Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/08/2013

Seine-et-Marne : Un « jeune » homme tue son amie de 5 coups de couteau (photo)

Vendredi vers 18 heures, un jeune homme de 19 ans a tué de cinq coups de couteau sa petite amie, âgée de 17 ans.

Le drame s’est déroulé dans la maison de son père, à Souppes-sur-Loing (Seine-et-Marne), au sud de Nemours, où il vivait en compagnie de ses frères. Il n’a donné aucune explication à son geste. La victime gisait sur un lit.

Moins d’une heure avant de poignarder Caroline, Thomas avait publié sur Facebook une photo prise par lui sur laquelle on voit les deux jeunes s’embrasser.

Le Parisien / Le Parisien source 2

via fdesouche.com

19/08/2013

Il met la photo du voleur de moto sur Facebook, et se fait traiter de raciste

« Ce mec a volé ma moto 250 yz 2010 avec un faux chèque de banque. Merci a tous ceux qui partagerons cette photo. »

 

motovoleur645.jpg

 

La page Facebook

via Fdesouche.com

Marseille : un jeune homme poignardé, un infirmier agressé

 

Nouvelles agressions violentes dimanche matin à Marseille. Selon «La Provence», un garçon de 18 ans a reçu un coup de couteau au thorax dimanche vers 5h30 du matin lors d’une bagarre sur le cours Jean-Ballard, tout près du Vieux-Port. Le jeune homme a été transféré à l’hôpital Nord, où ses jours sont en danger, explique le quotidien.

Ses agresseurs, qui seraient au nombre de quatre, se sont ensuite déplacés à l’hôpital de la Conception « pour se faire eux-mêmes soigner », rapporte La Provence. Refusant d’attendre, ils ont agressé un infirmier, qui a reçu un coup de couteau au bras droit. Ils sont activement recherchés ce dimanche.

(…) Le Parisien

via Fdesouche.com


Liste des faits divers dans la région marseillaise relayés par le journal La Provence le 18 août:


Fusillade : un des deux frères dans un état critique

Il attaque seul le supermarché discount

Il se masturbe devant la jeune femme

Deux hommes braquent le bar-tabac

Il met un couteau sous la gorge de son ex

Ivre, il menace un couple avec des ciseaux

Un CRS marseillais agressé à coups de couteau

18/08/2013

Dessin du jour

plage-chimulus.jpg

 

source

Alerte dans nos assiettes

20130818-164309.jpg

Plus de quatre-vingts substances chimiques, dont certaines susceptibles d’être cancérigènes, sont ingérées en une seule journée par un enfant de 10 ans à travers ses repas composés suivant les recommandations du ministère de la santé, selon une étude du mouvement Générations futures – qui milite notamment pour une agriculture sans pesticides et sans OGM – et du réseau Health and Environnement Alliance, en partenariat avec WWF-France et le Réseau environnement santé. (Lire l’article du Monde, en édition abonnés, « Des résidus chimiques dans l’assiette des enfants »).

Les associations, qui lancent une campagne de sensibilisation intitulée « Cancer et environnement », ont acheté dans des supermarchés de l’Oise et de Paris entre juillet et septembre les denrées alimentaires généralement consommées en quatre repas et un encas en une journée par un enfant d’une dizaine d’années. Ces repas-types, incluant les recommandations officielles – telles que cinq fruits et légumes frais, trois produits laitiers et 1,5 litre d’eau par jour – ainsi que des friandises, ont été examinés par plusieurs laboratoires indépendants en France et en Belgique pour y détecter la présence de substances chimiques, pesticides, métaux lourds et autres polluants.

Le bilan de l’assiette, selon cette étude publiée mercredi, est accablant : cent vingt-huit résidus, quatre-vingt-une substances chimiques, dont quarante-deux sont classées cancérigènes possibles ou probables et cinq substances classées cancérigènes certaines ainsi que trente-sept substances susceptibles d’agir comme perturbateurs endocriniens (PE). « Même si, dans la quasi-totalité des cas, les limites légales pour chaque substance chimique prise individuellement ne sont pas dépassées, on voit bien dans notre enquête que la réalité de l’exposition des consommateurs aux contaminants possiblement cancérigènes et/ou PE est préoccupante », note l’association.

LE SAUMON, LE PLUS RICHE EN PESTICIDES

Pour le petit-déjeuner, le beurre et le thé au lait contiennent à eux seuls plus d’une dizaine de résidus cancérigènes possibles et trois avérés comme des cancérigènes certains ainsi que près d’une vingtaine de résidus susceptibles de perturber le système hormonal.

La pomme, importée du Brésil, prévue comme encas, présente des traces de six substances chimiques, dont un fongicide pourtant interdit en France. Même chose pour les haricots verts du Kenya, inclus dans le déjeuner, sur lesquels l’étude a détecté des traces d’un insecticide puissant également interdit dans l’Union européenne.

