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17/11/2014

Le Traité de libre-échange transatlantique (en anglais: TAFTA) résumé en 3 minutes 28 secondes

news360x.fr

via Les Moutons Enragés

Décapitation de Peter Kassig: un Français parmi les bourreaux de l’Etat Islamique

 

Attention, ces images de décapitation sont très choquantes et déconseillées pour les personnes sensibles.

via Fdesouche.com

Bruxelles, deuxième ville la plus cosmopolite d’Europe

La population bruxelloise est composée d’un tiers de ressortissants étrangers. Mais les communautés vivent souvent des réalités diamétralement opposées. L’emploi, l’enseignement ou le logement alimentent les contrastes.

Il y a 33,8% de ressortissants étrangers vivant à Bruxelles. Ce chiffre, publié début octobre par la direction générale de la Commission européenne chargée de l’information statistique Eurostat, classe la capitale au deuxième rang des villes les plus cosmopolites d’Europe. Des statistiques similaires, il y en a beaucoup d’autres. En 2013, une étude du sociologue de la KUL Jan Hertogen estimait que trois quarts de la population était issue de l’immigration et que d’ici 2023, plus de 8 habitants sur 10 posséderont une autre nationalité, auront été naturalisés ou seront nés de parents étrangers.(…)

Cette diversité est souvent présentée comme un problème. A tort, à raison? « S’il peut y avoir des conflits, des tensions, il faut se garder de céder à des visions fantasmées ou caricaturales de la réalité sociale. Du type « tout va bien, la diversité c’est super » ou d’autres discours, notamment politiques, pour lesquels « nos quartiers flambent, il y règne un état de non-droit et c’est la faute à certains » », plaide-t-on au Centre bruxellois d’action interculturelle.

La réalité est complexe et mieux vaut éviter les raccourcis. Comme celui d’utiliser le mot « intégration » pour parler de personnes vivant en Belgique depuis deux, trois, voire quatre générations… « Jusque quand renvoie-t-on les personnes à leur origine? Cela ne correspond plus à aucune réalité », dénonce Patrick Charlier. Le directeur adjoint du Centre pour l’égalité des chances constate que l’acceptation de la différence des origines n’est pas toujours admise, que la vision « eux et nous » reste trop souvent partagée de part et d’autre.

Le Vif

via Fdesouche.com

16/11/2014

Vidéo : Une femme se filme marchant 10 heures dans Riga (Lettonie)

A comparer avec : Harcèlement dans la rue : elle se filme en caméra cachée (vidéo)

Fdesouche.com

Téléphone portable : attention aux tumeurs cérébrales

L'abus de téléphonie mobile est néfaste à la santé du cerveau et peut accélérer le développement de tumeurs, selon une nouvelle étude scientifique suédoise.



Le débat sur la dangerosité du téléphone portable reprend de plus belle ! L'utilisation du téléphone portable nuit à la santé du cerveau, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue médicale Pathophysiology. Elle augmente de 30% le risque de développer un gliome (tumeur cérébrale). Et au bout de 25 ans d'utilisation abusive, le cerveau aurait 3 fois plus de probabilité de développer ce type de pathologie.

Les chercheurs de l'University Hospital d'Örebro ont réalisé une nouvelle étude pour comprendre l'association entre l'utilisation du téléphone portable et le risque de développer un gliome.

Pour établir un lien, les scientifiques ont comparé, grâce à des questionnaires précis, les habitudes d'utilisation de téléphones portables de 1800 malades ayant développé cette tumeur et celles de patients sains.

Ils ont comparé leur usage du téléphone, fixe et mobile, le type de smartphone utilisé, l'usage d'une oreillette, la durée d'appels quotidienne et le temps depuis lequel ils avaient ce type d'appareil.

