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10/05/2010

La Cour européenne des "droits de l'homme" confirme la condamnation de Jean-Marie Le Pen pour avoir seulement déclaré: "«le jour où nous aurons non plus 5 millions, mais 25 millions de musulmans, ce seront eux qui commanderont»

La Cour européenne des droits de l'homme a déclaré «irrecevable» une plainte de Jean-Marie Le Pen qui estimait violé son droit à la liberté d'expression après une condamnation pénale pour des propos relatifs aux musulmans.

bp-jmlp.jpgLe dirigeant du Front national avait introduit une requête à Strasbourg en avril 2009, après la confirmation en appel d'une amende de 10.000 euros prononcée en 2005 pour «provocation à la discrimination, à la haine, à la violence envers un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance».

Elle concernait les propos qu'il avait tenus sur les musulmans en France dans un entretien au quotidien Le Monde, dans lequel il affirmait: «le jour où nous aurons non plus 5 millions, mais 25 millions de musulmans, ce seront eux qui commanderont».

Dans son arrêt, la Cour rappelle l'importance de la liberté d'expression dans le débat politique et souligne qu'elle vaut non seulement pour les «informations ou idées» accueillies avec faveur, «mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent».

Mais, en l'espèce, les propos de M. Le Pen étaient assurément susceptibles de donner une image inquiétante de la «communauté musulmane» dans son ensemble, pouvant susciter un sentiment de rejet et d'hostilité, selon les juges de la CEDH.

Le Pen opposait d'une part les Français et, d'autre part, une communauté dont l'appartenance religieuse est expressément mentionnée et dont la forte croissance était présentée comme une menace, déjà présente, pour la dignité et la sécurité des Français, selon l'arrêt.

La décision d'irrecevabilité a été prise à l'unanimité des sept juges qui ont estimé que la condamnation du président du FN «était justifiée», selon le communiqué du greffe parvenu lundi.

(Source AFP)

 

PNF:

Cette décision de la Cour Européenne des "Droits de l'Homme", nous indique à tous que la liberté d'expression n'existe plus non seulement en France, mais maintenant officiellement au niveau européen.

L'affirmation de Jean-Marie Le Pen, qui avait déclaré au journal Le Monde «le jour où nous aurons non plus 5 millions, mais 25 millions de musulmans, ce seront eux qui commanderont», est une simple affirmation de bon sens politique. Ne pas vouloir voir cette réalité, c'est faire la politique de l'autruche. Depuis 40 ans, on empêche les Français de s'exprimer librement sur le problème de l'immigration en général, et de l'islam en particulier.

Un tel aveuglement des différents pouvoirs qui nous dirigent ne peut que nous conduire à la catastrophe finale: la guerre civile. L'exemple du Kosovo n'est malheureusement pas fantasmatique. Depuis déjà de nombreuses années en France, les crimes racistes anti-blancs sont devenus légions, les musulmans refusent nos lois et deviennent de plus en plus communautaristes et agressifs envers les blancs autochtones qu'ils traitent de "souchiens". Chaque année, plus de 40 000 voitures sont incendiées, en majorité par de jeunes musulmans. Ce sont là les prémices de la guerre civile.

Vouloir taire cette réalité, c'est être totalement irresponsable, et coupable des drames à venir.