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25/07/2015

Les tweets du jour

23/07/2015

22 juillet 1987, Londres: 28 ans avant Charlie Hebdo, le Mossad assassinait un dessinateur palestinien

Naji al-Ali (vers 1937, Galilée29 août 1987), est un caricaturiste palestinien. Sa famille s'est réfugiée en 1948 au camp libanais de Ein-el-Helweh.

Durant sa carrière, il a produit environ 10 000 dessins, bien que le chiffre de 40 000 apparaissent le plus souvent, la plupart décrivant la situation du peuple palestinien. Il fut découvert par Ghassan Kanafani et ses premiers dessins prêchèrent l'espoir et la révolution. Il a travaillé au Koweït pour le journal Al Qabas pendant trois années puis il s'est installé à Londres après avoir été expulsé du Koweït en 19851.

Les caricatures de Naji al-Ali expriment la lutte et la résistance à l'Etat israélien et critiquent les régimes arabes. Il disait que ses caricatures étaient :

« l'expression des opprimés qui paient cher leurs vies, portant sur leurs épaules le fardeau des erreurs commises par les autorités. Tout ce qu'ils possèdent a été acquis avec peine, sous le siège constant de la dureté et de la cruauté. Ils luttent pour leur vie et meurent jeunes, ensevelis dans les tombes dépouillées. Ils sont toujours sur la défensive pour pouvoir vivre. Je vis avec eux dans les cachots, observant et brûlant à la pulsion de leurs cœurs, au flot du sang qui coule dans leurs veines. »

Il fut atteint d'une balle dans la tête le 22 juillet 1987 à Londres et succomba à ses blessures à Charing Cross Hospital à Fulham un mois plus tard, et fut le premier caricaturiste à être assassiné pour ses dessins.

En 1988, l'Association mondiale des journaux attribue le prix Golden Pen of Freedom, reçu par sa femme Widad et son fils Khaled. L'Association mondiale des journaux le décrit comme un des plus grands caricaturistes depuis la fin du XXe siècle.

L'assassinat

Le mercredi 22 juillet 1987 vers 17 h 13, Naji gare sa voiture à Eves Street à Londres, à moins de 30 mètres de Alqabas Aldawliya, le journal koweïtien où il travaille. Un de ses collègues raconte qu'il a vu Naji marcher dans la direction des locaux du journal, suivi par un homme aux cheveux noirs portant une veste en jean. Quelques secondes plus tard, il entend un coup de feu et voit Naji par terre et l'homme qui le suivait fuir. Le samedi 29 août, 38 jours plus tard, Naji succombe à ses blessures. Il meurt le 29 août 1987. Il souhaitait être enterré à Ain al-Hilweh aux côtés de son père, ce qui fut impossible à faire et fut enterré au cimetière islamique Brookwood en dehors de Londres.

Selon un porte-parole du journal koweïtien Al Qabas, où Al-Ali travailla près de trois ans, le caricaturiste a reçu plus de 100 menaces de mort durant sa carrière. Ses collègues au journal ont rapporté qu'une bande koweïtienne avait essayé de le tuer avant qu'il ne soit parti du pays. Par la suite, il n'a pas voulu vivre dans un autre pays du Moyen-Orient parce qu'il craignait pour sa vie. Un collègue de Naji Al-Ali a révélé qu'un haut responsable de l'OLP, organisation de Yasser Arafat, a téléphoné au caricaturiste au milieu du mois de juin et lui a dit : « Vous devez corriger votre attitude. » « Ne dites rien contre les personnes honnêtes, autrement nous aurons des raisons pour vous régler votre compte »1. Le 24 juin, malgré les avertissements, il publie un dessin se moquant d'Arafat et ses acolytes.

La police britannique a arrêté un jeune étudiant palestinien, Ismail Hassan Saouane, après avoir trouvé une cache d'armes dans son appartement, qui, selon les dires de la police, serviraient à des attaques terroristes en Europe ; il fut condamné pour possession d'armes et d'explosifs. Saouane était membre de l'OLP, bien que l'organisation ait nié toute implication. Pendant son interrogatoire, Saouane affirma qu'il travaillait pour les services secrets israéliens (le Mossad), qui selon lui était au courant du meurtre du caricaturiste. En refusant de fournir les informations utiles à leurs collègues britanniques, le Mossad s'attira la méfiance de l'Angleterre, qui expulsa deux diplomates israéliens de Londres. Margaret Thatcher, premier ministre de l'époque, ordonna la fermeture des bureaux du Mossad à Palace Green, Kensington.

Une statue de Naji al-Ali par le sculpteur Charbel Faris a été érigée à l'entrée nord du camp Ain al-Hiweh, peu de temps après endommagée dans une explosion mais érigée de nouveau, par la suite, la statue a disparu.

