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24/05/2008

Israël, ou quand les victimes du nazisme deviennent eux-mêmes les bourreaux…

Voici un commentaire d’un membre du site www.juif.org concernant une action de résistance du peuple de Gaza :

" Pourquoi y a t il un terminal à Erez ou n'importe où entre Israël et ce réduit d'assassins enragés de Gaza ? Parce que les patrons israéliens, cupides comme n'importe où ailleurs, mais pas moins, veulent faire du business avec les Arabes pour s'acheter de très grosses voitures et vêtir luxueusement leurs femmes et maîtresses et ce au péril de la vie de nos frères israéliens. Puisque Israël s'est retiré de Gaza maintenant, que leurs autorités ne veulent d'aucune paix mais ne cessent de bombarder les localités civiles israéliennes, qu'on installe une frontière électrifiée assortie de fusils mitrailleurs en batterie et qu'on accueille ces vampires enragés comme il se doit. Toute autre politique à l’égard de Gaza est une infamie de quelque manière qu'on l'envisage.

Envoyé par Jean - le Vendredi 23 Mai 2008 à 15:26 "

Source: http://www.juif.org/defense-israel/53277,gaza-camion-piege-au-terminal-d-erez.php#comments

Commentaire du PNF :

Les médias en France nous assomment quotidiennement avec des reportages sur l’Holocauste, au cas où on oublie… Mais par contre, alors qu’il y a aujourd’hui même en France de nombreux fanatiques juifs très dangereux - comme par exemple le sarkozyste Arno Klarsfeld qui 1286752994.jpgs’est vanté d’avoir " cassé du Palestinien " lors de son service militaire en Israël – personne parmi les professionnels de l’indignation ne s’offusque. Il y a toujours deux poids deux mesures lorsqu’il s’agit de personnes israélites incriminées. Il ne serait pas " politiquement correct " de dire les quatre vérités à ces personnes pleines de haine.

Le commentaire, cité ci-dessus, du membre du site Juif.org, montre bien qu’il n’est pas exagéré de considérer les sionistes comme les nazis d’aujourd’hui. Les Juifs semblent vraiment vouloir faire aux Palestiniens ce que les nazis leur ont fait. C’est un processus bien connu des psychologues.

Que chacun en France prenne ses responsabilités face au danger grandissant du pouvoir sioniste qui plonge le monde au bord de l’abîme. Les Etats-Unis, alliés aux sionistes, font déjà la guerre sur plusieurs fronts au nom d’Israël et s’apprêtent à ouvrir les hostilités face à l’Iran, dans une énième guerre " préventive ". Sarkozy, sioniste convaincu, soutiendra cette guerre de manière inconditionnelle. Il n’est pas exclu qu’il engage la France dans cette ignominie.

Les Français non-sionistes doivent réagir dès maintenant pour éviter de voir la France engagée dans une guerre injustifiée et contraire à ses intérêts vitaux. Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas qui sont ces gens-là.

http://www.bonvote.com/?linkb=2315597

 

00:44 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sionisme, danger |  Facebook | |

13/05/2008

La Vendée se déclare département "sans OGM"

LA ROCHE-SUR-YON (AFP) - Le Conseil général de Vendée, présidé par Philippe de Villiers (MPF), a proclamé mardi "sans OGM" le département, estimant que la loi devant être adoptée par le Parlement était "défaillante" car "elle ne nous protège pas".

1292794970.jpgLe président du Mouvement pour la France a présenté un plan "Vendée sans OGM", qui va "faire de la Vendée une zone-témoin sans OGM", "mettre en place un contrôle scientifique" et "lancer un programme d'aide en faveur de l'agriculture biologique", dont les surfaces devraient doubler en cinq ans.

Pour M. de Villiers, le projet de loi sur les OGM comporte des avancées mais "il est loin d'apporter toutes les garanties", notamment en "avalisant la culture OGM en plein champ".

La Vendée se présente comme "le premier département" à créer un label "sans OGM", qui "pourra être apposé sur tout produit chaque fois que son producteur le souhaitera" et qui sera délivré par "une commission de labellisation". Il lui permettra 1156253708.jpgégalement de "demander à l'Etat d'exclure toute culture d'OGM, au nom de l'article L.642-5-1 du Code rural qui prévoit des mesures spéciales de sauvegarde +lorsque cela est nécessaire à la protection d'un signe d'identification de la qualité et de l'origine+".

