11/01/2015
Un pan entier de la jeunesse soutient les terroristes
À l’heure où j’écris ces lignes, tous les terroristes ont été identifiés : les frères Kouachi, et deux nouveaux complices, monsieur Amedy Coulibaly, et mademoiselle Hayat Boumediene, les preneurs d’otages de la porte de Vincennes, suspectés de l’assassinat d’une policière à Montrouge. Ils partagent quelques points communs : ils ont eu les honneurs des médias compatissants dans leur jeunesse et ils ont été arrêtés par la police à de multiples reprises avant de passer à l’action armée. Les frères Kouachi ont démontré leur maîtrise de l’art du rap dans un reportage diffusé sur France 2, et Amedy Coulibaly a été interrogé par le journal Le Parisien en 2009, date à laquelle il était invité à l’Élysée pour y rencontrer Nicolas Sarkozy. En revanche, nous, Français patriotes, industrieux et honnêtes, ne verrons jamais les caméras de télévision sur les pas de nos portes. Excepté pour être ridiculisés et caricaturés par « Le Petit Journal » et les autres.
Autre ressemblance : ils ont tous bénéficié du laxisme coupable de la justice. Amedy Coulibaly était condamné à cinq ans de prison ferme, en décembre 2013, pour avoir préparé « un projet d’évasion et un attentat de grande ampleur ». Pourtant, il était libre de tuer aujourd’hui. A-t-il finalement été envoyé en stage de slam, de tags, ou de poney, pour se « réinsérer » dans notre société, pour s’y « inclure » ? Car oui, vous le savez, le ministre de la Justice, Christiane Taubira, pense que la répression n’est pas la solution adaptée pour les victimes éternelles. Les seuls à être coupables sont les patriotes, au premier rang desquels figurent les polémistes engagés, soumis à la censure pour avoir prévu ce qui se passe aujourd’hui, soumis à l’injure pour ne pas avoir courbé l’échine face à l’aveuglement d’un pouvoir totalement dépassé par les enjeux contemporains.
Les directs de BFMTV, ou i>Télé auront aussi été l’occasion de découvrir crûment ce que nous savions déjà : un pan entier de la jeunesse soutient les terroristes. Nous avons vu en arrière-plan, rigolards, provocateurs, glissant « quenelles », les supplétifs des forces de la mort ; cette jeunesse qui ne veut pas être française, profondément apatride, décérébrée, ultra-violente, car trop choyée, entretenue. Et nous savons que nombre de minutes de silence ne furent pas respectées dans les lycées, collèges et établissements secondaires français. Tous ces éléments mériteront un examen profond, minutieux, et des solutions concrètes.
Nos analyses sont désormais tristement confirmées par la réalité, et le mur du mensonge n’est plus craquelé, il est brisé. Les patriotes doivent être fiers, car ils sont l’incarnation d’une France lucide et courageuse. Le « vivrensemblisme », la légèreté libertaire ne seront plus ; et nous, de notre côté, essaierons toujours de défendre une idée simple, une idée qui touchera les Français dans leur âme, la seule à même de nous sauver : le vivre français en France. Pour ce faire, il faudra nous redresser, dignement, sobrement, en Français. Et, surtout, ne plus jamais nous arrêter, ne plus jamais écouter les leçons de morale des incompétents et des obscurantistes de l’utopie globaliste.
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