29/09/2011
Emmanuel Petit se pose des questions sur l'identité française des joueurs de l'Equipe de France de football
(Yahoo sport "Les Bleus ne procurent pas de plaisir" 26/09/2011)
"Il y a une dimension exceptionnelle lorsqu'on enfile le maillot de l'équipe de France, et aujourd'hui, il y a une notion identitaire complètement bafouée."
"Maintenant, la question que je me pose vraiment: est-ce-qu'il y en a vraiment dans cette équipe qui se reconnaissent comme Français, portant le maillot de l'équipe de France?"
Source: Yahoo Sport (vidéo) et Fdesouche.com
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"Les gouvernements ne dirigent pas le monde. Goldman Sachs (banque d’affaires américaine) dirige le monde. "
Un homme présenté comme trader à Londres a provoqué mardi un buzz sur internet en affirmant qu’il “rêvait” toutes les nuits d’une récession, des propos qui ont suscité l’indignation mais aussi des interrogations sur l’identité du jeune individu.
[Cet individu est un trader individuel. Il ne travaille pour aucune banque, ce qui explique sa liberté de parole...]
Source: Fdesouche
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Un auditeur de RMC: “La gauche méprise le peuple et préfère l’immigration”
Dans Bourdin & Co, un auditeur s’étonne de ne voir aucun élu Front National, malgré les sondages. Il en profite également pour dénoncer la préférence immigrée de la gauche.
"Le peuple ne vote plus pour la gauche. Cette dernière méprise le peuple et préfère l’immigration. C’est ce qui s’appelle un remplacement de population.” Pierre
Source: RMC et Fdesouche
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26/09/2011
Prêts toxiques aux collectivités locales : “Le fichier confidentiel”
Libération s’est procuré un fichier confidentiel de la banque Dexia crédit local (DCL), qui recense les 5 500 collectivités locales et établissements publics ayant souscrit les fameux «prêts toxiques» entre 1995 et 2009.
Ce listing montre que tout le monde est concerné : collectivités de droite comme de gauche, grandes communautés urbaines comme petites villes… Il atteste qu’au plus fort de la bulle, DCL avait distribué pour 25 milliards d’euros à ses clients.
Carte des emprunts structurés, dits « toxiques », distribués par Dexia Crédit local (DCL), de 1995 à 2009, et encore en exercice début 2010.
"Selon l’estimation faite par la banque, le surcoût de ces emprunts était évalué à 3,9 milliards d’euros à la fin 2009. Ce qui veut dire que les collectivités devraient payer une pénalité de cet ordre qui pourraient risquer, dans certains cas, de les conduire à la ruine."
Source: Libération et Fdesouche
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25/09/2011
Affaire DEXIA : Le Système UMPS
Communiqué de Presse de Steeve BRIOIS, Secrétaire Général du Front National :
L’affaire des emprunts toxiques à la une de « Libération » n’a rien d’une nouveauté. Début 2008, Marine Le Pen et Steeve Briois révélaient que les emprunts de la commune d’Hénin-Beaumont auprès de Dexia constituaient une véritable bombe à retardement pour les finances locales.
En signant avec légèreté des contrats engageant des sommes aussi importantes, les maires et élus locaux ont obéré non seulement l’avenir de leurs communes respectives mais aussi les générations à venir. Il est piquant de constater que nombre de ces prêts litigieux ont été contractés à la veille d’échéances électorales dans un but évident. Ainsi, les élus sortants promettaient de grands projets financés pour se faire réélire.
Aujourd’hui, les mêmes élus jouent aux pompiers pyromanes en appelant à la responsabilité de Dexia. Si cet organisme financier doit bien évidemment être poursuivi, comme le réclament les élus du Front National depuis trois ans, la responsabilité principale incombe cependant aux politiques. En effet, élus UMP et élus PS siègent au conseil d’administration de DEXIA où ils touchent des jetons de présence. Leur implication est évidente.
Steeve Briois, secrétaire général du Front National, demande que les collectivités locales indiquent précisément à leurs administrés les conséquences financières des emprunts toxiques contractés. Une fois encore, le système UMPS brille par son aveuglement et son incompétence.
Source: Front National
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21/09/2011
Si Israël dit "non" à un Etat palestinien à l’ONU, à quoi dira-t-il oui ?
Tirant les conséquences de l’impasse dans laquelle se trouvent les négociations avec Israël, les Palestiniens comptent déposer le 23 septembre aux Nations unies une demande d’adhésion en tant qu’État.
