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13/02/2013

L’Iran demande à ce que Mayotte redevienne comorienne

L’ambassadeur iranien aux Comores, Madjid Hamidi Benam, a déclaré lors du 34e anniversaire de la Révolution islamique en Iran, que son pays se battra aux côté des Comores pour que Mayotte redevienne comorienne.

« Sachez que l’Iran est au côté des Comores pour le retour de l’île de Mayotte dans son giron naturel… Nous ne pouvons pas laisser un pays musulman souffrir. Nous allons vous apporter le peu que nous avons pour que les Comores se développent », a souligné l’ambassadeur iranien au site lagazettedescomores.com.

Pour rappel, lors du référendum de décembre 1974, Mayotte avait décidé de rester dans le giron de la France, et de pas entrer dans l’Union des Comores, composée de la Grande Comore, d’Anjouan et de Mohéli.

Mais l’ONU n’a jamais reconnu ce rattachement à la France et a toujours poussé la communauté internationale, à « respecter l’unité et l’intégrité territoriale de l’archipel des Comores, composé des îles d’Anjouan, de la Grande-Comore, de Mayotte et de Mohéli ».

Zinfos974

via Fdesouche.com

Israël : "Prisonnier X", l'espion qui en savait trop

La mystérieuse mort du "Prisonnier X" est devenue affaire d'État enIsraël. En témoigne la levée de la censure médiatique imposée depuis deux ans par l'État hébreu. En juin 2010, le quotidien populaire Yedioth Aharonoth avait pour la première fois évoqué le sort de "Monsieur X", prisonnier non identifié détenu dans le plus grand secret près de Tel-Aviv pour un crime inconnu, sans que même les geôliers connaissent les charges pesant sur lui. Puis l'information avait rapidement disparu du site internet du quotidien. 

Montage réalisé par le site du quotidien israélien "Yedioth Aharonoth", à partir d'une photo du citoyen australien Ben Zygier.

Il aura donc fallu une enquête poussée de la chaîne télévision australienne ABC, diffusée lundi, pour que l'affaire ressurgisse. D'après elle, le "Prisonnier X" se nomme Ben Zygier. Citoyen australien de 34 ans, ce père de deux enfants était membre de la communauté juive de Melbourne. Arrivé en Israël il y a dix ans sous le nom de Ben Allen, il est devenu agent du Mossad. Mais son destin bascule au début de l'année 2010. L'homme est emprisonné dans le plus grand secret dans la prison ultra-sécurisée Ayalon, à Ramla, dans l'aile abritant l'un des prisonniers les plus connus d'Israël : Yigal Amir, l'assassin du Premier ministre israélien Yitzhak Rabin.

Vent de panique à Tel-Aviv

Il sera retrouvé pendu dans sa cellule en décembre de la même année. C'est le récent rapatriement de son corps de Tel-Aviv à Melbourne qui a alerté ABC. Et les révélations de la chaîne australienne ont provoqué un vent de panique à Tel-Aviv. D'après le quotidien israélien Haaretz, le bureau du Premier ministre a immédiatement convoqué une réunion d'urgence du Comité des éditeurs exhortant ses membres à coopérer avec le gouvernement. Le mot d'ordre : "s'abstenir de publier des informations relatives à un incident embarrassant" pour le gouvernement.

Finalement, les médias israéliens ont uniquement été autorisés à reprendre les informations d'ABC, sans apporter le moindre détail supplémentaire. Mais, profitant de leur immunité parlementaire, trois députés d'opposition ont interpellé mardi le ministre israélien de la Justice, Yaakov Neeman. "Est-il normal que le bureau du Premier ministre invite les dirigeants des principaux médias à éviter la publication d'une information susceptible d'embarrasser Israël ?" a par exemple demandé Zehava Galon, dirigeante du parti de gauche Meretz, selon des propos rapportés par l'AFP.

Trahison de l'État

Si le ministre incriminé a botté en touche, rétorquant aux parlements que "les prisons sont sous la juridiction du ministère de la Sécurité intérieure", l'ancien ministre des Affaires étrangères, l'ultranationaliste Avigdor Lieberman, s'est, lui, montré beaucoup plus virulent, accusant les députés de "se solidariser avec l'ennemi", rapporte l'AFP. Mais le plus étonnant reste que le chef de la diplomatie australienne, Bob Carr, n'aurait pas été mis au courant de la détention du citoyen israélien par les autorités israéliennes. C'est en tout cas ce qu'il a indiqué à la chaîne ABC.

"Cela ne m'a jamais été évoqué. Je ne suis pas contre l'idée d'obtenir une explication du gouvernement israélien sur ce qui est arrivé à monsieur Allen et de leur avis sur la question", a notamment déclaré le ministre à la chaîne australienne, tout en ajoutant qu'aucune assistance consulaire n'avait été réclamée par sa famille avant décembre 2010. "Même si le Prisonnier X a été désormais identifié, son crime reste un mystère, même si des mesures aussi extrêmes pourraient indiquer qu'il s'agit d'une affaire de trahison", a précisé Bob Carr.

