18/02/2013
Mulhouse : un quartier livré aux casseurs (vidéo)
"La police doit reculer [... ] Les policiers sont persuadés que cette escalade va les obliger à intervenir, mais contre toute attente, le PC leur ordonne exactement le contraire: "Vous évitez totalement le secteur de Bourtzwiller! Barricades en feu et mouvements de foule". Dans les voitures d'intervention, c'est l'incompréhension."
"Ils sont intouchables." (un policier en parlant des racailles)
Source Gulli, octobre 2012.
via fdesouche.com
PNF:
Marre du laxisme des gouvernements successifs UMPS ? Ne cédez pas au fatalisme et prenez votre destin en mains:
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« Etre dans le vent, l’ambition d’une feuille morte » : Gustave Thibon expliqué par la science !
« La découverte d’une zone cérébrale incitant l’être humain au conformisme éclaire d’un jour nouveau le débat sur l’influence des masses et des sondages.
Le biais de conformité, que l’on pourrait aussi appeler syndrome de Panurge, désigne la tendance que nous avons parfois à délaisser notre raisonnement intime pour rallier l’avis de la majorité –indépendamment du bien-fondé de celui-ci.
Dès les années 1950, le psychologue Solomon Asch avait montré que dans une simple tâche perceptive consistant à comparer les longueurs de différents segments de droite, la connaissance de l’avis majoritaire suffit à faire prendre des décisions absurdes à des individus qui, isolés, répondent correctement.
Récemment, des psychologues de l’Université de Princeton ont étudié ce qui se passe dans notre tête lorsque nous nous laissons entrainer dans des processus de ce type. Une structure cérébrale nommée insula, repli du cortex cérébral au niveau des tempes, semble déterminer le basculement d’opinion, l’abandon de l’analyse personnelle au profit de la posture conforme aux attentes du groupe.
Cette insula est réputée centraliser des informations de nature émotionnelle en provenance du corps, et s’activer lorsque l’individu sent peser la menace d’être exclu de son groupe d’appartenance. Le biais de conformité résulterait d’une pression sociale exercée par le groupe sur l’individu, créant une peur d’être marginalisé ».
Les conséquences de cet effet touchent notamment aux mécanismes électoraux.
Condorcet, philosophe et mathématicien, montrait au XVIIIe siècle que le système démocratique livre des décisions sensées, à condition que les électeurs soient ignorants des décisions prises par leurs voisins. Autrement dit, il faut savoir se protéger du biais de conformité.
C’est aussi ce qu’a montré une étude réalisée dans l’entre-deux tours de l’élection présidentielle française en 2012. Quelque 1 000 votants étaient interrogés sur leurs intentions de vote au second tour ; dès lors qu’on leur présentait les résultats d’un sondage fictif allant dans le sens contraire de leur intention initiale, ils changeaient d’opinion dans 25 pour cent des cas, pour rallier l’avis majoritaire exprimé par le sondage.
Neurosciences, mathématiques et psychologie sociale concordent donc sur un point : pour éviter de réveiller le mouton qui sommeille en l’homme, évitons de le perturber par des influences majoritaires ».
Lu sur le site pour la science.fr
via Contre-info.com
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17/02/2013
Wall Street: les Intouchables
Dans un documentaire décapant, « The Untouchables », la chaîne publique américaine PBS pose la question à 1.000 milliards de dollars : comment expliquer qu’aucun grand dirigeant de Wall Street n’ait été poursuivi en justice après la crise financière de 2008 ?
(source: Fdesouche Fortune )
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Un « Algérien avec des papiers français » meurt en s’immolant devant Pôle emploi
Ce chômeur en fin de droit protestait contre le rejet de son dossier par son agence de Nantes.
Addendum 16/02. Le journal Algérie1 revient sur l’immolation de Djamal Chaab :
Cet algérien avec des papiers français était rentré de l’Algérie comme il le faisait tous les ans pour toucher ses diverses allocations avant de découvrir qu’il avait été sanctionné par l’organisme pour travail au noir.
________________________________
Le drame. Un quadragénaire, chômeur en fin de droit d’indemnisation, a mis fin à ses jours peu après midi mercredi à Nantes, en Loire-Atlantique, en s’immolant par le feu devant une agence Pôle emploi, après s’être aspergé d’essence.