Les agricultures se convertissant au "bio" recevront par ailleurs une aide du Conseil général de 12.400 euros/an, qui s'ajoute à celle de 7.600 euros accordée notamment par l'Etat. L'objectif est de compter, dans cinq ans, 23.000 hectares cultivés en "bio", contre 11.500 ha actuellement en Vendée, dont l'agriculture est très diversifiée (bovins, volaille, légumes et céréales).

11/04/2008

Palestine: un enfant tué dans une incursion israélienne à Gaza

BOUREIJ (AFP) - Un enfant palestinien de 10 ans a été tué vendredi dans une incursion de l'armée israélienne dans la bande de Gaza, où des combats opposaient des soldats à des activistes armés.

1542283940.jpgCette incursion intervient après les menaces des dirigeants israéliens de frapper le mouvement islamiste Hamas qui contrôle la bande de Gaza et qu'ils ont tenu responsable pour l'attaque meurtrière mercredi contre le terminal de Nahal Oz à la frontière entre le territoire palestinien et Israël (cette attaque a pourtant été perpétrée par des groupes proches du Fatah, c'est-à-dire de l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas!).

A l'aube, des soldats ont pénétré à bord de chars dans la bande de Gaza, près de la localité de Boureij (centre).

La quinzaine de chars et deux bulldozers de l'armée se sont attirés des tirs nourris des combattants de plusieurs groupes armés, qui ont fait usage de roquettes anti-char et d'obus de mortier, selon des sources de sécurité.

Selon des témoins, les blindés étaient cantonnés à environ un kilomètre de la frontière.

L'enfant, Riyad Owayssi, se trouvait avec des dizaines d'autres enfants et adolescents à proximité des blindés quand il a été atteint par un tir d'obus, a indiqué une source médicale palestinienne.

Sept personnes, dont deux adolescents, ont été blessées dans l'incursion, a-t-on précisé.

1089945176.jpgL'armée israélienne a indiqué avoir mené un raid aérien contre des militants et confirmé que des obus de mortiers avaient été tirés par les combattants palestiniens. Le raid n'a pas fait de victime (côté israélien...).

L'incursion près de Boureij est une "opération de routine" (oui, les Israéliens sont passés maîtres dans l'art de tuer des civils de manière routinière, sans que les "démocraties occidentales" ne s'en offusquent) , a assuré une porte-parole de l'armée.

Elle a suivi de quelques heures un raid aérien israélien jeudi soir dans lequel deux activistes (résistants), les cousins Mohammed et Amine al-Najjar, âgés d'une vingtaine d'années, ont été tués dans le sud de la bande de Gaza.

Les deux membres du Hamas, appartenant à une unité stationnée à la frontière entre Israël et la bande de Gaza pour faire face à d'éventuelles incursions israéliennes, ont été tués par le tir d'un missile israélien dans le secteur de Khazara, à l'est de Khan Younès, selon des sources médicales.

1686898272.jpgUne porte-parole de l'armée israélienne a confirmé qu'un avion avait ouvert le feu en direction d'hommes armés dans ce secteur.

Mercredi, deux gardes israéliens du terminal de Nahal Oz, seul point de transit des carburants entre Israël et la bande de Gaza, ont péri dans une attaque menée par trois groupes palestiniens, le Jihad islamique, les Comités de la résistance populaire et les brigades des Moujahidine.

Le même jour, sept Palestiniens ont péri dans des représailles israéliennes. Le terminal de Nahal Oz est fermé depuis.

Israël a menacé de frapper le mouvement Hamas après cette opération.

"Le Hamas aujourd'hui dirige la bande de Gaza, et cette organisation et ses membres portent la responsabilité de cette terreur incessante. Il devra supporter le prix inévitable de ces actions", a déclaré jeudi soir le Premier ministre Ehud Olmert devant des membres de son parti Kadima.

1481116580.jpg"Je vous promets que la réponse contre le Hamas sera telle qu'il ne pourra plus agir contre les citoyens israéliens", a-t-il poursuivi.

"Nous allons régler nos comptes avec le Hamas qui est seul responsable de tout ce qui se passe dans la bande de Gaza. Nous choisirons le moment et l'endroit voulus", a prévenu de son côté le vice-ministre de la Défense Matan Vilnaï.