Les résultats de cette étude révèlent que l'utilisation du mobile augmente de 30% le risque de gliome, et que ce danger augmente de manière significative pour chaque « tranche » de 100 heures et pour chaque année d'utilisation. A tel point qu'avoir été en contact prolongé avec un téléphone portable pendant 25 triple ce risque.

Cette étude dévoile aussi que téléphoner avec un mobile ou un sans fil avant l'âge de 20 ans multiplie aussi la probabilité de gliome chez les personnes âgées.

Ces nouvelles conclusions confirment les inquiétudes du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), agence spécialisée de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a déjà classé en 2011 le portable comme potentiellement cancérogène pour l'homme.

Il est recommandé d'éviter l'utilisation de son téléphone dans les ascenseurs et les véhicules (où la réception est mauvaise) et en se déplaçant (changement répétés d'antennes relais) car cela augmente l'exposition aux ondes. Il est conseillé aussi de privilégier les conversations courtes, d'utiliser les kits oreillettes et d'éviter de laisser les jeunes enfants utiliser un portable, selon le rapport de l'Agence européenne de l'environnement.

Top Santé

15/11/2014

Poutine: "En terme de pouvoir d'achat, le PIB cumulé des pays du BRICS (et du MINT) est déjà supérieur à celui du G7"

Interview du président Poutine à l'agence d'information russe TASS

Par La Voix de la Russie | Le sommet du G20 entame ses travaux samedi à Brisbane. A la veille de son départ pour l'Australie, Vladimir Poutine a accordé une interview à l'agence TASS, dont nous publions le texte intégral.

Question : Vous allez à un nouveau sommet du G20. Combien demandé et actuel est le format du G20 ? Est-il logique que les pays du G20, tout en cherchant à coopérer et à développer l'économie mondiale, imposent des sanctions à l'un de leurs membres ?

Vladimir Poutine : Le format, est-il demandé ou non ? Je pense qu'il est demandé. Pourquoi ? Parce que le G20 est un forum qui permet de se rencontrer, de discuter aussi bien des relations bilatérales que de problèmes globaux, un forum où l'on peut mettre au point une prise de position commune sur un problème et la façon de le résoudre, indiquer la voie du travail commun. C'est là l'essentiel, parce qu'il est absolument irréel de croire que tout dont on y parle sera exécuté, car les décisions mêmes ne sont pas contraignantes. En plus elles ne sont pas exécutées en partie. Elles ne sont pas exécutées là où cela est manifestement contraire aux intérêts de certains pays, notamment aux intérêts des acteurs mondiaux. Ainsi un sommet du G20 a adopté la décision sur le renforcement du rôle des économies en développement dans l'activité du FMI et sur la redistribution des quotas. Le Congrès des Etats-Unis a bloqué cette décision. Nos partenaires des négociations nous disent qu'ils voudraient bien que la décision adoptée soit appliquée, mais le Congrès l'interdit. En voilà la valeur des décisions du G20.

Néanmoins le fait que la décision ait été formulée et que tous les participants à la vie internationale dans le cadre du G20 l'aient trouvée correcte, juste et conforme aux réalités modèle d'une certaine façon l'opinion publique internationale et la mentalité des experts et oblige à en tenir compte. Le fait que le Congrès des Etats-Unis ait rejeté cette loi indique que ce sont les Etats-Unis qui ne s'inscrivent pas dans le contexte général de la solution des problèmes auxquels est confrontée la communauté mondiale. Hélas, personne ne s'en souvient. On fait taire cette information bénéficiant du monopole des médias mondiaux, comme s'il n'existait pas.

Tous parlent des problèmes d'actualité, les sanctions et la Russie comprises, mais sur le plan global les Etats-Unis n'exécutent pas les décisions. C'est un problème fondamental.

Lire la suite de l'interview de Vladimir Poutine

http://french.ruvr.ru/2014_11_14/Interview-du-president-P...

