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31/05/2013

«40% des jeunes trouvent l’islam sectaire et les juifs communautaristes»

Un tiers des 18-24 ans ressent de l’antipathie pour les musulmans et pour la moitié, les juifs sont plus proches d’Israël que de la France selon une étude. L’expert du fait religieux Eric Vinson décrypte cette poussée d’islamophobie et d’antisémitisme chez les jeunes.

«Les chiffres sont effarants. D’après une étude Opinion-Way ,près d’un tiers des 18-24 ans ressentent de l’antipathie pour les musulmans, soit dix fois plus que pour les catholiques et les juifs. »

Les jeunes seraient ainsi plus virulents que la moyenne générale des 1001 personnes sondées.

Les jeunes ne sont que 4% à croire à la tolérance de la religion musulmane et 40% à la trouver sectaire.

L’islam n’est pas le seul à en prendre pour son grade :

Ainsi, près de la moitié des 18-24 ans considèrent que les juifs sont «plus proches d’Israël que de la France». Environ 43% les définissent comme un «groupe replié sur lui-même». Enfin, 20% estiment que«leur influence sur la société est trop importante».

Laa situation pourrait encore se dégrader, s’inquiète Eric Vinson, spécialiste du fait religieux et professeur à Sciences Po. Il craint une progression des préjugés parmi des jeunes qui ont grandi dans une société sécularisée et connaissent mal les religions.

Figaro Etudiant – Ces chiffres vous surprennent-ils?
Eric Vinson: Ils reflètent finalement la vision médiatique des religions, qui ne surgissent sur les écrans que lors de drames, comme à Londres, lorsqu’un fou attaque un soldat.

On explique pas que l’islam c’est autre chose que cela. Cette méconnaissance des religion pose problème, et va aller en se dégradant avec les jeunes générations.


74% des gens pensent que l’islam n’est pas compatible avec les valeurs de la République, pourtant les intégristes musulmans ne représentent qu’une minorité des croyants.

Derrière cette appelation, je pense que les gens désignent les gens des banlieues. Au lieu de dire “immigré”, on dit “musulman”. C’est plus acceptable car les gens pensent que la religion et la République ne sont pas compatibles

Si les gens déclaraient ressentir de l’antipathie pour les noirs, ce serait du racisme.

Quand les jeunes considèrent les juifs comme un groupe replié sur lui-même, qui a trop d’influence et qui plus est, se sent plus proche d’un pays étranger que de la France… C’est purement un préjugé antisémite !

Figaro

via fdesouche.com

Maître Jérôme Triomphe : « Le tee-shirt de la Manif Pour Tous est la nouvelle étoile jaune »

Le Point, 31/05/2013, Maître Jérôme Triomphe fait libérer de jeunes innocents arbitrairement arrêtés à la sortie de la Sainte Chapelle

Contactée par Le Point.fr, la préfecture de police dément que « toute consigne orale ou écrite » ait été « donnée aux forces de l’ordre » tout en précisant que les cris, vociférations ou le tapage sont interdits sur la voie publique. Pour l’anecdote, quelques minutes après leur libération devant le palais de justice, les mêmes étudiantes ont été de nouveau interpellées à la sortie du métro par d’autres policiers.

 

 

via fdesouche.com

Affaire du charter des 101 Maliens (1986): quand l'application de la loi fait bondir le Système médiatique !

 

 Ina.fr

Des islamistes syriens arrêtés en Turquie avec du gaz sarin

Les autorités turques ont arrêté douze membres présumés du Front al Nosra, un groupe rebelle syrien lié à Al Qaïda en Irak, qui planifiaient des attentats en Turquie et étaient en possession de gaz sarin, rapportent jeudi des médias turcs.

Ces informations n’ont pas été immédiatement confirmées de source officielle.

Les douze suspects ont été arrêtés à Adana, une ville du sud de la Turquie située à une centaine de kilomètres de la frontière syrienne, écrivent les journaux turcs Taraf, Cumhuriyet et Aksam.