Wikipédia

21/07/2015

Vague d’attentats terroristes en France : la propagande et la censure médiatiques font rage

Ne dites plus « attentat terroriste » ou « attentat islamiste », mais « acte de malveillance » ou mieux, « incident ». Les journalistes français semblent s’être donnés le mot concernant l'attentat à la raffinerie de l'Etang de Berre, dans un bel élan unanime. Ils ont plus sûrement reçu des consignes directement du pouvoir afin de censurer certaines informations (comme le visage du terroriste Yassin Salhi, ou l’attaque des commissariats et gendarmeries le 14 juillet) et de travestir la réalité (en parlant de « déséquilibrés » , d’ « actes isolés », de « loups solitaires », ou d’un simple « acte malveillant »).

L’incendie qui a touché la raffinerie de l’Etang de Berre, le 14 juillet à 3h du matin, est bien sûr un attentat terroriste islamiste perpétré par des sympathisants de l’Etat Islamique. Des explosifs et des détonateurs ont été retrouvés sur place. Les journalistes, très avares de détails, sous-entendent qu’il y aurait un lien avec le vol de détonateurs constaté sur un site militaire français quelques jours plus tôt.

D’ailleurs, les médias ne parlent plus du tout de cet attentat, le gouvernement ayant allumé un contre-feu en arrêtant de jeunes apprentis djihadistes conversant sur internet. Opération visant probablement à rassurer la population face à la vague d’attentats et à occulter le fait que les terroristes de l’Etang de Berre courent toujours…

Comme le disait en janvier dernier Aymeric Chauprade suite à l’attentat de Charlie Hebdo, la France est en guerre contre des musulmans présents sur notre sol, et ayant la nationalité française : une cinquième colonne composée de musulmans salafistes, très nombreux dans notre beau pays...

Le spectre de la guerre civile n'a jamais été aussi présent. Ce qui frappe aujourd'hui, c'est le fait que terrorisme et délinquance (voitures brûlées, attaques de commissariats et gendarmeries, agressions envers les pompiers, "agressions cigarettes"...) ne sont que les deux faces d'une même pièce: l'immigration musulmane. Cela veut dire que l'ennemi qui nous fait face est extrêmement nombreux. D'ailleurs, un des haut-gradés du ministère de la Défense affirmait il y a quelques mois qu'en cas d'émeutes ethniques généralisées sur le territoire national (facilitées par les réseaux sociaux), la force publique ne pourrait faire face...

PNF

France : 18 commissariats ou gendarmeries attaqués en moins de 15 jours

« La nouveauté ce sont des attaques de bâtiments ». Elles ont été dignes de scènes d’émeute. (Source)

Compilation non exhaustive des divers «débordements» ayant touché directement les bâtiments des forces de l’ordre du 1er au 16 juillet 2015 (cette compilation ne prend pas en compte ni les attaques directes sur les forces de l’ordre ni les véhicules de police incendiés ou dégradés).

N’hésitez pas à signaler en commentaire les articles de presse liés signalant des débordements non indiqués ici.

Kremlin-Bicêtre (94) : Le commissariat visé par des tirs au plomb (5 juillet 2015)
Source

Les Ulis (91) : le commissariat caillassé par une quinzaine de personnes. Cette attaque n’a entraîné ni blessé, ni interpellation (nuit du 5 au 6 juillet 2015)
Source

Vaulx-en-Velin (69) : deux jeunes attaquent le commissariat à coups de tirs de mortier d’artifice (7 juillet 2015)
Source

Valence (26) : des jeunes ont tenté d’incendier le poste de police du quartier (nuit du 8 au 9 juillet 2015)
Source

Fontenay-le-Fleury (78) : tir de mortier contre le commissariat de police (nuit du 9 au 10 juillet 2015)
Source

Dinan (22) : Une bande de jeunes prend d’assaut la gendarmerie (nuit du 10 au 11 juillet 2015)
Source

Vaulx-en-Velin (69) :  le commissariat a fait l’objet de tirs de projectiles dont une grenade à plâtre (nuit du 12 au 13 juillet 2015)
Source et Source

Noisiel (77) : le commissariat a subi trois attaques par des tirs de mortiers et de divers projectiles (nuit du 13 au 14 juillet 2015)
Source

Trappes (78) : le commissariat a été visé à deux reprises par des tirs de mortiers (nuit du 13 au 14 et du 14 au 15 juillet 2015)
Source

Les Ulis (91) : le commissariat attaqué par une quarantaine de caillasseurs, jets de cocktails Molotov, de mortiers et de pierres (nuit du 13 au 14 juillet 2015). « On en est à trois attaques de ce commissariat en moins de quinze jours »
Source

Neuilly-Plaisance (93) : les locaux de la police municipale y ont été « assiégés par une centaine d’individus » (nuit du 13 au 14 juillet 2015)
Source

Saint-Denis (93) : le bâtiment du peloton autoroutier de la CRS7 a été la cible de jets nourris de mortiers. Un véritable guets-apens avait été monté pour accueillir la police. Sur le toit des immeubles de la cité Joliot-Curie qui jouxte les locaux de la CRS7, des jeunes projetaient des barres de fer sur les patrouilles. (nuit du 13 au 14 juillet 2015)
Source