Economie: le G7 surclassé par sept pays émergents

Economie: le G7 surclassé par sept pays émergents (journal)

Les sept principales économies émergentes ont surpassé le G7 des pays industrialisés en termes de produit intérieur brut (PIB) calculé sur la base de la parité de pouvoir d’achat, annonce jeudi le quotidien Financial Times se basant sur un rapport du FMI.

Le nouveau G7 virtuel comprend les pays du BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) ainsi que trois pays du groupe MINT (Mexique, Indonésie, Nigeria et Turquie), à l’exception du Nigéria. Leur PIB global, calculé sur la base de la parité du pouvoir d’achat, est estimé à 37.800 milliards de dollars, alors que le PIB global du G7 (Canada, France, Allemagne, Italie, Japon, Grande-Bretagne et Etats-Unis) n'atteint que 34.500 milliards de dollars.

"Les calculs réalisés sur la base de la parité  du pouvoir d'achat sont loin d'être scientifiquement rigoureux, mais même si on prend en compte cet aspect, les nouvelles estimations indiquent clairement que la situation a brutalement changé dans le monde: dix des plus grandes économies sur vingt sont des pays émergents. L'Indonésie fait dorénavant partie des dix plus grands pays industrialisés, devant la Grande Bretagne. Le Nigéria, membre du groupe des MINT, anciennement 30e, a fait une percée, se classant 20e dans le palmarès  des pays industrialisés", souligne le journal.

RIA Novosti

14/11/2014

Elections à Novorossia : entretien avec Fabrice Beaur, observateur français

Elections à Novorossia : Entretien avec Fabrice Beaur, observateur français (Partie 2)

Par La Voix de la Russie | Suite de la première partie de l’entretien.

LVdlR : Savez-vous que les autorités putschistes de Kiev ont déclaré que tous les observateurs internationaux ayant participé à l'observation du scrutin dans le Donbass, y compris européens de l’UE et nord-américains, allaient être déclarés persona non-grata en Ukraine ? Que pensez-vous de cela ?

Fabrice Beaur : J'hésite entre indifférence et mépris. Les observateurs internationaux qui ont participé à la mission de monitoring du référendum de Crimée et de Sébastopol, organisée déjà par EODE en mars 2014, sont déjà persona non-grata en Ukraine et ceci dès la veille du référendum de mars.

La vérité, c'est que Kiev a peur de la démocratie de l'Est. Kiev a peur que la révolution orange 2.0 du Maïdan devienne une réalité populaire et se retourne cette fois-ci contre le pouvoir bandéro-oligarchique. Celui des néofascistes et des oligarques ukrainiens.

LVdlR : Mis à part l'observation lors de ces élections, avez-vous eu l'occasion de discuter avec les habitants du Donbass ? Si oui, quels points essentiels en avez-vous retenus ?

Fabrice Beaur : Les standards d'EODE pour le monitoring des élections comprennent également une partie de prise de contact direct avec les électeurs, les candidats et les formations politiques. Que serait un processus électoral sans les électeurs ? Là aussi, c'est une chose qui nous différencie d’avec l'OSCE, plus habituée aux réceptions petits-fours, aux conférences de presse convenues et à la tournée des grands ducs dans les bars, qu'au travail sur le terrain jusque dans les petits bureaux de vote bien loin du confort des hôtels 4 ou 5 étoiles.

C’est la raison pour laquelle lors des élections russes de 2011 et 2012, des observateurs d’EODE, comme Luc Michel et moi-même, sommes allés où l’OSCE et ses épigones n’ont jamais été : Novossibirsk (vol de nuit et moins 50°), Kemerovo, Astrakhan, Iles du Delta gelé de la Volga, Extrême-Orient russe (à la frontière chinoise), etc…

J'ai donc discuté avec des électeurs devant tous les bureaux de vote que j'ai visité. J'ai pu constater que le peuple du Donbass a un haut degré de conscience politique. Bien supérieur à celle des masses ouest-européennes.

