mon pays”, assure encore notre interlocuteur qui nous a fait parvenir cette vidéo :
Il s’appelle Rabah Guestal. Sur les réseaux sociaux, on l’appelle communément “Moul El Kezoula”. Ce surnom, ce ressortissant algérien qui réside à Lille, au nord de la France, il le doit à une vidéo publiée sur internet et diffusée massivement sur les réseaux sociaux en Algérie. Une vidéo qui suscite une vive polémique depuis plusieurs jours.
(…)
vai Fdesouche.com
PNF:
Martine Aubry doit être contente d'avoir ce genre de personnes dans sa ville, elle qui affirme s'ennuyer quand "il n'y a que des Blancs" (mais qui vit dans un ghetto de Blancs, à Bondues, une ville très cossue de l'agglomération lilloise).
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Tranche de vie à Marseille (vidéo)
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Le tract du jour
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12/10/2015
La mairie de Puteaux offre une piscine à 250 000€ aux frais des contribuables en… Israël !
(Cliquer sur l'image pour l'agrandir)
Dans le numéro d’octobre du magazine Capital, un long dossier est consacré à « l’extravagant train de vie du secteur public ». Si de nombreux sujets sont abordés, on apprend que le maire de Puteaux a financé, avec l’argent de ses administrés, une piscine pour 250 000€ dans la ville israélienne de Gan Yavne ! Mais, en plus de donner des centaines de milliers d’euros d’impôts locaux aux juifs, le maire prépare un voyage à 60 000€ pour surveiller l’avancement des travaux !
Article complet de Capital : « Partir en voyage aux frais du contribuable, c’est bien. Mais se débrouiller pour que cela vous rapporte des voix aux élections suivantes, c’est mieux encore. La recette de cette martingale ? C’est Joëlle Ceccaldi-Raynaud, la maire de Puteaux (Hauts-de-Seine), qui nous la livre. Pour se concilier les faveurs des trois fortes communautés portugaise, marocaine et juive qu’abrite sa commune, elle a signé des pactes d’amitié avec Braga (Portugal), Tanger (Maroc) et Gan Yavné (Israël). Et elle s’impose de mener régulièrement des visites de courtoisie dans ces villes pour entretenir les liens. C’est ainsi qu’elle a programmé l’envoi d’une délégation de douze personnes, dont six élus et quatre fonctionnaires, à Gan Yavné pour… surveiller l’avancement des travaux réalisés (aux frais de Puteaux) dans la piscine de cette cité proche de Tel-Aviv. Pour des raisons de sécurité, le voyage n’a pas encore pu avoir lieu (Gan Yavne est à portée des roquettes tirées de Gaza). Mais le conseil municipal a donné son accord et autorisé sans barguigner le déblocage des 60 000 euros de crédits nécessaires. A noter qe le maire devrait être du voyage, ainsi que son fils, lui aussi élu municipal. »
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Brest (29) : la foule scande "Salafistes, hors de France", manifestation et contre-manifestation autour de la mosquée Sunna
Des mouvements se sont donnés rendez-vous à 11h ce samedi place de la Liberté pour dénoncer « l’islamisation de la Bretagne » alors qu’une contre-manifestation d’ »antifascistes » est partie de la fac Ségalen pour rejoindre le centre-ville.
via Fdesouche.com
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11/10/2015
Une solution à la crise de l'euro: la double monnaie
La meilleure façon de vaincre la spéculation contre la zone euro, aujourd'hui, serait le maintien de la monnaie européenne, assorti de la possibilité pour chaque État de recréer leur monnaie nationale. Cette dualité monétaire, qui a déjà existé au XIXème siècle, permettrait à des pays comme la Grèce de regagner en compétitivité.
Les alternatives à la monnaie européenne, l'euro, se limitent de plus en plus au choix entre une tentative désespérée pour sortir de la crise et un effondrement chaotique. Pourtant il existe une approche plus audacieuse et plus efficace fondée sur la coexistence de plusieurs monnaies - un système qui s'est révélé efficace dans le passé.
Les Européens devraient examiner les solutions innovantes issues des crises dans le passé. La crise du Système monétaire européen (SME) entre septembre 1992 et juillet 1993 semblait menacer l'intégration européenne. Elle a mis en danger la Grande-Bretagne, l'Espagne, le Portugal et, enfin, en juillet 1993, la France. Tout comme aujourd'hui, l'avenir de l'Europe était menacé.