Son dossier. Selon les informations recueillies par Europe 1, cet chômeur en fin de droit âgé de 43 ans, avait repris auparavant une activité professionnelle sans la déclarer à Pôle emploi. Lundi, en se rendant à son agence, il a appris qu’il ne pourrait plus toucher d’allocation et qu’il devait en plus s’acquitter de régler un trop perçu : ce qui lui avait été versé pendant qu’il travaillait. La direction de Pôle emploi à Paris a confirmé ce suicide et que l’homme était bien inscrit dans cette agence et en fin de droits.
(…) Europe 1
via Fdesouche.com
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14/02/2013
Témoignage: "Je suis sortie avec un électeur FN"
Adèle est une institutrice de 28 ans. Insatisfaite en amour, elle a sympathisé avec Benoît sur un site de rencontre. Grand brun ténébreux à l’allure farouche, amateur de littérature classique, Adèle pensait avoir trouvé en Benoît un compagnon idéal. Elle se ne doutait pas que sous ses airs enjôleurs se cachait un électeur de Marine Le Pen. Elle nous raconte son cauchemar :
« J’ai eu mes premiers soupçons lorsqu’il s’est endormi devant un film de Claude Lelouch » se souvient Adèle, encore troublée par ces quelques mois passés aux côtés de l’extrémiste. Au départ charmée par les manières sophistiquées du raciste, la jeune prof ne se doute de rien, le manipulateur ayant poussé le vice jusqu’à avoir des cheveux et à porter des vêtements normaux. Diplômé de la prestigieuse université de Nanterre, Benoît était issue d’une famille unie, du moins c’est ce qu’espère encore Adèle :
J’étais persuadée que Benoît venait d’une famille normale et n’avait pas été battu par ses parents, mais maintenant j’en viens à penser qu’il a peut-être été violé par un prêtre.
Des propos d’une violence inouïe
C’est après une visite au musée des arts premiers consacrée aux masques rituels de la civilisation dogon que le destin d’Adèle bascule. En sortant du musée, le couple est apostrophé par une jeune personne issue de la diversité qui leur demande une cigarette dans le langage pittoresque et savoureux popularisé par le talentueux Jamel. Non-fumeur, le couple se retrouve dans l’incapacité d’aider la jeune victime des lobbies du tabac. C’est alors que l’individu (sûrement éprouvé par une journée où il dut subir plusieurs contrôles policiers) en vient à utiliser de vive voix des métaphores freudiennes pour décrire la relation qui unissait Benoît et sa génitrice. C’est en rentrant en métro que Benoît eut cette terrible phrase « C’est vraiment tous les mêmes… »
La descente aux enfers
C’est alors que Benoît sombre de plus en plus dans la haine de l’autre, d’autant plus incompréhensible qu’il n’avait pas passé son enfance dans le Nord-Pas-de-Calais. Pris en flagrant délit en train d’écouter Éric Zemmour sur RTL, Benoît a du mal à trouver une explication convaincante « il a essayé de me faire croire qu’il cherchait France Inter » explique Adèle. « Par la suite, j’ai appris en lisant la presse que ces personnes avaient souvent des tendances mythomanes et j’ai pu assembler les pièces du puzzle. » De plus en plus angoissée par ces affinités cryptototalitaires, Adèle se décide à en parler à une amie qui la convainc de fouiller dans l’historique de l’ordinateur personnel de Benoît et dans ses mails.
Un catalogue des horreurs
Et c’est tout un pan occulte de la vie de Benoît qui défile sous les yeux ébahis d’Adèle : « Il était à la limite du néo-na zisme » raconte-t-elle en sanglotant. Il avait par exemple taxé la talentueuse chanteuse ZAZ de « pou illeuse qui ferait mieux de trouver un vrai travail » dans les commentaires en ligne du site internet d’un hebdomadaire sarkozyste. Sans oublier des liens enregistrés vers des textes du site terroriste Fdes ouche.com critiquant l’association SOS Racisme. Et puis, parmi les mails conservés par Benoît, elle tombe sur l’inimaginable : il avoue à un ami qu’il envisagerait de voter Marine Le Pen puisque que nous ne serions « plus chez nous » (sic).
