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10/06/2015

Florian Philippot: "Vallaud-Belkacem est la pire ministre de l'Education Nationale depuis des décennies" (Sud Radio)

Sud Radio

09/06/2015

Mathieu Weill : « Les Américains ne veulent pas prendre le risque de perdre le contrôle d’Internet »

Le directeur général de l’Afnic, Mathieu Weill, dirige un groupe de travail international sur la réforme de la gouvernance d’Internet. Il fait le point sur les enjeux et le calendrier de ce chantier, pour Contexte.

Une vaste réforme de la gouvernance d’Internet est en cours. Sur quels points portent les débats ?

Le sujet se cristalise sur la gestion des ressources techniques, car il existe un point central de coordination, l’Internet corporation for assigned names and numbers (Icann), qui est une association de droit californien. Elle assure la gestion technique du serveur racine, la fonction Iana, ainsi que les fonctions de régulateur du secteur, attribuant des licences et encadrant les tarifs.

L’Icann est lié au gouvernement des États-Unis par un contrat sur la partie technique, qui prend fin en septembre 2015. Les États-Unis ont annoncé brusquement, en mars 2014, qu’ils comptaient abandonner la supervision de la partie technique, en supprimant tout lien contractuel avec l’Icann.

Comment analysez-vous cette initiative du gouvernement américain d’abandonner la supervision de l’Icann ?

Le gouvernement américain a lancé le mouvement, car il est sous pression. La conférence de l’Union internationale des télécoms (UIT) de Dubaï, en 2012, s’est très mal passée. Elle a abouti à une décision dont les États-Unis et les pays européens ne voulaient pas. Et ils ne l’ont pas signée, car elle aurait pu donner un rôle à cette organisation dépendant de l’Onu dans la gouvernance d’Internet.

Les Américains ont pris conscience que cette situation pouvait se reproduire à l’occasion d’autres sommets internationaux. Ils ont donc fait leur annonce le 24 mars 2014, afin de couper court à tout risque, lors du sommet Netmundial, qui s’est tenu au Brésil le 20 avril. Avec succès.

Quelles opportunités cette annonce ouvre-t-elle ?

Cette annonce des Américains a ouvert une boite de Pandore, créant l’impression que tout devenait possible. Des questions autrefois taboues ont été posées d’un seul coup, comme la fin de la tutelle des États-Unis ou la refonte de la gouvernance de l’Icann.

Ce contrat sur la partie technique est très vite apparu comme la clé de voûte du système. Le retrait du contrat est la seule menace que l’on peut brandir contre l’Icann si elle se met à faire n’importe quoi dans sa fonction de régulateur. La nécessité d’une réforme de sa gouvernance est devenue une évidence.

Quels mécanismes sont-ils mis en place pour préparer cette transition ?

Deux groupes de travail ont été créé, l’un sur les aspects techniques, l’autre sur la gouvernance. Je copréside le second, avec un représentant allemand et un mexicain. C’est un groupe ouvert, avec environ 160 personnes qui travaillent essentiellement à distance.

Il doit produire des recommandations sur une refonte de l’Icann, et nous avons publié un rapport intermédiaire. Nous souhaitons qu’une véritable séparation des pouvoirs se mette en place à l’Icann : une assemblée générale, au dessus du conseil d’administration (l’instance toute-puissante), ainsi qu’un véritable tribunal interne.

Quelle serait la recommandation la plus importante à vos yeux pour sécuriser le nouveau dispositif ?

L’essentiel réside dans la mise en place d’un panel de juges, qui doivent être les plus puissants possible. Les voies de recours actuelles, au sein de l’Icann, sont peu efficaces, car ce sont parfois les mêmes personnes qui siègent dans l’organe de décision et dans celui de recours. La polémique autour des noms de domaines en. vin est une bonne illustration du problème.

Il est indispensable que l’organe juridictionnel interne soit doté d’une forte légitimité. L’Icann étant basé en Californie, et le restera sans doute, ce sont les tribunaux de cet État qui sont compétents pour traiter des litiges qui ne sont pas réglés en interne. Non seulement, ces procédures coûtent cher, mais elles favorisent les Américains, qui savent mieux utiliser les subtilités de leurs tribunaux.

Existe-t-il un risque de retour en arrière ou de blocage du processus ?

L’équilibre politique est fragile, car le climat est très polarisé à Washington. Les républicains sont contre, et tout repose sur les démocrates. L’actuelle administration s’est engagée, mais la position que prendra le candidat démocrate à la présidentielle sera décisive. Tout grain de sable dans la mécanique peut la bloquer, car il est hors de question, pour les Américains, de prendre le moindre risque de perdre le contrôle d’Internet.