La police a saisi au cours de la perquisition deux kilos de gaz sarin et des armes lourdes, ajoutent-ils sans citer leurs sources.

Les membres présumés du Front al Nosra préparaient un attentat de grande ampleur et ont été inculpés par un tribunal de la ville, selon les journaux.

Les Echos


Le Front al Nosra déjà évoqué dans un reportage sur les islamistes en Syrie (JT F2 / 28.05.2013)



via Fdesouche.com

Obligés de fuir leur quartier parce que blancs : gros plan sur une famille victime d'un racisme qui n'intéresse pas les médias

Le 30 juin 2010, dans un quartier habité par une forte communauté maghrébine, une famille ostracisée par son voisinage est exfiltrée de son domicile par les policiers sous un torrent de menaces et d'injures racistes anti-blanc. L'affaire a été jugée ce jeudi dans le silence médiatique.

Monsieur et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes d'injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être évacués de leur domicile avec l'aide de la police et ont porté plainte. Monsieur LETERME s'est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors qu'il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des grands médias sur cette affaire, l'avocat de la famille accorde une interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public. 

Atlantico : Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce qu'elle n'appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s'est-il passé exactement ?

Stéphane Maitre : Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police.

Pourquoi avoir choisi de rendre ces faits publics ? Avez-vous eu des difficultés à faire connaître cette affaire dans les grands médias ?

Parce que la famille LETERME va se retrouver doublement victime, et veut témoigner d’une incroyable injustice : malgré l’agression violente dont il a été victime, M. LETERME s'est retrouvé lui aussi sur le banc des accusés, poursuivi à côté de ses agresseurs pour un prétendu coup de poing qu’il aurait donné pendant la bagarre, alors qu’il n’a fait que se débattre comme il pouvait pour se défendre contre huit personnes qui le rouaient de coups. Sous prétexte que l’un des agresseurs s’était fait délivrer un certificat médical de son médecin traitant et avait déposé plainte (deux jours après les faits), le parquet n’a rien trouvé de mieux que de convoquer M. LETERME, non seulement en tant que victime (ce qui était la moindre des choses), mais également en tant que prévenu auteur présumé de violences légères.

Peut-on aussi parler d’un cas avéré de racisme anti-blanc ? Avez-vous plaidé en ce sens ?

Les mots parlent d’eux-mêmes : l’un des prévenus a clairement menacé Madame LETERME en ces termes : « on va se retrouver, on va te faire la misère, on va te faire la peau, sale pute, sale blancheon va se retrouveron va vous trancher la gorge à toi et à ta fille ». Il ne s’en est même pas caché, tenant ces propos devant le policier qui protégeait Madame LETERME. Ce n’est pas la première fois. La famille LETERME avait déjà déposé deux mains courantes pour ce type de menaces ouvertement racistes.

S’agit-il d’un fait divers ou d’une affaire politique qui dépasse le simple cadre juridique ?

Il ne s’agit pas d’en faire une affaire politique, mais de constater que dans certains quartiers, il existe des cas avérés de racisme anti-blanc, où des habitants sont de fait ostracisés voire violentés parce qu’ils n’appartiennent pas à la communauté majoritaire. Cette affaire est assez topique : le lendemain, il y avait eu un article dans la presse locale, où il était expliqué en gros que c’est la famille LETERME qui n’avait pas su s’intégrer.

Mais cette affaire est tout aussi emblématique d’une curieuse façon de traiter les victimes : après le traumatisme que cette famille a vécu, il est à peine croyable que le parquet ait eu l’idée de poursuivre la victime, qui n’a fait que se défendre. La victime, un père de famille sans histoire, s’est retrouvée sur le banc des accusés au même titre que ses agresseurs aux casiers judiciaires déjà très chargés (l’un d’entre eux avait déjà 11 condamnations à son casier et les autres de 3 à 6).

Que nous révèle selon vous cette affaire de la société française ?

