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11/01/2015

L'image du jour

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via Fdesouche.com

Carcassonne : « Sale Français », « Allah akbar », pompiers et policiers pris pour cible

C’était une intervention classique, comme ils en font des dizaines par an. Mais dans la nuit de vendredi à samedi, les sapeurs-pompiers et les policiers de Carcassonne ont été accueillis rue du Pont-Vieux sous des jets de projectiles, accompagnés de menaces racistes.

Il est un peu plus de 2h30 du matin. D’un petit immeuble de deux étages faisant l’angle entre les rues du Pont-Vieux et des Trois-Couronnes, s’échappe une épaisse fumée du logement situé au premier étage. Arrivés quelques minutes avant les pompiers, les policiers ont déjà établi un périmètre de sécurité. C’est alors qu’à une cinquantaine de mètres de là, depuis la résidence HLM du Pont-Vieux, fusent des cris.

Puis un «sale Français» suivi d’un «Allah akbar» lancé depuis un balcon avant le jet de plusieurs bouteilles de verre. L’une d’elles va même toucher un policier à la tête, le blessant légèrement. Le fonctionnaire sera directement transporté, quelques minutes plus tard, par ses collègues jusqu’à l’hôpital de Carcassonne, avant qu’une équipe de la BAC ne soit appelée en renfort. Et c’est sous la protection de leurs boucliers et de leurs armes de poing que les fonctionnaires vont investir la résidence sociale, pour interpeller, non sans mal, trois jeunes gens âgés de 18, 19 et 20 ans.

Source

via Fdesouche.com

Ils sont “Charlie” ? Ils sont déjà morts

Charlie Hebdo représentait la pire forme de l’idéologie libertaire qui, sous couvert de contestation et de transgression, était sanctuarisée par le pouvoir actuellement en place dont elle était l’insigne agent symbolique et moral. En une image, Charlie Hebdo, c’était le « beauf » de Cabu : ce sale franchouillard raciste moustachu dont on cherchait à faire croire qu’il était la lie de l’humanité et sur lequel on tapait sans fin comme s’il était le tortionnaire malfaisant des gentilles populations immigrées venues enrichir la France. [...]

Ce que révèle enfin cette défaite idéologique transparaît aussi dans la prolifération écœurante des « Je suis » (Charlie, Kouachi, Charles Martel, juif etc.). Cette inflation revendicatrice a au moins un mérite objectif : révéler que dans ce conflit interne au nihilisme, c’est bien l’identité qui est en jeu et rien d’autre. C’est bien d’être dont il s’agit dans l’élément de l’Histoire, toujours, tout le temps, partout. D’être, personnel, familial, collectif, national, civilisationnel. Ceux qui manifesteront dimanche, eux, ont choisi leur camp. Ils sont Charlie ? Ils excluent les patriotes et préviennent des dangers de l’islamophobie et du racisme au moment même où l’islam les détruit et déploie sa haine anti-occidentale ? Alors oui, cela est bien clair, ils sont Charlie, c’est-à-dire qu’ils sont déjà morts.

Ils n’ont rien compris, ils n’ont tiré aucune leçon, pas saisi que le libéralisme-libertaire et le fanatisme littéraliste sont les deux faces d’une même pièce : une culture de mort, morale, par l’atomisation individualiste, une culture de mort, physique, par le massacre aveugle. En proclamant qu’ils sont Charlie, ils prolongent la nuit de cette obscurité progressiste qui n’est que le contrepoint de l’obscurantisme mahométan. Ils contribuent, encore et toujours, à favoriser les conditions de développement du négatif qui pourtant les a presque déjà complètement détruits.

Notre être à nous, lui, est bien vivant, parce qu’il est français. Qu’il ne croit pas à la fable du progrès, au multiculturalisme, à la République abstraite, au mondialisme souriant. [...]

Charlie est mort et ceux qui continuent de s’en revendiquer sont morts aussi. Les autres sont éveillés et vivants. Ils sont la France. Et ce sont eux qui gagneront la guerre qui advient.

par Ulysse

Tribune complète sur Novopress  (lecture vivement conseillée)

via Fdesouche.com

Est-on déséquilibré parce qu’on crie « Allah Akbar » ? (21 déc 2014)

Qualifier systématiquement de « déséquilibré » tout homme dès qu’il crie « Allah Akbar » (« Dieu est plus grand »), n’est-ce point là faire preuve d’islamophobie ?