Les gens là-bas comprennent parfaitement les enjeux géopolitiques du conflit qui les touche dans leur chair et dans leur sang. Il n'y a aucune haine contre le peuple ukrainien, aucune. Je n'ai pas rencontré une seule personne qui ait exprimé cela. C'est bel et bien aux politiciens de Kiev que les Novorossiens en veulent. L'ennemi américain est clairement montré du doigt dans son soutien aux forces bandéristes qui les bombardent et qui tuent tous les jours des civils.

Je me souviens plus particulièrement d'un homme qui à ma question « pensez-vous que la négociation soit encore possible avec Kiev ? » m'a répondu : « Kiev ? Je ne veux plus en entendre parler. Ils nous bombardent. Ils nous tuent tous les jours. Femmes, enfants, retraités, cela ne fait aucune différence pour ces gens-là. Nous sommes des « terroristes » pour eux. Moi terroriste ? Est-ce qu'un terroriste les aurait nourris comme je l'ai fait lors des premiers jours quand arrivant dans le Donbass ils n'avaient pas d'eau et encore moins de nourriture ? En remerciement, ce fut une semaine plus tard des tirs pendant une semaine sur notre ville. Alors Kiev ce n'est plus mon affaire ».

Et combien de fois ai-je entendu pendant mon séjour autant la veille des élections, que le jour même, ou le lendemain lors de mes différents déplacements, la déclaration suivante : « Ici, Bandera n'est pas notre héros et ne le sera jamais ! »

LVdlR : La démocratie a-t-elle triomphé dans le Donbass ? Comment voyez-vous l'avenir du Donbass qui était le poumon industriel et économique de l'ex-Etat ukrainien ? Plus globalement, comment voyez-vous l'avenir de Novorossia ?

Fabrice Beaur : Ces élections sont un pas en avant… irréversible ! Elles ont donné un cadre autant légitime que légal au pouvoir populaire en place à Donetsk et Lougansk. La période de la rébellion est terminée. Nous venons d'assister à la naissance officielle de deux Etats avec toutes leurs institutions dont la légitimité ne peut être contestée de part du parfait déroulement des élections.

Le président de la CEC de la DNR l’a bien exprimé. Les élections présidentielles et législatives dans la République populaire de Donetsk (DNR) ont « définitivement consacré la séparation du Donbass de l'Ukraine », c’est ce qu’a déclaré le chef de la Commission électorale centrale (CEC) de la DNR Roman Liaguine lors d'un point de presse à Donetsk. « Les élections se sont déroulées légitimement et sans aucun incident capable d'en influencer les résultats. Actuellement, nous disposons d'un pouvoir légitime. Le Donbass ne fait plus partie de l'Ukraine, que cela plaise aux autres ou non ». C’était sa conclusion.

Et vous faites bien de faire remarquer que le Donbass est essentiel pour l'Ukraine. La perte pour Kiev n'est pas immense, c'est une catastrophe. Car sans les industries du Donbass, l’Etat ukrainien n'est plus viable. C'est le Donbass qui remplissait les caisses de l’Etat ukrainien.

C'est également un coup porté aux oligarques mafieux qui sont la base du pouvoir de la junte de Kiev. La peur obsessionnelle de la clique au pouvoir à Kiev, c'est de voir le soulèvement populaire se répandre aux autres régions de l'Est et du Sud. Car la Novorossia, ce n'est pas que Donetsk ou Lougansk mais un projet qui concerne aussi sept autres républiques populaires jusqu'à la frontière roumaine, jusqu'à la Priednestrovié pro-russe.

Au Donbass comme en Crimée, ce sont des peuples qui contestent le Nouvel ordre mondial américain. Il n'y a que ceux qui ne comprennent pas le « monde russe » pour croire qu'il est possible de revenir en arrière. Le sang à coulé comme Kiev l’a voulu ! L'Ukraine est morte. C'était déjà ma conviction depuis le massacre fasciste d'Odessa. Kiev a perdu les cœurs dans le Donbass. Car les âmes ont toujours été russes et rien d'autres depuis que cette terre a été reconquise hier par l'Empire russe de la Grande Catherine.