Une propension inquiétante à l’inversion des rôles (victime/agresseur) et à l’aveuglement devant certaines réalités (les blancs sont aussi victimes de racisme). Il ne faut pas généraliser, mais ces réalités sont pourtant vécues dans notre pays, elles arrivent devant nos tribunaux. Elles restent pourtant largement sous estimées voire niées dans la pensée unique officielle et dans les grands médias.

Quelle décision les juges ont-ils rendu dans ce dossier ?

Deux peines de prison ferme (6 mois et 2 mois) sachant  qu’en dessous de deux ans ferme, la peine est systématiquement aménagée, et 8 mois de sursis simple pour le troisième. Quant à mon client M. LETERME, à la fois victime et poursuivi pour violence légères, le Procureur a tout de même requis une peine de 1500 Eur d’amende contre lui ! Heureusement le tribunal ne l’a pas condamné. Il a été relaxé, car la poursuite le concernant était prescrite (simple contravention de violence légère, qu’il contestait au demeurant). Quant aux dommages et intérêts, ils s’élèvent en tout, pour la famille LETERME, à 7.800 euros pour tous les préjudices confondus pour les trois victimes (les parents et la petite fille de 12 ans). C’est sans aucune commune mesure avec le drame qu’ils ont vécu, et qui a changé leur vie puisqu’ils ont dû tout quitter, leur logement, leur région et même leur travail.

Propos recueillis par Alexandre Devecchio

Atlantico


30/05/2013

L’université face à un afflux de « faux » étudiants boursiers

L’examen de sociologie a commencé il y a moins d’une demi-heure. Par deux ou trois, en un flot continu, des étudiants quittent déjà l’amphithéâtre 4 de l’université de Perpignan. Copie blanche rendue. Ils ne sont venus que pour signer la feuille de présence et continuer à bénéficier de leur bourse. « Nous, direct, on signe on s’en va. Ici, on est payés à rien foutre. » Ilyes, Ryan, Dylan, trois compères à la démarche chaloupée, assument, débonnaires, leur stratégie de survie par temps de crise.

« On a la bourse, on travaille de partout au noir, on s’en tire avec 1 500 euros facile. »



 

La sortante suivante, pressée, court sur talons compensés. « J’ai rendez-vous chez le coiffeur, au Leclerc de je sais plus où. » Puis viennent deux blondes qui préparent le concours d’infirmière. « La prépa coûte cher… » Assises en rang d’oignon, Sarah, Fara, Sabrina, Samia et quelques autres, moitié apprêtées comme des starlettes de téléréalité, moitié voilées, n’ont pas davantage passé l’examen. Elles redoublent la première année de sociologie (« C’est pas intéressant, ça mène à rien. ») après un bac professionnel secrétariat et une admission refusée en BTS, travaillant de-ci de-là « au KFC » ou dans le ménage.

(…) D’autant qu’à Perpignan, où les plus défavorisés sont souvent enfants de l’immigration maghrébine, le Front national fait recette… « Dans les examens, on commence à percevoir des regards de classe, de rancoeur, entre les jeunes de milieu très populaire et ceux des classes moyennes ou populaires stabilisées. A l’université, lieu de mixité, on entend désormais des propos porteurs de racisme », s’inquiète Eliane Le Dantec, maître de conférences en sociologie. « Ceux-là, ils sont là pour profiter. Ils ne cherchent même pas de travail », nous ont glissé plus tôt deux jeunes filles, devant la porte ouverte de l’amphithéâtre, en désignant quelques garçons d’origine maghrébine installés sur la droite.

(…)

Le Monde

via Fdesouche.com

« L’immigration massive en Europe de populations du Sud est vouée à l’échec, quels que soient les efforts consentis »

[Extraits]

Que ne nous a-t-on vanté le modèle social suédois** ! Son État-Providence, son modèle d’accueil et d’intégration des immigrants… La réalité est tout autre, mais il a fallu des émeutes à répétitions pour qu’on s’en aperçoive, car les clichés ont la vie dure. (…)

 [**Sur le modèle suédois, relire cet article et cet article NDLR]

Davantage que d’autres pays européens sans doute, la Suède a fait de gros efforts d’intégration, en bon élève social-démocrate, notamment au niveau de la formation, et consenti à une facture sociale très élevée.