Après avoir changé de numéro et déménagé, Adèle envisage depuis peu de rencontrer un nouveau partenaire, mais c’est une longue convalescence qui l’attend avant de pouvoir faire confiance aux hommes une nouvelle fois.
Pour me reconstruire plus rapidement, j’ai décidé de me consacrer à la prévention du lepénisme dans l’éducation. Pour éviter que d’autres femmes se fassent avoir par ce genre de maniaques, je rencontre les collégiens et je leur raconte tout simplement mon histoire.
Des conseils à nos lectrices pour débusquer un lepéniste ?
Beaucoup ne portent plus leur traditionnel blouson d’aviateur et certains ont même laissé tombé les Rangers ; un crâne rasé peut être un bon indice mais n’est pas obligatoire. En tout cas, il est nécessaire de se méfier si l’on tombe sur quelqu’un qui fait preuve d’exaspération en écoutant les meilleures chansons de Cali et qui n’a jamais regardé aucun film avec Kad Merad. Il faut aussi faire extrêmement attention si la personne gagne moins de 2 000 euros par mois.
Est-il possible de les guérir ?
Les chercheurs sont partagés sur le sujet, quelques guérisons ont déjà été observées à la suite de visionnages massifs de sketchs d’Omar et Fred mais il est préférable d’agir par la prévention. La mairie de Paris vient d’ailleurs de financer un atelier gangsta rap pour les écoles maternelles et des projections du film « Nuit & Brouillard » pour les élèves de primaire. SOS Racisme vient aussi de sortir sa dernière campagne « Yo man ! Marine elle est vraiment pas swag » à destination des adolescents « chébrans ».
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13/02/2013
La France survivra-t-elle à l’invasion migratoire ?
Un livre d’avertissement est paru aux Etats-Unis et vient d’être traduit en français : « Une révolution sous nos yeux : comment l’Islam va transformer la France et l’Europe » de Christopher Caldwell avec une préface de la démographe Michèle Tribalat.
Ce livre traite surtout de l’immigration musulmane et fait un sombre pronostic sur l’avenir de la civilisation européenne. Il met en valeur le profond fossé entre les élites dirigeantes auto-satisfaites et moralement pharisiennes et le peuple qui se situe sur «le front de l’immigration» dans la vie quotidienne.
Il est vrai que l’immigration de populations culturellement non européennes est un problème très grave que les élites négligent quand ils ne s’en font pas complices. On est censé être en démocratie mais quand avons-nous été consultés pour accepter une immigration de masse dans notre pays ? Jamais (à la différence ses Suisses).
Et pourtant, celle-ci pose des problèmes économiques, politiques, culturels et religieux.
L’économie et les migrations
[...] Comme l’a montré l’économiste libertarien Hans Hermann Hoppe, le libre échange vaut pour les biens et services mais non pour les hommes. Un échange économique repose sur la volonté d’un vendeur et d’un acheteur exprimés dans un contrat. Ce n’est pas le cas de l’immigration où l’avis des receveurs n’est pas pris en compte. Un produit ne viendra pas en France de lui-même mais avec les hommes c’est différent. Le résultat est que la liberté des citoyens est bafouée par une immigration forcée.
La politique et les migrations
Nous verrons l’impact de l’immigration de masse sur notre politique étrangère dans un contexte de perte de souveraineté. Puis nous verrons son impact sur la politique intérieure, occasion de voir comment l’oligarchie trahit tout simplement les intérêts du peuple français. De plus, cette oligarchie s’est attaquée à la liberté d’expression afin que le débat sur l’immigration soit étroitement encadré.
Aspects culturels de l’immigration
Notre culture nationale est discréditée par la repentance alors que les immigrés culturellement non européens forment peu à peu des sociétés parallèles avec des privilèges particuliers. [...] On est aujourd’hui face à un processus de colonisation culturelle et non de simple immigration d’individus prêts à se fondre dans la nation. Face à l’agressivité des lobbies immigrés qui réclament toujours plus de privilèges de l’Etat, notre culture est en pleine dérive et ne permet pas de présenter un modèle qui permettrait l’intégration. Celle-ci ne se fait que marginalement. Il ne faut pas alors s’étonner des hauts taux de criminalité de la population étrangère et des émeutes qui éclatent ça et là dans les banlieues.