Le calendrier est serré. La vraie limite est calée sur la campagne présidentielle américaine et l’environnement politique à Washington. Il est donc nécessaire qu’une décision de principe soit prise pour la fin de l’année 2015 et mise en oeuvre avant le « black-out » imposé par la campagne électorale, qui débutera à l’automne 2016. Sinon, il faudra tout reprendre depuis le début.

La France et l’Europe sont-elles présentes dans ces débats ?

Le sujet est dominé par les Anglo-saxons, et les États-Unis ont les moyens de siffler la fin de la partie à n’importe quel moment.

La Commission européenne essaye de jouer un rôle d’harmonisation des positions, mais elle se heurte aux États membres, et les positions sont diverses. La Suède et le Royaume-Uni sont proches des positions américaines, alors que la France et l’Allemagne sont sur une ligne plus indépendante.

D’autres pays, comme le Brésil et l’Inde, sont présents et revendicatifs. En revanche, la Russie est absente et les Chinois se montrent très discrets,  comme souvent dans les négociations internationales.

Contexte

08/06/2015

GeoPoles n°02 : le rôle de la Russie comme puissance d’équilibre dans le monde (12 mars 2015)

Richard Haddad reçoit :

- Marc Rousset, diplômé H.E.C, Docteur ès Sciences Economiques, MBA Columbia University, AMP Harvard Business School, a occupé pendant 20 ans  des fonctions de Directeur Général dans les groupes Aventis, Carrefour et Veolia. Son dernier livre s’intitule « La Nouvelle Europe : Paris-Berlin-Moscou »

- Tancrède Besse, diplômé de Sciences Po, professeur d’histoire et aux préparations à Sciences Po, journaliste et entrepreneur

 

TV Libertés

 

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(Carte des bases militaires américaines)

 

"Il y a une volonté idéologique, médiatique, de nous voler notre mémoire" (Jean-Yves Le Gallou - I Média)

I Media du 5 juin 2015 – Le Point sur les arabes, bobard historique

02:07 – Syrie, le bobard christianphobe

07:59 – Le zapping d’I-Média
15:45 – Le patron d’M6 avoue, c’est la pub qui commande
18:40 – Les tweets d’I-Média
25:13 – Le Point sur les arabes, désinformation historique
31:39 – Le bobard de la semaine

TV Libertés

Sanctions de l’UE contre la Russie : les gagnants sont … les USA !

eurotitanic

Le président russe a fait part de son « étonnement » après avoir divulgué les chiffres du commerce avec l’Union européenne et les Etats-Unis. Le président russe semble insinuer que les Américains profiteraient des sanctions infligées contre la Russie au détriment des Européens…

Vladimir Poutine n’a pas boudé son plaisir ce lundi en envoyant une nouvelle « pique » aux Européens. Le président russe a ainsi feint l’étonnement en annonçant que si le commerce entre la Russie et l’Union Européenne avait bien baissé sous l’effet des sanctions, celui avec les Etats-Unis avait au contraire augmenté.

« Lorsque j’ai regardé les statistiques aujourd’hui, certaines choses m’ont surpris », a déclaré l’homme fort de la Russie avant de préciser: « Les échanges commerciaux avec l’Union européenne ont chuté de 4,3% et les importations ont aussi diminué de l’ordre de 7-8-10 % selon les pays ».

Les importations en provenance des Etats-Unis: +23%

Vladimir Poutine a indiqué que la situation continuait à se « dégrader » avec l’Allemagne, l’un de ses principaux partenaires en Europe. A l’inverse, les échanges commerciaux auraient augmenté de 7% entre la Russie et les Etats-Unis, selon le président russe. Les importations en provenance des Etats-Unis auraient même augmenté de 23%.

Le Kremlin semble insinuer que les Européens sont les grands perdants de la crise ukrainienne et des sanctions qui frappent la Russie, et ce au profit des États-Unis. Ceux-là même qui ont soutenu Bruxelles dans la surenchère des sanctions commerciales à l’encontre de Moscou…

Encore une fois le Front National, comme pour la Libye, avait vu juste en indiquant que des secteurs entiers de l’industrie (agriculture, agroalimentaire) allaient pâtir de ces sanctions. Cela n’est pas sans rappeler que les « yankees » avaient poussé en 2013 Renault à ne plus vendre de véhicules en Iran (marché de 1,3 M d’Euros pour le constructeur) pour mieux prendre place sur le marché iranien permettant en même temps aux constructeurs chinois de grignoter 10% du marché.

Les journalistes, bien avares en analyse de la « realpolitik » et des luttes commerciales en cours, feignent de s’étonner de cette situation après avoir soutenu la ligne qui rend possible ce résultat. C’est le cas d’Arnaud Leparmentier du journal Le Monde qui indique que l’UE est ainsi un « pigeon » dans cette affaire.

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L’UE et le gouvernement français sont des suivistes stupides des USA: les conséquences sont mortifères pour notre économie !

