28/04/2016
Le tweet du jour (bis)
Patrick Sébastien : » si je me retrouve avec 15 djellabas dans mon quartier ça va me choquer » https://t.co/mZYQXrANVq via @f_desouche
— Pierre S. (@FrDesouche) 28 avril 2016
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Le tweet du jour
Nancy : elle se fait agresser en cours, la fac couvre l'agresseur ... RT SVP https://t.co/7EalC3ftrv pic.twitter.com/wx6n1ouNG6
— Pierre S. (@FrDesouche) 28 avril 2016
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27/04/2016
Le tweet du jour (bis)
A #Copenhague, quatre #criminels sur cinq seraient des étrangers https://t.co/aplK85eZdY pic.twitter.com/1zQYt0yeyk
— RT France (@RTenfrancais) 27 avril 2016
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Le tweet du jour
La vision compatissante des médias et avocats à propos d'#Abdeslam témoigne d'un laxisme éffarant qui présage le pire pour l'avenir.
— Pierre Larti (@PierreLarti) 27 avril 2016
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Marine Le Pen: J’ai rencontré le Français qui a mis en difficulté le président de la République
J’ai rencontré hier à Lille, dans sa région, le « citoyen » Antoine Demeyer, qui s’était récemment illustré en débattant sur France 2 avec le président de la République.
Comme spectatrice, j’avais perçu lors de cet échange télévisé toute l’énergie d’un homme qui avait su trouver les mots face au chef de l’Etat pour exprimer sans détour une situation, la sienne, qui est celle aussi de millions de Français.
Face à François Hollande, malgré le stress qu’on imagine aisément, il avait réussi l’exploit d’aborder en peu de temps et de façon très concrète quatre problèmes qui sont au cœur du mal français : l’immigration massive et le risque islamiste, le pouvoir d’achat, les petites retraites et l’Union Européenne.
Face à ces quatre interrogations, le président était resté évasif, flou, techno. Le citoyen avait eu raison du président.
Antoine Demeyer m’a confié hier qu’il n’avait pas du tout été convaincu par les réponses de François Hollande. Il m’a dit aussi que le président semblait, après l’émission, content de lui-même et de sa prestation.
Cela ne m’a pas surprise : la déconnexion est telle entre le peuple et nos gouvernants que ces derniers ne sentent littéralement plus rien du réel. Ils en sont dramatiquement coupés.
Réduit à faire de la communication parce qu’il a transféré la quasi totalité des leviers de pouvoir à Bruxelles et Francfort, le président de la République ne sait même plus quand il parle juste ou quand il parle faux. Nous aurons de ce point de vue tout un lien à retisser avec nos compatriotes, et il faudra le faire avec patience et rigueur, car le mal est profond, enraciné dans des années d’inaction et de mensonges.

Hier, Antoine Demeyer m’a paru avoir beaucoup plus de bon sens et de cohérence dans ses analyses que nombre des responsables politiques qui ont aujourd’hui la charge des affaires de la France.
Électeur du Front National, il n’était ni « le salaud assumé » ni « l’enfant apeuré » que la Caste médiatico-politique voudrait voir à tout prix dans l’électeur patriote.
J’ai échangé avec un homme sincère, réfléchi, humaniste, révolté par les caricatures et par l’état de son pays, un homme logique dans ses analyses, conscient de l’immense abîme dans lequel la France est plongée mais qui n’a pas renoncé à se battre. Un homme qui a compris que l’abstention était un piège.
Contrairement à ce que veut croire l’oligarchie au pouvoir, M.Demeyer comme des millions de Français a parfaitement décrypté des sujets aussi obscurs et éloignés que l’Union Européenne.
De cette rencontre je sors renforcée dans l’idée que notre démocratie aurait tout intérêt à se tourner beaucoup plus souvent vers le peuple. Nous trouverons dans les référendums et les référendums d’initiative populaire des réponses aux maux qui rongent la France. Certains lancent des « Hé Ho ! » à la tête des Français, comme s’ils étaient des enfants. Je préfère les prendre pour ce qu’ils sont, des adultes réfléchis, et leur proposer un pacte démocratique nouveau qui les remette au centre.
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L’avocat d’Abdeslam : « Les Arabes me félicitent, alors que les non-Arabes me jettent des regards haineux »
L’avocat belge du principal accusé des attentats de Paris, explique la difficulté d’assurer la défense d’un prévenu aussi décrié, qu’il considère par ailleurs comme un «petit con».
(…)
Il se dit très mal à l’aise face aux réactions depuis qu’il défend Abdeslam : «Les Arabes me félicitent, alors que les non-Arabes me jettent des regards haineux. C’est très malsain.»
