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10/01/2015

Les « Je suis Charlie » prennent les Français pour des Charlots

Les « Je suis Charlie » prennent les Français pour des Charlots

Cette doxa fonde la matrice onirique dans laquelle l’oligarchie voudrait nous faire croire que nous vivons.

Avec le dramatique attentat terroriste contre Charlie Hebdo la France légale, c’est-à-dire, pour le dire autrement, l’oligarchie politico-médiatique, veut une nouvelle fois nous enfoncer dans le déni de réalité. Pour son plus grand profit.


La doxa du Système

Il faut reconnaître au président du Conseil français du culte musulman, Dalil Boubakeur, d’avoir donné sobrement le ton dès le 8 janvier.

Pour lui, cet attentat sanglant « est un coup porté à l’ensemble des musulmans » et « il ne semble pas que c’est au nom de l’islam » qu’il ait été commis car il s’agissait d’une « attaque contre la démocratie et la liberté de la presse ». En quelques mots cette autorité morale incontestée a remarquablement défini la doxa du Système.

L’écrivain Tahar Ben Jelloun a aussi signé de son côté un article dans Le Monde du 9 janvier intitulé « L’islam victime des tueurs », pour l’édification de l’oligarchie qui lit ce « journal de référence ».

Et, pour jouer dans la cour des grands, Alain Juppé s’est empressé d’affirmer, le 8 janvier à Bordeaux, que « Nous (sic) nous battons contre ces fous, ces barbares, ces fanatiques qui ne peuvent se réclamer d’aucune religion ».

Depuis bientôt vingt ans le Système politico-médiatique nous enferme dans une doxa simple qui repose sur trois affirmations, sur trois tabous :

-l’immigration est une chance pour la France ;

-il n’y a aucune relation entre immigration, islamisme et terrorisme ;

-tous ceux qui doutent des deux précédentes affirmations sont des racistes qu’il faut mettre hors d’état de nuire.

Cette doxa fonde la matrice onirique dans laquelle l’oligarchie voudrait nous faire croire que nous vivons.

Car, si on comprend bien : quand on tire à la kalachnikov en criant « Allah Akbar » ou « Nous avons vengé le Prophète », c’est bien le signe indubitable que l’on n’est pas musulman ; on est seulement un fou qui s’en prend à la liberté de la presse. Et quand on tue des journalistes athées, c’est parce qu’on veut s’en prendre aux musulmans.

Les larmes de crocodile

Tout le Système politique institutionnel communie dans ce déni de réalité, avec bien entendu les larmes de crocodile et minutes de silence de circonstance.

Mais ces crocodiles ne font que déplorer les conséquences dont ils chérissent les causes. Ils font mine de découvrir l’horreur du djihadisme comme si celui-ci tombait brusquement du ciel alors qu’ils lui ont ouvert toutes grandes les portes de l’Europe.

Car ce sont les crocodiles de droite qui, sous Giscard d’Estaing, ont cédé au patronat qui réclamait toujours plus d’immigration pour réduire les salaires et qui nous ont précipités dans l’aventure du regroupement familial, transformant l’immigration de travail en immigration de peuplement. Ce sont les crocodiles de gauche qui ont transformé les immigrés en prolétariat « défavorisé », objet de toutes les sollicitudes compassionnelles et budgétaires : mais c’était pour masquer le fait que la gauche trahissait les classes populaires européennes en se ralliant au capitalisme mondialiste.

Tous ensemble ils n’ont cessé de réduire les moyens de la Défense et de la Police et ils ont mis en œuvre l’abolition de nos frontières. Et, tous en cœur, ils nous ont fait croire qu’en repeignant les cages d’escalier, en organisant la « société multiculturelle » ou en « luttant contre les discriminations » on réglerait tout.

Les Diafoirus du terrorisme

En réponse à l’attentat, les crocodiles brandissent maintenant des pancartes où il est écrit « Je suis Charlie ». Ils organisent une « marche républicaine » ou bien préconisent un « jour de jeûne » avec la « conférence des responsables de culte en France » (sic). Ils allument des bougies. Tous les corps constitués ont invité à signer force motions pleines de belles intentions. On nous ressort les valeurs de la République de la naphtaline en nous invitant à défiler entre Nation et République. La moraline, comme les larmes, coule à flots !