06/04/2008

Un prix Nobel de chimie lance une mise en garde sur le climat

MIAMI (Reuters) - Mario Molina, lauréat du prix Nobel de chimie et l'un des premiers à avoir tiré la sonnette d'alarme sur le trou dans la couche d'ozone, a lancé samedi une mise en garde sur le réchauffement climatique, estimant qu'un réchauffement de la Terre dépassant 2,5°C aurait des "conséquences presque irréversibles".

1663083772.jpg"Il y a un changement et il ne fait aucun doute qu'il résulte des activités humaines", a déclaré ce chercheur mexicain qui a partagé un prix Nobel en 1995 pour des travaux sur les gaz CFC et la menace qu'ils représentent pour la couche d'ozone.

"Bien avant qu'on n'ait plus de pétrole, on n'aura plus d'atmosphère."

Lors d'un débat sur le changement climatique organisé à l'occasion de la réunion annuelle à Miami de la Banque de développement inter-américaine il a estimé que l'augmentation de l'intensité des ouragans était l'une des modifications les plus inquiétantes que les chercheurs aient reliées au réchauffement climatique observé ces 30 dernières années.

DES "POINTS DE BASCULEMENT" QU'IL NE FAUT PAS ATTEINDRE

Il n'a pas détaillé les effets à ce jour de la hausse de la température de la Terre, d'un peu moins d'1°C au cours du siècle passé. Mais il a déclaré que des "points de basculement" seraient atteints si les températures continuaient à augmenter, et notamment des changements ingérables de l'environnement de la Terre.

915663509.jpgMolina a expliqué par la suite à Reuters qu'une grande incertitude planait sur le réchauffement que la planète peut encore supporter avant que la situation ne devienne critique.

"La température peut bien changer progressivement, la situation peut changer d'un seul coup, brutalement", a-t-il dit.

"Essayer de le maintenir (le réchauffement) sous la barre des deux degrés (Celsius) signifie que nous voulons limiter le changement à deux ou trois fois ce qui s'est déjà produit. Parce qu'un changement moindre est irréaliste, en raison de ce que nous avons déjà fait.

"L'idée consistant à contenir le changement climatique en-dessous de 2,5 (°C) vise précisément à réduire la possibilité d'atteindre ces points de basculement."

Il a estimé qu'un réchauffement dépassant ce seuil représenterait "un risque qui n'est pas acceptable pour la société".

Version française Natacha Crnjanski

15/02/2008

La Serbie exhorte le Conseil de sécurité à s'opposer à l'indépendance du Kosovo

Par Edith M. Lederer AP - Vendredi 15 février

NATIONS UNIES - Le ministre serbe des Affaires étrangères a exhorté jeudi le Conseil de sécurité des Nations unies à s'opposer à la déclaration d'indépendance attendue de la province du Kosovo, appelant le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon à ordonner l'invalidation de toute proclamation de la sorte de la part de Pristina.

S'adressant au Conseil de sécurité lors d'une réunion d'urgence à huis clos, Vuk Jeremic a averti qu'une déclaration unilatérale d'indépendance du Kosovo constituerait un précédent qui aurait des conséquences dans le monde entier, menant à un "cascade incontrôlée de sécessions".

e565bd66fed342339b14d8ef11416229.jpgIl a par ailleurs estimé que la Serbie n'est pas de l'avis que l'option des pourparlers est épuisée, contrairement à ce que soutiennent notamment les Etats-Unis et de nombreux pays européens, favorables à l'indépendance de la province. M. Jeremic a appelé Pristina à revenir à la table des négociations afin de trouver une solution pacifique au dossier, avec l'aval du Conseil de sécurité.

"Nous ne reconnaîtrons jamais l'indépendance du Kosovo", a-t-il martelé. "Pas maintenant. Pas dans un an. Pas dans 10 ans. Jamais. Car le Kosovo et Metohija resteront une partie de la Serbie pour toujours".

Plus tôt jeudi, le gouvernement serbe a adopté une résolution qualifiant par avance d'"invalide et nulle" toute proclamation unilatérale d'indépendance des dirigeants albanophones du Kosovo, qui pourrait intervenir dès dimanche prochain. Le gouvernement serbe a déjà adopté un "plan d'action" secret qui doit être appliqué si le Kosovo déclare son indépendance.

Le ministre serbe des Affaires étrangères a cependant précisé depuis le siège de l'ONU à New York que Belgrade, membre potentiel de l'Union européenne, "ne recourra pas à l'usage de la force, car la violence ne peut mener à une résolution pacifique de la crise du Kosovo".