Aspects religieux de l’immigration
La France espère éviter la formation d’un islamisme extrémiste sur notre sol grâce à son héritage laïc. C’est là encore une illusion. Beaucoup de djihaddistes sont prêts à sacrifier leur vie pour leur religion islamique : qui est prêt à sacrifier sa vie pour la laïcité ? La laïcité est un sabre de bois face à un Islam conquérant. Le dynamisme islamique s’oppose au déclin du christianisme protestant et catholique. Un vide religieux se créé et menace ainsi notre identité. Une société peut-elle survivre à la disparition de son socle religieux ? On peut en douter. [...]
En conclusion, nous verrons si la problématique de l’immigration ne doit pas être réexaminée en termes de collaboration et de résistance. En l’absence de résistances nationales, Caldwell pense que les pays européens disparaîtront, comme Byzance a disparu devant l’Empire ottoman. La France est une des plus concernée dans cette marche vers l’auto-destruction. [...]
Polémia – 05/01/2012
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Au théâtre d’Ivry (vidéo)
Vidéo proposée par le site de la mairie d’Ivry. Spectacle jusqu’au 17 février 2013. Noter qu’il y a 11 représentations scolaires prévues.
via Fdesouche.com
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L’Iran demande à ce que Mayotte redevienne comorienne
L’ambassadeur iranien aux Comores, Madjid Hamidi Benam, a déclaré lors du 34e anniversaire de la Révolution islamique en Iran, que son pays se battra aux côté des Comores pour que Mayotte redevienne comorienne.
« Sachez que l’Iran est au côté des Comores pour le retour de l’île de Mayotte dans son giron naturel… Nous ne pouvons pas laisser un pays musulman souffrir. Nous allons vous apporter le peu que nous avons pour que les Comores se développent », a souligné l’ambassadeur iranien au site lagazettedescomores.com.
Pour rappel, lors du référendum de décembre 1974, Mayotte avait décidé de rester dans le giron de la France, et de pas entrer dans l’Union des Comores, composée de la Grande Comore, d’Anjouan et de Mohéli.
Mais l’ONU n’a jamais reconnu ce rattachement à la France et a toujours poussé la communauté internationale, à « respecter l’unité et l’intégrité territoriale de l’archipel des Comores, composé des îles d’Anjouan, de la Grande-Comore, de Mayotte et de Mohéli ».
Zinfos974
via Fdesouche.com
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Israël : "Prisonnier X", l'espion qui en savait trop
La mystérieuse mort du "Prisonnier X" est devenue affaire d'État enIsraël. En témoigne la levée de la censure médiatique imposée depuis deux ans par l'État hébreu. En juin 2010, le quotidien populaire Yedioth Aharonoth avait pour la première fois évoqué le sort de "Monsieur X", prisonnier non identifié détenu dans le plus grand secret près de Tel-Aviv pour un crime inconnu, sans que même les geôliers connaissent les charges pesant sur lui. Puis l'information avait rapidement disparu du site internet du quotidien.
Il aura donc fallu une enquête poussée de la chaîne télévision australienne ABC, diffusée lundi, pour que l'affaire ressurgisse. D'après elle, le "Prisonnier X" se nomme Ben Zygier. Citoyen australien de 34 ans, ce père de deux enfants était membre de la communauté juive de Melbourne. Arrivé en Israël il y a dix ans sous le nom de Ben Allen, il est devenu agent du Mossad. Mais son destin bascule au début de l'année 2010. L'homme est emprisonné dans le plus grand secret dans la prison ultra-sécurisée Ayalon, à Ramla, dans l'aile abritant l'un des prisonniers les plus connus d'Israël : Yigal Amir, l'assassin du Premier ministre israélien Yitzhak Rabin.
Vent de panique à Tel-Aviv
Il sera retrouvé pendu dans sa cellule en décembre de la même année. C'est le récent rapatriement de son corps de Tel-Aviv à Melbourne qui a alerté ABC. Et les révélations de la chaîne australienne ont provoqué un vent de panique à Tel-Aviv. D'après le quotidien israélien Haaretz, le bureau du Premier ministre a immédiatement convoqué une réunion d'urgence du Comité des éditeurs exhortant ses membres à coopérer avec le gouvernement. Le mot d'ordre : "s'abstenir de publier des informations relatives à un incident embarrassant" pour le gouvernement.