Voilà qui va assurément faire trembler les djihadistes ! Comme les 14 lois prétendument « antiterroristes » que les crocodiles ont fait voter en France depuis vingt ans, à l’évidence sans grand effet.

Non seulement ces Diafoirus nous mentent sur le diagnostic mais en outre ils préconisent un traitement à base d’incantations, à l’efficacité des plus douteuses contre les kalachnikov et les roquettes.

Les impuissants cyniques

En réalité les crocodiles « Je suis Charlie » ne se limitent pas au rôle de pompiers incendiaires. Ce sont surtout des politiciens retors et cyniques.

Car à l’évidence la gauche entend bien surfer sur ce drame pour tenter de reprendre l’initiative politique et idéologique. On pourrait même dire qu’elle s’y était bien préparée, manifestement…

Le Monde du 9 janvier titre gravement « Le 11-septembre français ».

François Hollande se rêve en effet sans doute dans la peau de G. Bush junior déclarant la guerre au terrorisme devant Ground Zero – et, plus prosaïquement, jouant la carte de l’union nationale, avec la complicité de toute la classe politique institutionnelle jusqu’en 2017, puisque cette prétendue union nationale doit exclure, bien sûr, le Front national, conformément au troisième principe de la doxa évoqué précédemment.

Une belle liberté en effet

Les « Je suis Charlie » ont en effet une conception particulière de la Liberté d’expression que, paraît-il, les djihadistes voulaient tuer. Car les « Je suis Charlie » forgent tous les jours les interdits médiatiques et judiciaires qui composent le carcan politiquement correct imposé à notre pays.

Les « Je suis Charlie » proclament « Pas d’amalgame » sur l’air des lampions. Mais cela ne les gêne pourtant pas du tout de pratiquer l’amalgame contre leurs concitoyens qui refusent l’islamisation, qu’ils traitent de fascistes, de racistes et de xénophobes et qu’ils traînent devant les tribunaux dès qu’ils le peuvent.

Et les « Je suis Charlie » qui vantent l’irrespect de Charlie Hebdo ne supportent aucune irrévérence à l’égard de l’idéologie cosmopolite qui les anime. On peut d’ailleurs douter que, si l’attentat avait visé le journal Présent ou l’hebdomadaire Valeurs actuelles, ils affirmeraient « Je suis Présent » ou « Mes valeurs sont actuelles » avec autant de bravade.

***

Ces « Je suis Charlie », en réalité, prennent les Français pour des Charlots.

Michel Geoffroy
9/01/2015

Correspondance Polémia – 9/01/2015

Une Femen musulmane brûle le coran. Aucun média ne reprend l’info

1) Lorsque des Femen scient des croix, s’exhibent nues à la Madeleine, pissent dans les églises, s’immiscent dans Notre-Dame, toute la presse nationale et internationale s’en fait l’écho (une simple recherche Google vous en convaincra)

2) Lorsqu’une Femen publie une vidéo dans laquelle elle brûle le coran en le qualifiant de « livre de haine » aux « bases pourries », le nombre d’articles dans les grands médias est strictement égal à zéro.

3) et la vidéo est censurée par Youtube

Rediff ci-dessous (nouvel hébergeur)

—————–

« Voyez ça ? C’est le Coran. Soi-disant un livre d’amour et de paix… Moi je le crois pas du tout, je le connais bien ce livre. C’est un livre de haine, les bases sont pourries. On peut rien construire avec ce livre (…) Il faut se débarrasser de cette religion. »

via Fdesouche.com

 

Etats-Unis - Racisme anti-blanc: elles passent à tabac une ado et postent les photos sur Facebook

Une jeune fille de 19 ans a été violemment attaquée par six femmes, dans l'Ohio (Etats-Unis) qui ont ensuite posté sur les réseaux sociaux des vidéos et des photos de leur agression.

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Le soir de Noël, Cheyanne Willis, une adolescente de l'Ohio (Etats-Unis) est en voiture avec son petit ami. Alors qu'il la conduit sur le parking d'un centre commercial, dans la banlieue de Cincinnati, la jeune Cheyanne Willis, 19 ans, est loin d'imaginer l'enfer qu'elle s'apprête à vivre.