Initialement, la solution adoptée à l'issue d'une nuit de négociations frénétiques à Bruxelles paraissait contre-productive. L'élargissement brutal à 15% de la marge de fluctuation des monnaies européennes de part et d'autre d'une valeur pivot semblait rejeter aux calendes grecques l'adoption d'une monnaie unique. Mais cela a permis de déjouer les attaques spéculatives contre les devises les plus vulnérables, supprimant ainsi la cause fondamentale de l'instabilité. L'équivalent actuel de l'élargissement de la marge de fluctuation serait le maintien dans la zone euro de tous les pays membres, tout en autorisant ceux qui le jugeraient nécessaire à émettre une monnaie nationale. Ceux qui feraient ce choix verraient sans doute leur nouvelle devise se négocier à un taux très faible. Le succès des mesures de stabilisation se traduirait alors dans le taux de change de la nouvelle monnaie. Elle s'appréciera si elle permet de revenir à la stabilité budgétaire et de relancer la croissance. De la même manière, après 1993, le franc est tombé en dessous de la marge de fluctuation fixée, mais il y est revenu grâce à une politique judicieuse.
Cette approche présente un avantage important : elle n'exige pas une redénomination des actifs et des passifs bancaires. Elle évite donc les multiples problèmes juridiques liés à une solution plus radicale. Il est possible que les deux monnaies ne convergent pas et soient amenées à coexister durant une longue période. Ce n'est pas une idée nouvelle. Lors des discussions sur l'union monétaire au début des années 1990, on avait envisagé que la monnaie commune ne soit pas une monnaie unique. Il y a vingt ans, cette éventualité ne constituait pas une construction théorique limitée à des discussions marginales. C'était une véritable alternative historique.
Aussi surprenant que cela peut être, deux monnaies différentes ont déjà coexisté sans problème durant une longue période. Avant que l'étalon or ne soit adopté dans les années 1870, l'Europe a eu deux types de monnaie, l'une reposant sur l'or et l'autre sur l'argent. Ce régime a connu un grand succès, notamment parce que chaque type de monnaie était utilisé dans un contexte donné. Les pièces d'or de valeur élevée servaient de référence lors de transactions importantes et au niveau international. Les pièces d'argent de moindre valeur servaient aux transactions quotidiennes, ainsi que pour régler les petits salaires et les locations. Shakespeare qualifiait l'argent de "pâle et vulgaire intermédiaire - entre l'homme et l'homme".
Dans ce système, une dépréciation de l'argent par rapport à l'or se traduirait par une diminution des salaires réels et améliorerait la compétitivité. Ainsi les premiers travailleurs de l'industrie textile moderne en Italie ont-ils vu leur salaire en argent diminuer, tandis que les produits qu'ils fabriquaient étaient facturés en or sur le marché international des produits de luxe. C'est l'une des raisons pour lesquelles Milton Friedman considérait le bimétallisme intrinsèquement plus stable que le monométallisme (basé sur l'or). L'équivalent actuel du mécanisme d'ajustement monétaire de l'époque du bimétallisme consisterait, par exemple, en une baisse des salaires grecs qui seraient payés dans la monnaie nationale de faible valeur par rapport à l'euro. Ce serait l'équivalent de la monnaie en argent. L'euro jouerait le rôle de l'étalon or. Sa stabilité serait assurée par les institutions existantes, la Banque centrale européenne et celles des banques centrales nationales qui n'auraient d'autre alternative. En ce sens, le cours de la zone euro serait l'équivalent de la Grande-Bretagne du XVIIIe et du début du XIXe siècle qui ne connaissait que le régime de l'étalon or.
Offrir la possibilité d'utiliser deux monnaies, l'une à usage interne et l'autre à usage externe, paraît étrange et contre-intuitif. Mais c'est réalisable et cela a déjà été fait. Cela peut être un moyen remarquablement efficace pour répondre à l'exigence de stabilité.
La Tribune (et Project Syndicate)
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10/10/2015
Les frappes russes en Syrie auraient tué deux commandants de Daesh et 300 combattants
L’armée de l’air a effectué 67 sorties, frappant 60 cibles distinctes dans le nord de la Syrie ces dernières 24 heures, a indiqué le Ministère de la Défense russe. Deux commandants font partie des 300 combattants de l’EI tués dans les raids.
«Parmi les cibles touchées figurent des nœuds de communications, des postes de commandement, des stocks de carburants et des bases terroristes d’entraînement, situés à Racca, Lattaquié, Idleb, Alep et Hama», a fait savoir le lieutenant-général Igor Makushev lors d’un briefing à Moscou.
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