21/02/2017
BCE: augmentation salariale de 400 millions d'euros en 2016
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Suisse - Viande halal: vers une déclaration systématique?
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20/02/2017
Zoom – Marc Fromager : “Nous sommes les vassaux des Américains, de l’Arabie Saoudite et du Qatar”
L’association estime que environ 200 millions de Chrétiens ne peuvent pas vivre leur foi librement. Elle finance plus de 6000 projets par an dans 140 pays à travers le monde. L’Aide à l’Eglise en Détresse a aussi pour mission de défendre la liberté religieuse dans le monde. L’AED est un observateur privilégié des enjeux géopolitiques de ces pays. Elle mène un travail de collecte d’informations, de contacts, d’observation et d’analyse de ces situations. A cette occasion, Marc fromager revient sur la situation dramatique des Chrétiens d’Orient présents en Syrie mais également en Irak. Il nous explique comment les chrétiens réussissent à résister à l’emprise de l’Etat Islamique, le rôle qu’ils jouent pour entretenir une entente entre les chiites et les sunnites, sans oublier leur façon de pratiquer la religion chrétienne. Enfin, selon Marc Fromager, la situation des chrétiens d’orient n’est pas désespérée et l’espoir de paix est toujours permis dans cette région du monde.
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Dessin du jour
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Pétition: rétablissons le pluralisme des opinions dans l'audiovisuel public !
Signer la pétition (Change.org)
Nous, soussignés, contributeurs de la redevance obligatoire et copropriétaires du secteur public de l’audiovisuel, France Télévisions et Radio France.
Nous, qui faisons partie des 27 millions de foyers qui s’acquittent, à raison de 137 euros par an, de la redevance de l’audiovisuel public et qui participent ainsi à 85% du budget de France Télévisions et à 89% du budget de Radio France.
Nous posons la question: les informations du service public de l’audiovisuel reflètent-elles la diversité des opinions et des expressions du peuple français ? Donnent-elles la parole à toutes les couches de la population dans leurs dimensions sociales, professionnelles, existentielles, à leurs cultures et à leur Histoire ? Débats et commentaires, font nettement plus de place à l’idéologie gauchisante qu’aux idées libérales ou conservatrices. Bien plus, ces idées n’ont que très rarement, sinon jamais, voix au chapitre. Est-il normal qu’aucune émission ne soit confiée à des animateurs ou à des spécialistes de sensibilité différente ?
- Nous n’acceptons plus que l'obligation de neutralité et d'objectivité contenue dans chaque cahier des charges de chaque entreprise nationale soit considérée comme une pure clause de style.
- Nous n'acceptons plus que l'obligation de pluralisme de la pensée politique soit foulée aux pieds.
- Nous n'acceptons plus que, sur France Inter notamment, journalistes, éditorialistes et humoristes soient à l’unisson. Nous refusons que les auditeurs intervenant dans les émissions interactives et la majorité des invités expriment une pensée convenue et monocolore.
- Nous n’acceptons plus que les informations d’Arte prennent la forme d’un militantisme qui promeut l’immigration sans frontières, le féminisme extrémiste et une écologie jusqu’au-boutiste.
- Nous n’acceptons plus que l’écrasante majorité des débats véhiculent la même pensée convenue et ignorent quasi complètement les classes populaires, les petites gens, les pauvres, et en général la France périphérique, oubliée par la bien-pensance régnante.
- Nous n'acceptons plus la scandaleuse absence de gestion de la dette et des gaspillages du service public, exposés régulièrement par la Cour des Comptes et que les dirigeants successifs de Radio France et France Télévisions se repassent comme une patate chaude.
- Nous n'acceptons plus que la présidente de France Télévisions puisse se permettre de déclarer impunément de manière raciste et sexiste : « qu'on voit trop d’hommes blancs à la télévision » et que le président de Radio France considère que les médias d'État doivent lutter contre ce qu'il nomme le « populisme ».
- Nous n’acceptons plus un CSA inopérant ou complaisant. Nous demandons sa suppression et son remplacement par un organisme indépendant de citoyens-téléspectateurs-auditeurs.