Que ce soit à Sydney ou à Joué-lès-Tours ou bien encore à Dijon, dès qu’un homme a assassiné ou tenté d’assassiner des personnes comme vous et moi, nombre de mes confrères journalistes ont immédiatement affirmé non qu’il « s’agirait » mais qu’il s’agissait (à l’indicatif) d’un « déséquilibré ». Pour quelle raison ? Non parce qu’il avait mais parce qu’il « aurait » (au conditionnel) crié : « Allah Akbar ! »

Ces « présumés » agresseurs sont bien des « déséquilibrés » puisque toujours seuls à agir ! OK, à Dijon, un témoin dit que le « déséquilibré » qui venait de foncer sur 11 piétons en prenant la direction du… commissariat était en compagnie d’un passager. Certes, celui-là a quitté précipitamment la voiture et s’est enfui en courant. Mais, à coup sûr, ce n’étaient qu’un innocent auto-stoppeur arrivé à destination et pressé de rentrer chez lui pour connaître les derniers résultats de foot !

Autres preuves qu’il s’agissait bien de « déséquilibrés » : tant à Joué-lès-Tours qu’à Dijon, les armes étaient dérisoires. À Joué, il fallait vraiment être « déficient mental » pour attaquer des policiers – qui plus est dans un commissariat – armé d’un vulgaire couteau ! Il n’aurait pu en tuer que deux ou trois ! Une telle idée est vraiment « démentielle » !

Et à Dijon, se servir d’une voiture pour tenter de tuer des piétons ! C’est ridicule et donc, c’est certain, le conducteur ne devait pas « jouir de toutes ses facultés mentales » !

De là à qualifier systématiquement ces « présumés » agresseurs de « déséquilibrés » tout en précisant qu’ils « auraient » crié « Allah Akbar », même si eux-mêmes se vantent d’être les « fous d’Allah », ne s’expose-t-on pas à être qualifié d’islamophobe ou – qui pis est – de « zemmouriste » par les associations de censure de la pensée.

Au fait, ces associations, on le sait, sont promptes à s’offusquer du moindre mot qu’elles n’ont pas compris ou voulu comprendre parce que venant de la droite de l’échiquier politique ou du moindre souffle d’une boulette parce que tirée à l’aide d’une sarbacane par un représentant des forces de l’ordre. Et pourtant, aucune de ces associations n’a protesté contre les autorités australiennes, voire auprès de la reine Élisabeth II, souveraine de cette monarchie parlementaire, contre la torture physique et psychologique infligée au malheureux « malade mental » preneur d’otages de Sydney ! Car ne pas permettre à un être humain de se reposer au moins après huit heures de discussions intenses avec les responsables des forces de l’ordre, ce n’est pas faire preuve d’humanité mais plutôt de torture ! Pensez : ces responsables australiens l’ont ainsi harcelé durant seize heures ! Sans même une pause-café ! Et aucune association droitdelhommiste n’a protesté…

 

Un pan entier de la jeunesse soutient les terroristes

À l’heure où j’écris ces lignes, tous les terroristes ont été identifiés : les frères Kouachi, et deux nouveaux complices, monsieur Amedy Coulibaly, et mademoiselle Hayat Boumediene, les preneurs d’otages de la porte de Vincennes, suspectés de l’assassinat d’une policière à Montrouge. Ils partagent quelques points communs : ils ont eu les honneurs des médias compatissants dans leur jeunesse et ils ont été arrêtés par la police à de multiples reprises avant de passer à l’action armée. Les frères Kouachi ont démontré leur maîtrise de l’art du rap dans un reportage diffusé sur France 2, et Amedy Coulibaly a été interrogé par le journal Le Parisien en 2009, date à laquelle il était invité à l’Élysée pour y rencontrer Nicolas Sarkozy. En revanche, nous, Français patriotes, industrieux et honnêtes, ne verrons jamais les caméras de télévision sur les pas de nos portes. Excepté pour être ridiculisés et caricaturés par « Le Petit Journal » et les autres.

Autre ressemblance : ils ont tous bénéficié du laxisme coupable de la justice. Amedy Coulibaly était condamné à cinq ans de prison ferme, en décembre 2013, pour avoir préparé « un projet d’évasion et un attentat de grande ampleur ». Pourtant, il était libre de tuer aujourd’hui. A-t-il finalement été envoyé en stage de slam, de tags, ou de poney, pour se « réinsérer » dans notre société, pour s’y « inclure » ? Car oui, vous le savez, le ministre de la Justice, Christiane Taubira, pense que la répression n’est pas la solution adaptée pour les victimes éternelles. Les seuls à être coupables sont les patriotes, au premier rang desquels figurent les polémistes engagés, soumis à la censure pour avoir prévu ce qui se passe aujourd’hui, soumis à l’injure pour ne pas avoir courbé l’échine face à l’aveuglement d’un pouvoir totalement dépassé par les enjeux contemporains.

connards

Les directs de BFMTV, ou i>Télé auront aussi été l’occasion de découvrir crûment ce que nous savions déjà : un pan entier de la jeunesse soutient les terroristes. Nous avons vu en arrière-plan, rigolards, provocateurs, glissant « quenelles », les supplétifs des forces de la mort ; cette jeunesse qui ne veut pas être française, profondément apatride, décérébrée, ultra-violente, car trop choyée, entretenue. Et nous savons que nombre de minutes de silence ne furent pas respectées dans les lycées, collèges et établissements secondaires français. Tous ces éléments mériteront un examen profond, minutieux, et des solutions concrètes.