Peine perdue, apparemment, et c’est en cela que l’échec du modèle suédois est instructif: les manifestants n’ont rien de plus pressé que de brûler les… écoles.

Le problème à Stockholm ou à Malmö se pose dans les mêmes termes qu’à Paris, à Manchester ou à Milan: le décalage socio-culturel et religieux est tout simplement trop grand pour pouvoir être comblé et pour que les immigrants puissent s’intégrer à la société qui les accueille.

C’est une réalité très désagréable, littéralement subversive, en cela qu’elle témoigne d’une impossibilité, d’une absence radicale de solutions.

C’est pourquoi elle est strictement occultée par l’intelligentsia, qui n’admettra jamais que l’immigration massive en Europe de populations venues des pays du Sud, pauvres et majoritairement musulmans, est vouée à l’échec en termes d’intégration, quels que soient les efforts consentis.

udc-valais

via Fdesouche.com

Usage d’armes chimiques en Syrie selon Le Monde : une manipulation de Washington et de ses alliés ?

A ce propos, un leak nous avait échappé en début d’année, qui jette une ombre supplémentaire sur le rôle du Qatar dans la région. Ici aussi les risques de manipulation sont évident, et nous vous collerons plus bas les en-têtes du mail incriminé. Nous avons découvert cette information sur le site qui a traduit en anglaisnotre article à propos des 34 appliances Blue Coat en Syrie.

En janvier 2013, le site Cyber War rendait compte d’une fuite de données chez Britam Defence, une boite de mercenaires britanniques. Parmi les documents publiés, un courriel étonnant:

(cliquer sur l'image pour l'agrandir)


britam.jpg

On y découvre que les mercenaires ont été contactés pour introduire à Homs, en Syrie, via un faux nez ayant l’apparence d’une coquille russe, des armes chimiques et de tourner une vidéo en rendant compte. Le tout à la demande du Qatar, et selon ce dernier, avec la bénédiction de Washington. « Je ne crois pas que ce soit une bonne idée, mais les sommes proposées sont énormes« , conclut le commercial en chef des mercenaires…

Une histoire à mettre en regard du débat actuel sur l’usage des armes chimiques en Syrie et de la position de Washington sur le sujet.

Reflets

via Fdesouche.com

Mobilisation : Le 14 juillet pour tous !

Les Champs-Elysées sont devenus le lieu d’une bataille symbolique.

Lieu ouvert pour des événements festifs ou des victoires sportives, site abandonné aux racailles les soirs de Saint-Sylvestre, avenue propice aux mendiants mineurs venus de l’Est et aux vendeurs à la sauvette de Tours Eiffel, les Champs-Elysées sont interdits aux adversaires de la loi Taubira. Familles et patriotes not welcome !

(…)

Pour le 14 juillet : il va bien falloir ouvrir les Champs-Elysées au public pour la Fête nationale et le défilé militaire. Une belle occasion de commémorer la Révolution et pas seulement en paroles !

Si le gouvernement laisse l’accès libre aux Champs-Elysées, chacun pourra mesurer la popularité du président Hollande.

Si le gouvernement l’interdit, le monde entier verra le caractère peu démocratique du régime. Et les élus du Conseil de l’Europe, de la Russie à l’Italie, pourront se saisir de la situation des droits de l’homme en France.

Alors n’hésitons pas : le 14 juillet, Champs-Elysées pour tous ! Et d’ici là, il n’est pas interdit de tout faire pour rétablir la liberté de circulation sur Paris.

Polémia

via Fdesouche.com

29/05/2013

Un enfant explique la vie aux bobos bien-pensants de Canal+



Canal + via  Contre-info.com