Le steak haché, le thon en boîte, et même la baguette de pain et le chewing-gum, étaient truffés de pesticides et autres substances chimiques. Dans l’eau du robinet les analyses ont révélé la présence de nitrates et chloroforme. Mais c’est le steak de saumon prévu pour le dîner qui s’est révélé le plus « riche » avec trente-quatre résidus chimiques détectés. Même l’examen de l’assiette en plastique utilisée pour réchauffer le repas au micro-onde n’en était pas exempte.

« COCKTAILS CONTAMINANTS »

Le risque final pour le consommateur de ce « cocktails de contaminants » « est probablement sous-estimé », selon l’étude. Le problème serait-il résolu par un lavage voire un épluchage systématique des fruits et légumes avant consommation ? « Certaines études montrent que ces précautions ne sont pas suffisantes voire qu’elles sont inutiles », a souligné Générations futures.

Source

via Contre-Info

17/08/2013

Dessin du jour: une famille normale, une enfance normale

enfant-homoparentalite-chimulus.jpg

 

source

15/08/2013

Une vague de démolition d’églises menace le patrimoine de la France

Il y a en France quelque 45.000 églises, la plupart non classées. Face au coût de leur entretien, les maires choisissent de les abattre.

C’est, en entrant dans la nef, le silence saisissant d’un patrimoine menacé : l’église de Sainte-Gemmes-d’Andigné (Maine-et-Loire) résiste à une vague de démolitions lancées par des maires – cinq déjà détruites à travers la France depuis le début de l’année. “Toute la nef devrait disparaître“, dit Benoît Patier, 51 ans, président de l’Association de sauvegarde de l’église Sainte-Gemmes-d’Andigné, montrant l’imposante nef de quatre travées promise à la destruction.

Le maire, Jean-Claude Taulnay, qui n’a pas souhaité être interviewé, veut détruire cette nef bâtie il y a 148 ans en tuffeau, pierre de taille tendre de la région, et la remplacer par un bâtiment circulaire en béton coiffé d’un toit en zinc. Il estime toute restauration trop onéreuse pour ce village de 1.500 habitants.

“Restaurer l’église coûterait entre 1,2 et 1,5 million d’euros”, explique M. Patier, citant des devis de cabinets indépendants. “Le projet du maire coûte 2,7 millions d’euros : garder l’église coûterait deux fois moins cher.”

“On ne comprend pas”, dit Christian Boullais, 72 ans, vice-président de l’association.

45 000 églises en France

La maquette, présentée à la mairie, montre une structure moderne accolée à l’ancien clocher. Mais, conscient de la qualité de l’église, l’État a réagi : une instance de classement a été entamée, gelant toute démolition pendant un an. “Le maire nous menace maintenant d’un procès”, dit à l’AFP la chef du patrimoine au ministère de la Culture, Isabelle Maréchal. L’État fait néanmoins valoir qu’il ne peut tout classer. Il y a en France 45 000 églises paroissiales, dont 35 % bâties au XIXe siècle, dans leur immense majorité non classées. “Des maires tirent à tort la conclusion qu’ils peuvent démolir”, explique Isabelle Maréchal. Or, depuis la loi de séparation de l’Église et de l’État, en 1905, l’entretien des bâtiments revient aux communes.

Ces dernières soulignent qu’elles n’en ont parfois plus les moyens et que seulement 4,5 % des Français vont à l’église le dimanche, la pratique religieuse étant en forte baisse en France depuis les années 1970.

De leur côté, les évêques veulent éviter tout affrontement. “Ils ferment les yeux sur le patrimoine pour acheter une forme de paix sociale”, dit à l’AFP Maxime Cumenel, de l’Observatoire du patrimoine religieux.

Le Maine-et-Loire en première ligne

L’évêque d’Angers, Mgr Emmanuel Delmas, est l’un des plus décriés : son diocèse, où Saint-Aubin-du-Pavoil (1864) et Saint-Pierre-aux-Liens de Gesté (1862) viennent d’être détruites, est le plus touché par la vague des démolitions.

Lire notre article : “La triste histoire de l’église de Gesté”

Mais le phénomène concerne toute la France : viennent d’être démolies les églises de Saint-Blaise-du-Breuil (Allier), en Auvergne, Saint-Pie-X dans l’Hérault, Saint-Jacques-d’Abbeville (Somme) en Picardie. Également menacées, les églises de Plounérin (Côtes-d’Armor), en Bretagne, et Lumbres (Pas-de-Calais) ont été sauvées. À Arc-Sur-Tille (Côte d’Or), en Bourgogne, le maire a perdu les élections à cause de son projet de démolition.

“Un village dont l’église a été détruite est défiguré”

C’est l’image d’Épinal des villages français qui est menacée, selon les défenseurs du patrimoine.