Garges (95) : le commissariat assiégé et visé par des tirs de mortiers (nuit du 13 au 14 juillet 2015)
Source et Source

Fosses (95) : plusieurs cocktails Molotov ont été lancés sur les bâtiments de la gendarmerie (nuit du 13 au 14 juillet 2015)
Source

Sarcelles (95) : des tirs de mortiers sur le parking du commissariat (14 juillet 2015)
Source

Champigny-sur-Marne (94) : le commissariat a été visé par un tir de mortier et les policiers ont utilisé leurs flash-balls pour repousser des assaillants, sans qu’il n’y ait d’interpellation (nuit du 14 au 15 juillet 2015)
Source

Montigny-lès-Cormeilles (95) : le poste de police visé par deux jets de cocktails Molotov (nuit du 14 au 15 juillet 2015)
Source

Meylan (38) : les locaux de la Police municipale incendiés (nuit du 14 au 15 juillet 2015)
Source

Conflans-Sainte-Honorine (78) : le commissariat visé par un tir de fusée de feu d’artifice (nuit du 14 au 15 juillet 2015)
Source

Marseille (13) : le commissariat du 3e visé par deux cocktails molotov (nuit du 15 au 16 juillet 2015)
Source

Fdesouche.com

Reims (51) : des policiers attaqués aux cris de « On prend les armes et on va les niquer ! Allah Akbar ! »

Des policiers rémois attaqués avec des pavés et des haltères. Un violent caillassage s’était produit la semaine dernière au quartier Wilson à Reims pour empêcher l’arrestation d’un jeune. Un participant a été condamné vendredi.

Ce 9 juillet, vers 20 heures, une patrouille décide de contrôler les identités d’un groupe de jeunes rassemblés rue Maurice-Ravel, à côté de la maison de quartier Louise-Michel. L’un d’eux s’enfuit. Il rejoint la place Mozart et s’engouffre dans une boucherie.

Maîtrisé, le fuyard est ramené vers la voiture de police en présence d’un grand nombre de jeunes. « Ne les laissez pas m’embarquer ! », aurait-il crié.

Dès lors, « une pluie de projectiles est tombée en direction des policiers », relate à l’audience l’avocat des trois fonctionnaires pris à partie. « Il y avait une vingtaine d’individus qui lançaient des pavés, des gravats et même des haltères. L’un d’eux a hurlé : On prend les armes et on va les niquer ! Allah Akbar ! Allah Akbar ! »

Source

Violences urbaines dans l’Oise : les pompiers à bout de nerfs

Dans l’Oise, comme dans d’autres départements, les violences urbaines ont fait leur retour. Beauvais, Creil, Compiègne ont été touchées et dans les casernes le mot d’ordre est : surtout ne pas communiquer. Pourtant aujourd’hui, les pompiers sont à bout de nerfs. Lorsqu’ils sont appelés le soir dans un quartier sensible, c’est avec une boule au ventre qu’ils partent en intervention. « Quand on est victime d’une agression, on reste marqué pour longtemps, explique Ludovic Ruaux, responsable départemental du syndicat autonome des sapeurs-pompiers. Comment nous demander d’aller sur une intervention sans que l’on ait cette peur au fond de nous ? Il faut savoir que nous ne pouvons pas exercer notre droit de retrait avant d’être confronté directement à la difficulté. » C’est ce qui s’est passé à Beauvais. « Mais l’agression est là, rapporte Ludovic Ruaux. Nous sommes au contact direct de nos concitoyens. Nous devons intervenir et porter assistance alors que nous sommes agressés. C’est une situation conflictuelle très dure à supporter. Nous n’y sommes pas réellement préparés. On ne peut pas jouer notre vie pour remplir notre mission et porter assistance ».

Dans l’Oise, les pompiers ont pourtant suivi une formation avec les policiers pour essayer de mieux gérer les interventions délicates. « On nous a surtout appris à nous sortir d’un guet-apens, précise Ludovic Ruaux. Nous avons besoin que l’Etat débloque des moyens pour nous aider à remplir nos missions. En clair, nous devons avoir une escorte pour ne pas avoir à exclure certains quartiers, sinon on court à la catastrophe ».

(…) Le Parisien

via Fdesouche.com

Quand je pense à Hollande, Valls, Sarkozy, Juppé... (Les Brigandes - clip vidéo)

Intervention de Marion Maréchal-Le Pen sur le projet de loi sur le droit des étrangers

Le Salon Beige  via Fdesouche.com

I-Media (17 juillet 2015) - Voitures brûlées du 14 juillet : le grand enfumage

00:57 – Voitures brûlées du 14 juillet : Le grand enfumage
10:05 – Le zapping d’I-Media
17:58 – La campagne de rééducation de France Télévisions
25:14 – Les tweets d’I-Media
30:44 – La pétition « Touche pas à mon Eglise »
37:01 – Le bobard de la semaine

TV Libertés

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