Elles sont six femmes à l'attendre sur ce parking. Laissée seule, Cheyanne se fait alors attaquer d'une manière extrêmement brutale. Ses assaillantes entreprennent de la frapper et de la traîner par terre, avant de lui raser une partie du crâne et d'écrire des insultes sur son front au moyen d'un eye-liner.



"J'aurais préféré qu'elles me tuent"

La vidéo de l'agression, filmée par l'une des suspectes, montre la jeune adolescente le visage écrasé contre le capot d'une voiture, suppliant ses agresseuses de cesser leurs attaques. Dans la vidéo, postée ensuite sur Facebook, on entend la jeune fille supplier ses bourreaux, en vain. Elles ont écrit sur son front à l'eye-liner, volé son sac et détruit son permis de conduire. Pour l'heure, seules deux d'entre elles ont été arrêtées par la police.



Les mobiles de l'agression restent flous. La jeune Cheyanne aurait essayé d'acheter une voiture, dont une des assaillantes serait la propriétaire. Quoiqu'il en soit, la jeune femme porte aujourd'hui les stigmates de cette attaque : "Je suis traumatisée, raconte-t-elle au Daily Mail ce samedi. J'aurais vraiment préféré qu'elles me tuent. Je voudrais ne plus être là, honnêtement. Je sursaute à chaque bruit que j'entends, j'ai des cauchemars, je ne quitte plus ma mère".

Voir la vidéo en anglais

http://www.wcpo.com/news/local-news/hamilton-county/fores...

via Metronews et WCPO Cincinatti

Grand Remplacement: Jour de soldes en Angleterre (vidéos)

Nos voisins anglais ont pour tradition d’avoir, soit le 26 décembre ou soit le premier jour ouvrable après Noël , le lancement des soldes d’hiver plus communément surnommé  le « Boxing Day »

Londres en 1970 :

 

La vidéo ci-dessous a été filmée à l’ouverture d’un des magasins d’habillement de la chaine Matalan (un peu l’équivalent en France de La Redoute) dans la petite ville provinciale de Dewsbury (54.000 habitants) qui se trouve à 269 kilomètres de Londres.

« No comment » comme disent nos amis anglais.

Dewsbury en 2014 :

via Fdesouche.com

Florian Philippot: "Avec l'exclusion du Front National, la manifestation de dimanche se transformera de fait en marche UMPS, en marche du Système" (LCI, Radio Classique)

www.frontnational.com/videos

«Tous ces gens qui prétendent défendre la liberté d’expression, c’est du vent : les terroristes ont gagné »

Douglas Murray, écrivain et journaliste britannique, dans un entretien diffusé par la BBC le 7 janvier après les attentats contre Charlie Hebdo:

[extraits traduits de la vidéo ci-dessous] « Il va y avoir un nombre considérable de réactions du genre ‘il faut défendre la liberté d’expression‘, ‘nous devons nous lever pour défendre la liberté d’expression » etc. Tout ça, c’est du vent.

Depuis 2005 et l’affaire des caricatures danoises de Mahomet, publiées dans le Jyllands-Posten, tous les journaux européens se sont couchés. Aucun n’a soutenu ce journal ou republié de caricatures. Un seul l’a fait : Charlie Hebdo. Et aujourd’hui, tous ces journaux, et tous ces journalistes, clament qu’il faut étre ‘solidaire‘ de Charlie Hebdo.  Mais c’est du pipeau !

Vous savez fort bien , et je le sais aussi, que jamais la BBC n’osera republier ces dessins. Aucun grand journal, aucun grand magazine, aucun grand media européen ou presque, n’osera. Et nous répétons comme des perroquets « défense de la liberté d’expression« . Dans les faits, c’est bien le contraire qui se passe. On répète en boucle qu’il ne faut pas laisser les terroristes gagner. Mais ils ONT gagné. Et à chaque fois, ils ont gagné.

