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22/11/2016

Image du jour: Ali Juppé, maire de Bordeaux

(cliquer sur l'image pour l'agrandir)

 

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21/11/2016

Invasion migratoire: des musulmans manifestent devant le Colisée de Rome pour réclamer la construction de plus de mosquées en Italie (oct 2016)

 

Quand Fillon enfilait le burnous et se félicitait des 2000 mosquées construites en France...

Fillon, le candidat "de droite" pro-migrants ...

Le tweet du jour

20/11/2016

Zemmour: "L'islam n'est pas compatible avec la France"

Fillon, un candidat de "droite" pro-immigration

Grèce: le mouvement national de la Grande Idée

carte en couleurs de la Grèce, montrant les différentes étapes de son extension territoriale

 

La Grande Idée était l'expression du sentiment national puis du nationalisme grec aux XIXe et XXe siècles. Elle visait à unir tous les Grecs dans un seul État-nation avec pour capitale Constantinople. Elle prit avant tout la forme d'un irrédentisme. Le terme fut inventé en 1844 par Ioannis Kolettis, Premier ministre du roi Othon Ier. La Grande Idée a dominé toute la politique extérieure et par conséquent la politique intérieure de la Grèce. De la guerre d'indépendance dans les années 1820, au problème chypriote des années 1970 en passant par les guerres balkaniques du début du XXe siècle, le principal adversaire de la Grèce dans sa réalisation de la Grande Idée fut l'Empire ottoman puis la Turquie.

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Histoire: la guerre d'indépendance en Grèce

File:The Souliot Women 1827.jpg

 

Sous l’emprise des idées de la Révolution française, la Grèce aspire à son indépendance au début du XIXe siècle. Elevés dans le culte de la gloire hellénique, montagnards, ecclésiastiques, hospodars, riches commerçants et banquiers se soulèvent après la fondation en 1814 à Odessa d’une société secrète de patriotes grecs, l’Hétairie. Celle-ci a pour chef Alexandre Ypsilanti, aide de camp du tsar Alexandre.


En attaquant Ali, le rebelle pacha de Janina, le sultan ottoman Mahmoud II provoque la première guerre gréco-turque. En 1822, le congrès d’Epidaure proclame l’indépendance de la Grèce.


A partir de 1824, des comités de philhellènes se constituent en France, où Charles X se heurte à l’opposition des libéraux, mais aussi des défenseurs de la chrétienté menés par Chateaubriand. L’art y est politisé à l’extrême. Les romantiques attaquent les néoclassiques. Hommes politiques et hommes d’affaires, artistes, intellectuels, bourgeois, aristocrates libéraux – dont Louis-Philippe – passionnés par l’action de Byron à Missolonghi, de Chateaubriand et de Victor Hugo, soutiennent les héritiers de la Grèce antique contre les barbares, les chrétiens contre les musulmans. Les libéraux, opposés à tout despotisme, pressent les gouvernements réticents d’intervenir tandis que des réfugiés arrivent en France.


En 1826, l’Angleterre et la Russie interviennent avant d’être rejointes en 1827 par la France : le 27 octobre, l’alliance des trois puissances inflige à la flotte turco-égyptienne une sévère défaite à Navarin. En 1830, l’indépendance grecque est enfin reconnue.

source

 

19/11/2016

Berlin: les 9% de musulmans représentent 70 % des jeunes criminels récidivistes