Finalement, les médias israéliens ont uniquement été autorisés à reprendre les informations d'ABC, sans apporter le moindre détail supplémentaire. Mais, profitant de leur immunité parlementaire, trois députés d'opposition ont interpellé mardi le ministre israélien de la Justice, Yaakov Neeman. "Est-il normal que le bureau du Premier ministre invite les dirigeants des principaux médias à éviter la publication d'une information susceptible d'embarrasser Israël ?" a par exemple demandé Zehava Galon, dirigeante du parti de gauche Meretz, selon des propos rapportés par l'AFP.
Trahison de l'État
Si le ministre incriminé a botté en touche, rétorquant aux parlements que "les prisons sont sous la juridiction du ministère de la Sécurité intérieure", l'ancien ministre des Affaires étrangères, l'ultranationaliste Avigdor Lieberman, s'est, lui, montré beaucoup plus virulent, accusant les députés de "se solidariser avec l'ennemi", rapporte l'AFP. Mais le plus étonnant reste que le chef de la diplomatie australienne, Bob Carr, n'aurait pas été mis au courant de la détention du citoyen israélien par les autorités israéliennes. C'est en tout cas ce qu'il a indiqué à la chaîne ABC.
"Cela ne m'a jamais été évoqué. Je ne suis pas contre l'idée d'obtenir une explication du gouvernement israélien sur ce qui est arrivé à monsieur Allen et de leur avis sur la question", a notamment déclaré le ministre à la chaîne australienne, tout en ajoutant qu'aucune assistance consulaire n'avait été réclamée par sa famille avant décembre 2010. "Même si le Prisonnier X a été désormais identifié, son crime reste un mystère, même si des mesures aussi extrêmes pourraient indiquer qu'il s'agit d'une affaire de trahison", a précisé Bob Carr.
Recrues du Mossad
Pourtant, il semble bel et bien que certains responsables du ministère australien des Affaires étrangères étaient au courant qu'un de leurs ressortissants avait été incarcéré en Israël en 2010, affirme le quotidien britannique Guardian. Ces fonctionnaires n'ont pour autant pas jugé utile de transmettre l'information à leur hiérarchie. "Les Australiens sont des recrues idéales pour le Mossad. (...) Les Australiens sont généralement considérés à l'étranger comme innocents", explique à ABC Warren Reed, ancien agent pour l'agence australienne des renseignements extérieurs (ASIS).
D'après l'agence australienne des renseignements intérieurs, le Mossad a pour habitude de recruter des juifs australiens à qui il donne des noms à consonance plus anglaise pour ainsi faciliter leur voyage dans des pays arabes ou en Iran. L'affaire du "Prisonnier X" rappelle étrangement celle de l'emprisonnement secret par Israël pendant plus de dix ans de Marcus Klingberg, un espion du KGB, détenu sous un faux nom jusqu'à sa libération en 2003.
"Atteinte grave à la sécurité de l'État"
Outre l'agitation des médias israéliens, la révélation du sort de Ben Zygier a en tout cas provoqué le courroux d'ONG de défense des droits de l'homme. Interrogé par la chaîne ABC, Bill Van Esveld, chercheur à Human Rights Watch, a indiqué que ce cas soulevait des questions sur les droits fondamentaux des prisonniers détenus en Israël. "La principale préoccupation est qu'une personne ne peut tout simplement disparaître. Ceci est contre les normes du droit international", a-t-il insisté.
Protestant contre le silence médiatique imposé sur l'affaire en juin 2010, après la suppression de l'article sur le site internet du Yedioth Aharonoth, l'Association pour les droits civils en Israël avait reçu du bureau du procureur général d'Israël la réponse suivante : "La mesure actuelle est vitale afin de prévenir à une atteinte grave à la sécurité de l'État."
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Scandale Findus: le procès de la malbouffe industrielle
En parallèle au scandale Findus, cette vidéo, tournée en Chine, illustre bien la folie productiviste de l'industrie agro-alimentaire contemporaine. L'homme se coupe de plus en plus de son milieu naturel. L'animal, dans un processus de dénaturation extrême, devient une sorte de plante hors-sol.
via Contre-info.com
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