Le Kosovo, où 90% des deux millions d'habitants sont albanophones, est administré par l'ONU, avec le soutien de l'OTAN, depuis 1999, quand l'Alliance Atlantique a mené une guerre aérienne pour faire cesser la répression serbe contre des séparatistes albanophones.

En avril 2007, l'émissaire spécial des Nations unies pour le Kosovo, Martti Ahtisaari, avait présenté un plan proposant une indépendance de la province sous supervision internationale. Il avait buté sur le refus de la Serbie et de la Russie, qui possède un droit de veto au Conseil de sécurité et a réitéré son opposition à l'indépendance du Kosovo jeudi.

Selon l'ambassadeur britannique auprès de l'ONU, John Sawers, les 15 membres du Conseil sont "également partagés entre ceux qui reconnaissent que le processus est arrivé à son terme, et ceux qui auraient préféré une poursuite des efforts". L'ambassadeur russe Vitali Churkin s'est inscrit en faux, déclarant qu'aucun des pays du Conseil sauf les Etats-Unis et les pays de l'Union européenne n'a "exprimé de soutien tranché" sur la fin des négociations.

Alors que la Serbie a clairement souligné que ses réactions n'auraient aucune implication militaire, M. Churkin a averti le Conseil jeudi contre "un réel danger de violences inter-ethniques renouvelées et une hausse des activités extrémistes au Kosovo et dans les Balkans en général" si la province venait à déclarer son indépendance. AP

Moscou évoque les conséquences en Géorgie du Kosovo indépendant

MOSCOU (Reuters) - La Russie annonce qu'elle modifiera sa politique à l'égard des deux régions séparatistes de Géorgie, l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, si l'indépendance du Kosovo est reconnue.

"Nous tiendrons sans aucun doute compte de la déclaration et de la reconnaissance de l'indépendance du Kosovo en liaison avec la situation en Abkhazie et en Ossétie du Sud", note le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.

53f5b8f16674bbb66283a1922ee8ef70.jpgLa Russie a déployé des forces de maintien de la paix dans ces deux régions séparatistes de Géorgie qui ont combattu les forces du pouvoir central de Tbilissi au début des années 1990 et vivent depuis en quasi-autonomie avec le soutien de Moscou.

La déclaration ne mentionne pas une éventuelle reconnaissance diplomatique de ces deux régions séparatistes.

Citant un peu plus tôt le ministère des Affaires étrangères, l'agence Interfax écrivait que la Russie "ajusterait" sa politique à l'égard de ces deux régions séparatistes de Géorgie. Elle a par la suite rectifié ses informations, retirant toute référence à cet ajustement.

Le Kosovo doit proclamer son indépendance dans les tout prochains jours, sans doute dimanche, avec le soutien des grandes puissances occidentales qui devraient rapidement la reconnaître.

La Russie, qui soutient Belgrade, s'oppose à cette évolution de la province à majorité albanophone du sud de la Serbie, y voyant un "précédent" pour d'autres régions séparatistes du monde.

DEUX POIDS, DEUX MESURES

Jeudi, lors de sa conférence de presse annuelle, le président Vladimir Poutine a déclaré que la Russie avait un plan tout prêt pour réagir à l'indépendance de la province sécessionniste serbe du Kosovo.

"Nous n'allons pas singer (l'Ouest). Si quelqu'un prend une décision idiote et illégale, cela ne veut pas dire que nous ferons de même", a-t-il dit. "Nous n'allons pas les singer mais ce sera évidemment un signal pour nous, et nous réagirons afin de préserver notre sécurité."

Moscou accuse l'Union européenne de faire deux poids, deux mesures en approuvant l'idée d'un Kosovo indépendant alors qu'elle rejette les aspirations d'autres régions à l'émancipation.

Dans la déclaration diffusée vendredi, le ministère des Affaires étrangères évoque en particulier un renforcement de l'assistance financière et de l'aide humanitaire apportées à l'Abkhazie et à l'Ossétie du Sud.

Moscou fournit déjà une aide financière à ces deux régions dont la majorité des habitants disposent d'un passeport russe.

Mais elle s'est abstenue de reconnaître leur indépendance par crainte, avancent des analystes, des répercussions qu'un tel geste aurait sur les mouvements séparatistes actifs sur le sol russe.

Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a rencontré vendredi le dirigeant séparatiste abkhaze, Sergueï Bagapch, et le président de l'administration séparatiste d'Ossétie du Sud, Edouard Kokoïti, précise le ministère.

Version française Henri-Pierre André