FN Infos

(remarque: article d'origine truffé de fautes... conseil à FN Infos: une relecture par une tierce personne s'impose...)

Déchéance de la nationalité française : le grand enfumage

Par Jean-Richard Sulzer, Professeur agrégé des Facultés

Lire ce très intéressant article sur le site du Front National

Immigration : les clandestins demandent à la France de fermer ses frontières

Communiqué de Wallerand de Saint Just, Tête de la liste FN-RBM aux élections régionales en Ile-de-France

S’il est un mal bien français que les clandestins fraîchement arrivés assimilent rapidement, c’est l’assistanat ! Sans doute le meilleur résultat obtenu par la kyrielle d’associations, souvent grassement subventionnées, en charge de leur expliquer leurs multiples droits tandis que nos compatriotes en détresse sont largement laissés à l’abandon.

Ainsi les clandestins évacués du camp de La Chapelle, à Paris, qu’ils occupaient illégalement depuis de longs mois et maintenant logés à l’hôtel dans toute l’Ile de France, se plaignent-ils ouvertement aux journalistes du Parisien : « on a un lit et une douche, mais on n’a rien à manger ». Ils sont donc désormais logés et blanchis aux frais des contribuables d’un pays dont la dette s’élève à plus de 2000 milliards d’Euros, mais, quel scandale, ils ne sont pas encore nourris par nos impôts !

Et de continuer à réclamer : « la seule chose que je demande c’est un travail ». On en parlera aux cinq millions de chômeurs que compte déjà l’hexagone. Ce clandestin donne pourtant lui-même la solution : « fermez vos frontières puisque vous ne savez pas accueillir les migrants ». Excellente idée ! On en profitera pour le renvoyer dans son pays d’origine afin qu’il répande la nouvelle et dissuade d’autres égarés de tenter l’aventure européenne.

Je gage que les finances des communes franciliennes qui viennent de voir débarquer ces nouveaux hôtes si exigeants et qu’elles vont devoir prendre en charge sur leur budget propre d’ici quelques jours, ne s’en sentiront que moins mal.

Front National

A Meaux, le voile intégral ne se cache plus

Meaux, juin 2011. La loi interdisant le voile intégral dans les lieux publics est en vigueur depuis quatre ans. Elle a été rarement appliquée. En 2014, une seule amende a été délivrée, à Meaux, à une convertie de 22 ans.

Quatre ans après son entrée en vigueur, la loi interdisant le port du voile intégral sur la voie publique, initiée par Jean-François Copé, n’est quasiment pas appliquée. Y compris à Meaux.

En 2014, une seule femme y a été verbalisée pour port du niqab.

Dans cette ville tranquille de banlieue, dirigée depuis 1995 par le député UMP, la moitié des 54 000 habitants vit en quartier sensible. La rénovation urbaine, plutôt réussie, a réduit le taux de logements sociaux à 40 % et distillé la mixité sociale dans les quartiers Beauval et Dunant. Mais l’intégrisme musulman y est de plus en plus visible. Les femmes intégralement voilées se promènent dans les parcs publics, au marché du dimanche matin, entrent dans les supermarchés. Sans être verbalisées.

A la pharmacie du quartier Dunant, des hommes refusent d’être servis par les pharmaciennes et préfèrent attendre qu’un préparateur soit disponible. L’été 2012, une librairie musulmane a ouvert dans ce quartier. Elle vend des niqabs qu’on ne trouvait jusqu’alors qu’au marché. A Beauval, un kebab a installé, durant un an et demi, des cabines équipées de rideaux pour que les femmes en niqab, cachées du regard des autres, puissent déjeuner en retirant leur voile. Le patron vient d’enlever les rideaux, tout en défendant le port du niqab. « Il faut juste le retirer dans les écoles et les banques ». Des ados voilées n’hésitent plus à traiter de « putes » des jeunes filles en short. Plus grave, l’été dernier, des hommes en djellaba ont arpenté le service psychiatrie de l’hôpital de Meaux pour y recruter des candidats au jihad.

Article complet et vidéos sur le site du Parisien

06/06/2015

Rabbah, boucher halal de Roubaix, recrute dans sa communauté : « Chacun les siens comme on dit »

Rabbah, boucher halal de Roubaix, choisit tous ses employés dans sa communauté et il l’assume : « Quand je vais à l’ANPE je demande un boucher halal, un boucher halal parce que je favorise ma communauté, chacun les siens comme on dit… »

Voir reportage Zone interdite

via Fdesouche.com

05/06/2015

Ecologie: la vente “en vrac” a le vent en poupe

De plus en plus de produits sont vendus “en vrac”, c’est-à-dire sans emballage. Plus écologique, ce nouveau mode de consommation permet aussi de lutter contre le gaspillage alimentaire. Très appréciée des consommateurs, la vente “en vrac” fleurit dans les épiceries.

France TV Info

via Fortune Fdesouche