- Nous réclamons le pluralisme de la pensée tout en refusant toute exclusion de l'expression politique et philosophique sur les médias d'État, y compris des idées que nous ne partageons pas.
- Nous demandons à chaque candidat en lice à l’élection présidentielle de s'engager à réformer en profondeur les méthodes et les habitudes du système. Nous lui demandons que soit garantie désormais, avec un système de contrôle digne de ce nom, la libre expression politique et artistique par une hiérarchie qui comprenne enfin le sens de ces deux mots simples : service public.
Avec le Collectif des Usagers du Service Public de l’Audiovisuel, faute de considérer un véritable changement nous, copropriétaires de la maison audiovisuelle de la France, sommes prêts à lancer une grève de la redevance pour voir prises en compte nos revendications.
Payeurs de la redevance mobilisons nous. Signez et partagez cette pétition qui sera communiquée aux différents candidats à l’élection présidentielle et aux autorités de tutelle de Radio France et France Télévisions.
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19/02/2017
« On en fait beaucoup pour Théo… Pourquoi ne parle-t-on pas de Marin ? »
Benoît Rayski
Marin a vingt ans. Il est étudiant. Ou peut-être –et hélas- il faudrait dire était… Il est hospitalisé à Lyon. On lui a fracassé le crâne. Après un long coma, il a repris conscience. Mais il a, en grande partie, perdu la mémoire. Ne sait pas pourquoi il est là. Et ne se souvient plus de ce qui lui est arrivé.
Voilà donc ce qui lui est arrivé. Il se trouvait dans une rue de Lyon, à proximité d’un couple qui s’embrassait sur la bouche. Il y a des pays où un tel comportement vaut le fouet ou un lynchage immédiat. Mais pas à Lyon, tout de même ? Eh bien si !
Un groupe d’individus, choqués et indignés par ce baiser, s’en est pris au couple. Insultes, injures … Sur les rares sites qui évoquent cette affaire, les individus en question sont qualifiés au choix de « jeunes » ou de « racailles ». Marin s’est interposé. Et c’est lui qui a tout pris. La tête défoncée à coups de béquilles. Dans certains quartiers de nos villes, la béquille est une arme.
La presse locale a évoqué ce drame. Mais pas avec suffisamment d’insistance pour que Gérard Collomb, le maire de Lyon, se rende au chevet de Marin. Il était sans doute trop occupé à soutenir Macron… Hollande non plus n’est pas venu. Pourtant, le courage est une vertu tellement rare de nos jours que la moindre des choses serait de le saluer. Le président de la République a trouvé le temps d’aller au chevet de Théo, blessé par un policier à Bobigny. Son Premier ministre a trouvé le temps de recevoir des soutiens de Théo. A-t-il reçu des membres du comité de soutien à Marin ?
Pour lui, il n’y a eu ni émeutes, ni voitures brûlées, ni flics caillassés. Pourquoi se dérangerait-on pour Marin ?
(…)
Alors oui, Marin mérite tout autant de compassion que les victimes supposées citées plus haut. Mais tel n’est pas le cas. Pourquoi ? Parce que, me souffle-t-on, le drame de cet étudiant lyonnais est relayé par la « fachosphère ». Ah la « fachosphère »… Elle s’intéresse de très près à l’identité des agresseurs de Marin. Et il faudrait taire cette identité, alors que c’est elle – et elle seule- qui, revêtue de la défroque du fanatisme, a fait que le spectacle d’un couple s’embrassant a été jugé blasphématoire et méritant châtiment ?
La « fachosphère » a bon dos. Mais pourquoi devrait-elle être seule à protester ? C’est à nous, à nous tous, de crier notre dégoût. A nous tous, de gauche, de droite, du centre, de rien du tout. A nous tous, athées, chrétiens, musulmans. A nous tous, car, avec Marin, c’est nous qu’on essaye d’assassiner. Si nous nous taisons, qui criera pour nous quand on essaiera de nous fracasser le crâne ?
via Fdesouche.com
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Villeneuve-Saint-George (94) : ils agressent des Blancs dans le RER
17:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Le génocide méconnu des chrétiens assyro-chaldéens sous l’Empire ottoman entre 1914 et 1920
Le génocide assyrien ou araméen / chaldéen / syriaque (également connu sous le nom Sayfo ou Seyfo) est le meurtre en masse de la population « assyrienne »de l'Empire ottoman lors de la Première Guerre mondiale. La population assyrienne du Nord de la Mésopotamie (Tour Abdin, Hakkari, Van, Siirt, régions du Sud-Est de l'actuelle Turquie et la région du Nord-Ouest de l'Iran, Urmiah) a été déplacée de force et massacrée par les forces ottomanes (turques) et les forces kurdes entre 1914 et 1920.