Alors quel avenir ? Impossible de prédire. Bien heureux qui pourra prédire ce que vont donner les événements futurs. Ce qui est sûr, c'est que je ne crois pas en des négociations avec Kiev. Le parti de la guerre a gagné à Kiev. La CIA aux commandes, l'auto-intoxication de la junte et la folie semblent avoir emporté la partie à Kiev.

Lors de mes rencontres avec différents officiels de la République populaire de Donetsk, dont le Premier ministre de la DNR Aleksandr Zakhartchenko, élu président dimanche, j'ai toujours entendu que bien que donnant sa chance à la paix, la DNR comme la LNR ne croyaient pas que Kiev soit de bonne volonté. Ils attendent tous la nouvelle offensive générale de Kiev. Et se disent prêt ! Bien qu'en infériorité matérielle (Kiev a trois fois plus d'artillerie, une aviation et encore de nombreux blindés), ils ont confiance. Si la démoralisation est une plaie dans le camp d'en face, cela est totalement différent dans les rangs de l'Armée du Donbass. « Nous savons pourquoi nous nous battons. Pour notre terre ! Pour nos maisons ! Pour nos familles ! Pour nos camarades tombés face au fascisme ukrainien ! », affirment-ils tous…

LVdlR : Votre ONG EODE (Eurasian Observatory for Democracy & Elections) fait l'objet, suite à votre mission, d'une campagne d'attaques haineuses et diffamatoires dans les médias occidentaux. Pourquoi cet acharnement contre EODE ?

Fabrice Beaur : Tout simplement parce que notre ONG EODE défie l'OSCE, l'OTAN, l'UE et Kiev directement.

Auparavant le monitoring des élections était leur chasse gardée. Ils remettaient les bons et les mauvais points selon leur agenda politique. Et surtout choisissaient seuls de valider ou non une élection ou un référendum en y envoyant une mission ou pas. Combien d'élections où l'OSCE donnait le pourcentage des « fraudes » la veille de l'élection ! Combien de rapports de mission déjà disponibles avant même le déplacement des observateurs de l'OSCE !

EODE et ses partenaires, car nous sommes un réseau international d’ONG, apportent ce qu'ils entendent refuser : la présence d'une mission internationale de monitoring qui valide, selon les propres critères de l'OSCE et sa méthodologie, une élection.

Pour cette mission au Donbass, on a déjà publié contre nous des dizaines d'articles diffamatoires et haineux, plein de mensonges. Nous en avions eu plus de 1800 en mars contre la mission internationale de monitoring du référendum en Crimée et à Sébastopol que nous avions organisée alors. Ce sont toujours les mêmes qui nous attaquent : des offices barbouzardes, les médias de l'OTAN, les réseaux Soros ou encore BHL et le journal du fils de l’oligarque Khodorkovski.

Les média-mensonges sont grossiers et repris sans contrôle par les médias de l’OTAN. Le plus flagrant est de traiter notre administrateur-général Luc Michel de « néonazi ». La fameuse reductio ad hitlerium qui est au parlementarisme occidental, le même qui soutient les néofascistes à Kiev et à Moscou. Le souci est que Luc Michel est le fondateur du Réseau antifasciste EUROPÄISCHER WIDERSTAND (Résistance européenne), au palmarès impressionnant en Belgique depuis vingt ans, où il a brisé les reins à l’extrême-droite francophone. Moi-même je suis aussi taxé de « néofasciste » (resic) alors qu’en 1998 je présentais une liste à Toulon à une élection partielle à l’intitulé sans équivoque : « PCN. Les jeunes contre Le Pen et pour l’interdiction du FN ». Curieux « néofascistes » qui n’ont aucune leçon à recevoir des antifascistes de salon au service des Etats et des services français et belges ...