(…) Libération
via Fdesouche.com
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Grèce : des migrants attaquent la police à Lesbos
Plusieurs réfugiés ont été blessés après que des émeutes aient éclatés au centre de réfugiésde Moria, sur l’île de Lesbos, mardi. Les réfugiés ont incendiés des poubelles et jeté des pierres sur les policiers, qui ont riposté avec des gaz lacrymogènes. [...]
via Fdesouche.com
16:02 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Le ministre de la Justice belge : « L’Europe comptera bientôt plus de Musulmans que de Chrétiens pratiquants »
Les Musulmans «très bientôt» seront plus nombreux que les chrétiens pratiquants en Europe, a affirmé un ministre belge hier.
Koen Geens, le ministre de la Justice, a déclaré au Parlement européen que les européens « ne se rendent pas compte, mais telle est la réalité. »
Lors d’une audition devant les députés européens sur les attaques de Bruxelles, le vice-Premier ministre belge Jan Jambon a ajouté que «la pire chose que nous pouvons faire est de faire un ennemi de l’Islam».
(…) DailyMail
via Fdesouche.com
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Pourquoi les garçons musulmans réussissent moins bien
Plusieurs données émanant d’études internationales révèlent que les enfants nés en France de parents immigrés en provenance des pays musulmans réussissent moins bien, en ce qui concerne les garçons. Les travaux du psychologue danois Nicolai Sennels expliquent pourquoi.
[...] « Nous constatons que particulièrement la colère est bien plus acceptée dans la culture musulmane. Dans la culture occidentale et dans d’autres cultures non-musulmanes, comme en Asie, l’agressivité ou une brusque explosion de colère sont vues comme comportements que l’on regrette par la suite et dont on aura honte. C’est complètement l’inverse dans la culture musulmane. Si quelqu’un « bafoue votre honneur », il est attendu de vous que vous démontriez votre agressivité, et souvent également, que vous vous vengiez tant verbalement que physiquement. Ainsi, l’agressivité vous donne un statut inférieur dans nos cultures, mais un statut plus élevé dans la culture musulmane ».[...]
via Fdesouche.com
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26/04/2016
Immigration: 40% des jeunes vivant à Bruxelles sont au chomâge
Des chercheurs ont synthétisé 200 travaux traitant de la jeunesse bruxelloise. Un portrait assez sombre se dégage.
La population bruxelloise est la plus jeune de Belgique. En 2015, les jeunes âgés de 12 à 24 ans y représentaient 15 % de l’ensemble.
Pas facile pourtant de dresser un portrait complet et nuancé de ces jeunes de plus en plus nombreux, estime le Brussels Studies Institute, qui s’est attelé à la tâche. Sous la direction de Muriel Sacco, sociologue à l’ULB, une équipe a dépouillé 200 travaux consacrés à ce sujet pour créer une note de synthèse.
Il en ressort un portrait partiel et fragmenté de la jeunesse bruxelloise, à l’image du morcellement des institutions, mais qui permet de dégager quelques constats partagés.
D’abord, l’importance numérique croissante et la diversité de la jeunesse à Bruxelles. Ensuite, l’analyse estime que de manière générale, "un portrait assez sombre de la jeunesse bruxelloise", se dégage. "La situation de nombreux jeunes est précaire, que ce soit sur le plan de l’éducation, de l’accès à l’emploi, des conditions de logement ou encore de l’accès aux soins de santé." Enfin, qu’il existe plusieurs jeunesses qui semblent peupler Bruxelles avec des vies "en parallèle". "Elles se croisent peu dans le système scolaire ou les espaces de loisirs, ne pratiquent pas le même type de mobilité et n’ont ni le même niveau d’éducation ni les mêmes chances d’accès à l’emploi" , détaille la note de synthèse.
Ainsi ce dernier point, exposé dans la note, est particulièrement interpellant. On apprend que moins de 30 % des jeunes Bruxellois de 15 à 24 ans sont effectivement présents sur le marché de l’emploi. Ils cumulent souvent plusieurs désavantages : sans diplôme, issu de l’immigration, vivant dans des quartiers précarisés, avec des parents eux-mêmes sans emploi.
En 2014, le taux de chômage des jeunes actifs de 15 à 24 ans était de 39,5 %. L’étude constate qu’une nouvelle catégorie de jeunes émerge : les NEETs (Neither in employment nor in education and training) des jeunes qui ne sont ni à l’école, ni en formation, ni au travail.
Sans surprise, la géographie du taux de chômage montre une forte opposition centre-périphérie, avec des proportions très élevées de jeunes inscrits au chômage dans les espaces défavorisés du croissant pauvre (48 % à Saint-Josse contre 26,7 % à Woluwe-St-Pierre en 2012, par exemple). [...]
N. G.
La note de synthèse complète à lire sur www.brusselsstudies.be
Photo d'un marché à Bruxelles:
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