Les estimations sur le nombre total de morts varient. Certains rapports citent le nombre de 270 000 morts, bien que les estimations récentes aient révisé ce chiffre au nombre plus réaliste de 500 000 à 750 000 morts représentant environ 70 % de la population assyrienne de l'époque.
Le génocide assyrien a eu lieu durant la même période et dans le même contexte que le génocide arménien et des Grecs pontiques. Toutefois, les études sur le génocide assyrien sont relativement récentes notamment en raison du fait que la question du génocide arménien a occupé longuement la scène principale des génocides à l'encontre des populations chrétiennes de l'Empire ottoman.
En 2007, l'Association internationale des spécialistes des génocides (International Association of Genocide Scholars) est parvenue à un consensus selon lequel « la campagne ottomane contre les minorités chrétiennes de l'Empire entre 1914 et 1923 constituait un génocide contre les Arméniens, les Assyriens et les Grecs pontiques d'Anatolie. »
Le génocide méconnu des Assyro-chaldéens sous l’Empire ottoman
Le 24 avril 2015 a donné lieu à de nombreuses commémorations pour les 100 ans du génocide arménien. Si la Turquie n’a toujours pas reconnu ces faits historiques, elle n’a pas non plus reconnu le génocide d’une autre communauté chrétienne par l’Empire ottoman, à la même époque. Plus de 250 000 Assyro-chaldéens sont morts entre 1915 et 1918. Joseph Yacoub, professeur de sciences politiques à l’Université catholique de Lyon, nous éclaire sur ce drame encore méconnu.
17:22 | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | |
Citation du jour
"Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve."
Friedrich Hölderlin (1770-1843), poète et philosophe allemand.
source: Revue Eléments Nov-déc 2016, p.11
14:38 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
18/02/2017
28 juillet 1885 - Jules Ferry: « Les races supérieures ont un droit sur les races inférieures »
Voici quelques arguments que Jules Ferry, qui a dû démissionner de son poste de premier ministre en mars, tient devant les députés le 28 juillet 1885, tels qu'ils sont transcrits au Journal Officiel. Ils constituent les fondements de la pensée coloniale de la IIIème République:
« La première forme de la colonisation, c'est celle qui offre un asile et du travail au surcroît de population des pays pauvres ou de ceux qui renferment une population exubérante.[...]
Mais il y a une autre forme de colonisation, c'est celle qui s'adapte aux peuples qui ont, ou bien un excédent de capitaux, ou bien un excédent de produits.[...] Les colonies sont pour les pays riches un placement de capitaux des plus avantageux.[...] Dans la crise que traversent toutes les industries européennes, la fondation d'une colonie, c'est la création d'un débouché.[...]
Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai! Il faut dire ouvertement qu'en effet les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures [...][Remous sur plusieurs bancs à l'extrême gauche] parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont un devoir de civiliser les races inférieures.[...]
Ces devoirs ont souvent été méconnus dans l'histoire des siècles précédents, et certainement quand les soldats et les explorateurs espagnols introduisaient l'esclavage dans l'Amérique centrale, ils n'accomplissaient pas leur devoir d'hommes de race supérieure. Mais de nos jours, je soutiens que les nations européennes s'acquittent avec largeur, grandeur et honnêteté de ce devoir supérieur de la civilisation .[...]
A l'heure qu'il est, vous savez qu'un navire de guerre ne peut pas porter, si parfaite que soit son organisation, plus de 14 jours de charbon et qu'un navire qui n'a plus de charbon est une épave sur la surface des mers abandonné au 1er occupant. D'où la nécessité d'avoir sur les mers des rades d'approvisionnement, des abris, des postes de défense et de ravitaillement. »
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