En plus des mensonges, des diffamations et des insultes qui révèlent le manque d'argument politique de ces gens-là, nous avons aussi eu le droit cette fois-ci à une avalanche de haine et de menaces.

Mais cela ne nous fera pas reculer. Tout au contraire. EODE entend bien participer à l'élaboration d'un monde multipolaire où les peuples pourront décider librement de leur destin politique sans interférences extérieures.

Nous sommes l'anti-OSCE et nous en sommes fiers. La prétention et l’arrogance des organismes de monitoring occidentaux qui entendent s’arroger le monopole de l’observation électorale est inacceptable et intolérable. Nous entendons bien aller partout en Eurasie et en Afrique (EODE a un réseau panafricain EODE AFRICA et a par exemple monitoré les sénatoriales 2013 au Cameroun) pour mener nos missions de monitoring électoral et d'expertise dans le cadre légal et le respect des Etats.


http://french.ruvr.ru/2014_11_13/Elections-a-Novorossia-E...

12/11/2014

Philippe de Villiers: "La France doit sortir de l'OTAN"

"L'histoire de l'Europe ne doit plus s'écrire sur le continent américain"

"L'Amérique a déclenché un coup d'Etat en Ukraine"

"Le parlement de Kiev a interdit l'utilisation de la langue maternelle des russophones, déclenchant la révolte de l'est de l'Ukraine"

RMC – Bourdin direct – 12/11/14

Jean-Jacques Bourdin reçoit Philippe de Villiers, fondateur du Mouvement Pour la France et auteur de « Le roman de Jeanne d’Arc ».

 Fdesouche.com

 

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« Identitaires: le FN sous influence »

Les lobbys existent au Front national. Des groupes de pression extérieurs au parti d’extrême droite tentent d’influencer la ligne politique. Le plus actif en ce moment est le Bloc identitaire (BI). Ce groupuscule radical veut se rapprocher depuis longtemps du FN. (…)

Au-delà de ces positions, les identitaires, qui maîtrisent les réseaux sociaux et savent aussi réaliser des visuels efficaces et esthétiques, sont des perles rares pour le parti lepéniste en quête de cadres. Les militants du BI s’engouffrent donc dans la brèche et investissent le secteur de la communication. (…)

Dernier exemple en date : Damien Rieu. Le leader de Génération identitaire, qui s’est rendu célèbre pour avoir occupé le chantier d’une mosquée à Poitiers et le siège du PS, vient d’être embauché par Julien Sanchez, le maire FN de Beaucaire (Gard), pour s’occuper de la communication de la ville, ainsi que l’a révélé Le Lab. (…)

Le « grand remplacement » justement déchire le Front national. Cette théorie portée par l’extrême droite identitaire, estime qu’une substitution de population est à l’œuvre, une immigration de « peuplement » remplaçant progressivement la population française d’origine, avec la bénédiction d’un « pouvoir remplaciste ». Le Bloc est un grand partisan de cette théorie : il a même créé un « observatoire du grand remplacement ». Et le groupuscule, qui bénéficie sur ce thème de l’appui inconditionnel du site Fdesouche, compte bien voir le FN se ranger à ces positions radicales. (…)

Problème : la direction du FN est divisée sur le sujet. Marine Le Pen est claire : elle ne partage pas « la vision complotiste » de la théorie du « grand remplacement ». Sur sa ligne, Florian Philippot donc, mais aussi Louis Aliot -avec des nuances – ou encore David Rachline, le maire de Fréjus et sénateur du Var.

En face, Jean-Marie Le Pen est moins tranché que sa fille. Nicolas Bay – futur secrétaire général –, Julien Rochedy (ex-patron du FNJ) et Aymeric Chauprade, conseiller de Marine Le Pen, reprennent régulièrement ce concept, quand Philippe Martel revendique régulièrement la grille de lecture de cette analyse. [...]

Le Monde

via Fdesouche.com