Face à cette démarche, la communauté internationale est divisée. Les opinions publiques aussi.
En Israël, le gouvernement a clairement exprimé son rejet de l’initiative palestinienne. Mais certaines voix se font entendre qui appellent à soutenir la création d’un État palestinien.
Mercredi, "une coalition d’organisations israéliennes pour la paix a publié une liste de 50 raisons devant inciter Israël à soutenir un État palestinien", rapporte le journaliste israélien Gideon Levy, dans un éditorial publié dans les colonnes du Haaretz.
"Si l’on assume que l’on ne peut accepter que 5 (des 50 raisons présentées), cela n’est-il pas suffisant ?", écrit l’éditorialiste. "Les Palestiniens (…) n’accepteront pas de vivre sans droits civiques pour 42 années supplémentaires. Nous allons devoir nous habituer au fait que le monde ne l’acceptera plus non plus", ajoute-t-il.
"Qu’allons nous à dire au monde la semaine prochaine à l’ONU ?", demande M. Levy. "La vérité va apparaître : Israël ne veut pas d’un État palestinien", ajoute-t-il. Mais les responsables israéliens n’ont "aucun argument contre l’établissement et la reconnaissance internationale d’un tel État" et ne peuvent démontrer que "les Palestiniens ne méritent pas d’avoir leur propre État", affirme-t-il encore. "Même le meilleur orateur ne sera pas capable (…) d’expliquer la logique israélienne" devant les États du monde, ajoute-t-il.
"Notre argument est-il que nous nous opposons à une telle mesure unilatérale ? Mais y a-t-il (une mesure) plus unilatérale que les colonies que nous insistons à continuer à construire ?, poursuit M. Levy. Ou peut-être que nous dirons que la voie vers un État palestinien passe par Ramallah et Jérusalem, pas New York (…) Mais l’État d’Israël a lui-même été créé, en partie, aux Nations unies".
L’éditorialiste reprend également une série d’arguments utilisés par le passé par l’État d’Israël pour expliquer son opposition à un État palestinien en précisant que ces arguments n’existent plus aujourd’hui.
"Il y a 32 ans, Israël a signé un accord de paix avec l’Égypte dans lequel il a promis de reconnaître les droits légitimes du peuple palestinien" et d’établir une entité autonome palestinienne sous cinq ans, rappelle ensuite M. Levy, en précisant que cela n’a jamais eu lieu. De même pour les promesses faites lors de la signature des accords d’Oslo il y a 18 ans d’"arriver à un accord final avec les Palestiniens, comprenant les questions centrales, dans une période de 5 ans", ajoute-t-il.
Il est alors devenu clair pour les Palestiniens qu’Israël ne veut pas d’un État palestinien. Ils ont alors choisi "de mobiliser le monde" en faveur de leur cause, explique M. Levy, qui considère qu’il n’existe pas d’alternative à la création d’un État palestinien. De plus, qui pourrait nier que "l’hostilité régionale envers nous (aurait) diminué si l’occupation avait déjà pris fin et qu’un État palestinien avait été établi ?", ajoute-t-il.
En guise de conclusion, l’éditorialiste adresse la question suivante à "celui qui représentera (Israël) à l’ONU la semaine prochaine : Pourquoi un ’non’ de nouveau ? Et à quoi dirons nous ’oui’".
publié par l’Orient le Jour
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19/09/2011
Norvège: un problème de place de parking dégénère
Source: Fdesouche.com
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17/09/2011
Jean Marie Le Pen réagit aux prières dans la rue, à la crise économique (i télé)
22:08 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Un auditeur de RMC: "J'ouvre le journal le matin, je ne vois que ça. Il y a quelque chose qui ne va pas, c'est quand même ces gens-là (ndlr: les étrangers)."
Dans Bourdin & Co, un auditeur approuve les propos de Brice Hortefeux sur les “Auvergnats”.
Bourdin: "Attention, hein. Attention à ce que vous allez dire!"
Sourc: RMC et Fdesouche
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Bourdin (RMC): “Mais qui est François Desouche ? Qui est ce monsieur ?”
Au détour d’une conversation sur la Libye, un auditeur critique le manque d’objectivité de Jean-Jacques Bourdin, rappelant notamment le fiasco de l’affaire de l’ophtalmo, accusé injustement de racisme par un patient. Le journaliste s’en défend.
Source: RMC et Fdesouche
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