Les terroristes ont gagné leur combat. Ils ont réussi à bailloner, à étouffer, à faire s’éteindre tout un pan de la réflexion et du débat. Et tous ces ces gens, qui s’imaginent qu’ils défendent la liberté d’expression, ont en réalité cédé aux terroristes. C’est une humiliation. »

Le texte en anglais ici

via Fdesouche.com

Un ami d’enfance se confie : les frères Kouachi «détestaient les Gaulois»

De 1994 à 2000, Pierre*, Français désormais installé en Romandie, a grandi dans un foyer de Corrèze avec les frères Kouachi. L’aîné était son «meilleur pote». Témoignage.

(…) «La Fonda», il n’en garde pas que de bons souvenirs même s’il est venu à notre rendez-vous avec sous le bras un album de photos de l’époque. «Tous ceux que j’ai connus là-bas et dont j’ai eu des nouvelles ont mal tourné. Plusieurs sont en prison, d’autres sont tombés dans la drogue ou même morts», explique celui qui y avait été placé en tant qu’orphelin. Saïd et Chérif Kouachi qu’il imaginait sur le bon chemin comme lui viennent donc grossir cette liste. «Les années passées au foyer ne les ont pas aidés mais de là à tomber aussi bas!» commente Pierre. Là-bas, il fallait savoir se servir de ses poings. «Mon premier contact avec Chérif s’est passé le lendemain de mon arrivée. Il m’a tabassé sans raison comme je l’avais déjà été la veille par un autre.»

«Ils détestaient les Gaulois»

A l’époque, le cadet des frères Kouachi n’est pas porté sur la religion mais déjà «du genre radical» d’après Pierre. Il est alors «très bagarreur», fort en gueule, «aime se saper» élégamment selon les critères en vigueur à la «fonda» – «à savoir en survêt Lacoste et chaussures requin» – enchaîne les aventures sexuelles avec les filles du foyer, déteste «les Gaulois» (les Français de souche) et le fait savoir en affichant un dédain silencieux vis-à-vis des éducateurs qui tentent de l’aider malgré lui. Balle aux pieds en revanche, l’ado fait des étincelles. «Il avait des pieds en or et alignait sans problème 200 jongles de la tête. Un vrai Messi! Il avait même commencé un sport-études d’où il s’était rapidement fait virer», se souvient Pierre.

(…) Lematin.ch

via fdesouche.com

Minute de silence : «Je te bute à la kalach» lance un élève à son prof

Une minute de silence a été demandé dans les écoles, collèges et lycées. L’exercice n’a pas toujours été un exercice facile. Prévisible, selon les enseignants exerçant sur ces territoires où les tensions religieuses sont vives.

«Impossible d’engager un débat sur le sujet», explique un prof de philo de l’Essonne. Ces minutes ont même parfois dérapé. «Je te bute à la kalach», a lancé à Lille un élève de quatrième à son enseignante, pendant cette minute de silence.

Dans une école élémentaire de Seine-Saint-Denis, pas moins de 80 % des élèves d’une classe ont refusé cette minute de silence.

«Certains reproduisent des discours complotistes», explique l’enseignant qui, à force de discussion, a finalement convaincu la moitié d’entre eux.

Certains élèves ont aussi fait entendre leurs convictions. «Mais vous ne comprenez pas, le Prophète, ils n’auraient pas dû le dessiner (…). Il est au-dessus des hommes», a lancé une élève de sixième à son professeur.

Un élève d’une enseignante de français dans le XIIIe arrondissement de Paris l’a interpellée en ces termes: «Madame, c’est possible que je ne fasse pas la minute de silence? Je ne veux pas me recueillir pour des gens comme ça.»

Un autre lui a lancé: «Ils l’ont bien cherché. On récolte ce que l’on sème à force de provoquer.»

Dans cette classe de troisième comptant 26 collégiens, huit ont rejeté la décision de décréter un jour de deuil national.

Dans un collège de Roubaix, un rassemblement de 400 élèves a été dominé par un «grand bourdonnement» et les réflexions de certains qui «ne comprenaient pas bien à quoi ça servait», rapporte un enseignant.

Sur son compte Facebook, une prof narre la difficile journée de jeudi, expliquant vouloir demander sa mutation. Elle raconte avoir été accueillie à 8 heures par des «Moi j’suis pour ceux qui l’ont tué»…

Source - Merci à Manu1379

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