“Un village dont l’église a été détruite est défiguré”, estime Jean-Louis Hannebert, de la Société pour la protection des paysages et de l’esthétique de la France.

Une image tellement symbolique de la France profonde que François Mitterrand, au grand dam de certains laïcs, l’avait choisie pour illustrer son slogan victorieux de 1981, “La force tranquille”.

Pour les protéger, “l’outil le plus adapté est l’Aire de valorisation de l’architecture et du patrimoine (AVAP)”, précise Isabelle Maréchal. C’est aux régions et aux communes de mettre en oeuvre cette protection, souligne-t-elle.

De la petite route qui mène à Saint-Aubin-du Pavoil, on voyait apparaître le fier clocher du village. Il a été, en janvier, le premier à tomber. Rasé comme à la Révolution, lorsque cette ville fut punie pour avoir hissé le drapeau blanc de la royauté. “Ça fait un vide considérable”, déplore Michel de Vitton, 69 ans, dont l’épouse avait pris la tête de l’association de sauvegarde. À la place de l’autel, on peut voir un minuscule espace derrière une baie vitrée, sous un toit en zinc : Il tient désormais lieu d’église.

Le Point

via Fdesouche.com

14/08/2013

Agression de Jérémie: la mort silencieuse des enfants de France



Un de plus. Encore un… Encore un cadavre qui gît dans son sang, sur le bitume d’une rue anonyme. Poignardé, égorgé, fauché à l’âge de tous les espoirs et de tous les possibles. Pour rien. C’est un fait divers, diront les journaux. Peut-être… mais quand un fait divers se répète et se répète encore, cela devient un fait de société. Et les victimes sont trop systématiquement blanches et les assassins trop souvent à prénoms exotiques pour ne croire qu’à des drames du hasard, des tragédies du « pas de chance », des accidents du « mauvais moment au mauvais endroit ». C’est un acte de déséquilibré ? Tout meurtre gratuit ne l’est-il pas ? Et, étant donné la composition ethnique des rues de Marseille, n’est-il pas étonnant et statistiquement curieux que ce soit justement sur un Jérémie que se déchaîne le « déséquilibre » d’Ali ? Si en l’espace de quelque mois, deux ou trois jeunes noirs avait été tués par des adolescents blancs, se bornerait-on à traiter ces faits séparément, comme de vulgaires anecdotes, tragiques certes mais sans portée ni « signification » ? Ne parlerait-on pas d’un « climat » détestable, d’un « phénomène inquiétant » ? Ne verrait-on pas derrière les actes des coupables des « motivations racistes » nourries d’une haine pathologique et nauséeuse ? Les associations et psys ne s’agiteraient-ils pas en tous sens pour « penser » et «juguler » cette « dérive » ?

Mais aujourd’hui, pour Jérémie comme pour les autres, il n’y aura rien. Pas de minute de silence à l’Assemblée Nationale, pas de grande marche blanche, pas d’émission spéciale à la télévision… Le racisme d’Etat, le vrai, pathologique, celui qui crée des victimes de second ordre, qui nie les réalités au nom de ses fantasmes, qui excuse les salopards en fonction de leur origine ethnique, en a décidé ainsi. A peine 30 pékins dans la rue pour rendre hommage à Jérémie, la passivité, le renoncement, le haussement d’épaules, le « de toute façon qu’est-ce qu’on y peut… »… En attendant le prochain.

Pour beaucoup moins que cela, des quartiers entiers s’embrasent, des centaines de jeunes font pression sur la police et les autorités, sont prêts à en découdre, à se faire justice. La solidarité, la conscience ethnique et l’esprit communautaire ne sont pas chez eux que des mots qui font joli dans les livres. Mais pour la vie et la mort d’un fils de France, rien. Parce que nous ne sommes pas des voyous et des barbares? C’est vrai. Et tant mieux sans doute. Mais tant pis aussi. Nous continuerons donc à compter nos morts, à étendre la liste des territoires perdus où ne pas sortir après 21 heures et à économiser pour tenter de financer une fuite vers une zone encore préservée. Pour combien de temps encore ?

source

L'image du jour: publicité pour les contrôleurs de train à Londres

42ar.jpg

 

via fdesouche.com

13/08/2013

Dessins du jour (rediff)

bete_immonde.jpg

 

PNF:

En France, un journaliste qui avouerait voter pour le Front National serait renvoyé sur le champ. Vous trouvez cela normal, vous? Une telle situation n'est-elle pas dictatoriale?

La dictature de la pensée unique a été instaurée par le régime UMPS. Les médias officiels financés par l'Etat (télévision, presse, radio) sont chargés de transmettre cette idéologie du "politiquement correct" à la population afin de maintenir le régime UMPS, immigrationniste et anti-national, au pouvoir.


 

soins_mediatiques.jpg