Nos analyses sont désormais tristement confirmées par la réalité, et le mur du mensonge n’est plus craquelé, il est brisé. Les patriotes doivent être fiers, car ils sont l’incarnation d’une France lucide et courageuse. Le « vivrensemblisme », la légèreté libertaire ne seront plus ; et nous, de notre côté, essaierons toujours de défendre une idée simple, une idée qui touchera les Français dans leur âme, la seule à même de nous sauver : le vivre français en France. Pour ce faire, il faudra nous redresser, dignement, sobrement, en Français. Et, surtout, ne plus jamais nous arrêter, ne plus jamais écouter les leçons de morale des incompétents et des obscurantistes de l’utopie globaliste.

 

D’un fait divers dans la rue avec des musulmans (27 déc 2014 - Bd Voltaire)

Face à la violence quotidienne de ces jeunes musulmans qui ont la nationalité française alors qu’ils crachent sur la France, la peur s’est instaurée petit à petit et s’impose aux Français.

Vu très récemment à la sortie de la plus grande basilique romane d’Europe située à Toulouse : quelques Français, croyants ou non, pratiquants ou non, sortent d’un concert de Noël donné traditionnellement chaque année sur ce qui est l’un des orgues les plus réputés du monde. Quelques-uns prolongent ce temps de musique sacrée par une discussion informelle dans la rue devant la basilique avec un religieux en habit. Passent alors trois jeunes hommes « issus de la diversité » (lisez trois Maghrébins) et d’une religion dont on ne cesse de nous affirmer qu’elle est pétrie de tolérance et de paix. Comme pour le confirmer, voici que ces trois musulmans tolérants et pacifiques agressent verbalement et publiquement les méchants Français et le prêtre en criant « Vive l’islam ! » Bref, un fait divers qui n’en est pas un et comme il y en a à longueur de semaine.

Et que pensez-vous qu’il s’est passé ? Eh bien, rien. Personne n’a réagi. Pour ne pas provoquer. Pour ne pas voir la situation dégénérer. Pour ne pas risquer de voir Rachid, Mouloud et Mohammed appeler leurs copains et tomber à plusieurs sur des personnes sans défense. Pour ne pas risquer une tête au carré ou, pire, un coup de couteau qui serait forcément « l’acte d’un déséquilibré mental ». Car tel est le drame d’aujourd’hui : face à la violence quotidienne, et en particulier la violence de ces jeunes musulmans qui ont la nationalité française alors qu’ils crachent sur la France et veulent la détruire, la peur s’est instaurée petit à petit et s’impose aux Français.

Que pouvaient faire les personnes présentes ? Oser répondre ? C’est prendre le risque de susciter une violence qui restera impunie. Aller à la police ? C’est perdre son temps car il n’y a pas d’infraction. Alors les Français se taisent et rongent leur frein. Ils n’osent même plus dire qu’ils sont victimes d’un racisme anti-français. Lorsqu’ils sont croyants, ils n’osent plus dire qu’il y a des actes anti-chrétiens. Ils n’osent pas affirmer que ces réalités, ce sont aussi des réalités de l’islam en France. Et cela se vérifie jusqu’au plus haut niveau de l’État, lorsque le gouvernement s’évertue à faire croire au peuple que trois attentats aux modes opératoires similaires, et commis à quelques jours d’intervalle, ne sont que des coïncidences qui n’ont que peu à voir avec l’islam.

Des Palestiniens chrétiens me disaient il y a quelques années que, contrairement à eux qui subissent le joug de l’islam de génération en génération depuis 1.300 ans, nous autres Occidentaux étions très naïfs avec les musulmans. Et d’ajouter que le jour où les musulmans en France se sentiront assez forts et avec un sentiment d’impunité, alors l’islam deviendrait un vrai problème pour notre société. Les faits leur donnent aujourd’hui raison.

Alors que pouvons-nous faire ? Eh bien parler, écrire, dire les choses. Nous devons oser témoigner et dire autour de nous qu’il y a un tel racisme, une telle violence, une telle intolérance et que l’islam devient un problème. Ne plus nous taire.