Recrues du Mossad

Pourtant, il semble bel et bien que certains responsables du ministère australien des Affaires étrangères étaient au courant qu'un de leurs ressortissants avait été incarcéré en Israël en 2010, affirme le quotidien britannique Guardian. Ces fonctionnaires n'ont pour autant pas jugé utile de transmettre l'information à leur hiérarchie. "Les Australiens sont des recrues idéales pour le Mossad. (...) Les Australiens sont généralement considérés à l'étranger comme innocents", explique à ABC Warren Reed, ancien agent pour l'agence australienne des renseignements extérieurs (ASIS). 

D'après l'agence australienne des renseignements intérieurs, le Mossad a pour habitude de recruter des juifs australiens à qui il donne des noms à consonance plus anglaise pour ainsi faciliter leur voyage dans des pays arabes ou en Iran. L'affaire du "Prisonnier X" rappelle étrangement celle de l'emprisonnement secret par Israël pendant plus de dix ans de Marcus Klingberg, un espion du KGB, détenu sous un faux nom jusqu'à sa libération en 2003.

"Atteinte grave à la sécurité de l'État"

Outre l'agitation des médias israéliens, la révélation du sort de Ben Zygier a en tout cas provoqué le courroux d'ONG de défense des droits de l'homme. Interrogé par la chaîne ABC, Bill Van Esveld, chercheur à Human Rights Watch, a indiqué que ce cas soulevait des questions sur les droits fondamentaux des prisonniers détenus en Israël. "La principale préoccupation est qu'une personne ne peut tout simplement disparaître. Ceci est contre les normes du droit international", a-t-il insisté.

Protestant contre le silence médiatique imposé sur l'affaire en juin 2010, après la suppression de l'article sur le site internet du Yedioth Aharonoth, l'Association pour les droits civils en Israël avait reçu du bureau du procureur général d'Israël la réponse suivante : "La mesure actuelle est vitale afin de prévenir à une atteinte grave à la sécurité de l'État."

Click here to find out more!Le Point

Scandale Findus: le procès de la malbouffe industrielle

En parallèle au scandale Findus, cette vidéo, tournée en Chine, illustre bien la folie productiviste de l'industrie agro-alimentaire contemporaine. L'homme se coupe de plus en plus de son milieu naturel. L'animal, dans un processus de dénaturation extrême, devient une sorte de plante hors-sol.

 

 

via Contre-info.com

11/02/2013

Ondes électro-magnétiques: lettre de l'association Robin des Toits à Jean-Marc Ayrault

 

Monsieur Jean-Marc AYRAULT
Premier Ministre


Monsieur le Premier Ministre,

L’association nationale Robin des Toits pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil tient à vous faire part de son indignation quant à la façon dont s’est déroulée la séance du 31 janvier 2013 à l’assemblée.

Lors de cette séance de sinistre mémoire, en effet, la courageuse proposition de loi déposée par Mme Laurence ABEILLE, députée EELV, déjà passablement élaguée en commission, et malgré la modestie de son contenu (éviction du WIFI dans les crèches et écoles, réduction des émissions d’ondes au domicile par une désactivation facilitée du WIFI, étude d’impact avant déploiement d’une nouvelle technologie…) a fait l’objet d’un renvoi en commission, ce qui, compte tenu de la rareté des « niches » parlementaires disponibles, équivaut à un enterrement pur et simple. Pendant ce temps, Mme Fleur PELLERIN se répandait par voie de presse sur les « peurs irrationnelles » à propos des ondes.
Les scientifiques indépendants, l’OMS, le Conseil de l’Europe, la cour suprême italienne, qui se sont prononcés dans le sens du risque, apprécieront.

Comment peut-on être aussi indécent avec la Santé Publique, d’une part, la démocratie, d’autre part, alors que des milliers d’études indépendantes  - on ne compte pas naturellement les études rassurantes financées par l’industrie pour entretenir le doute, sur le modèle de ce qui s’est fait pour le tabac -  attestent la nocivité des ondes à des degrés d’exposition bien inférieurs aux normes actuelles, en particulier en termes de développement des cancers, de déclenchement ou d’aggravation des maladies neuro-dégénératives, de troubles du développement et du comportement chez l’enfant (hyperactivité, autisme), et d’atteinte à la fertilité et à l’ADN ?
Ces questions ne méritent-elles pas un vrai débat, alors que les élus locaux sont confrontés à l’inquiétude croissante des populations et à la brutalité sans limites des opérateurs quand il s’agit d’installer une antenne, fut-ce au-dessus d’une crèche ?

Comment avez-vous pu faire entrevoir à Mme ABEILLE, la veille du débat, des « avancées » en séance plénière pour ensuite faire voter ce renvoi scélérat en commission ?
Qu’est-il encore besoin d’attendre, alors que les études s’accumulent et que l’OMS, qu’on ne peut pourtant pas soupçonner de dureté excessive vis-à-vis de l’industrie, a classé les radiofréquences (toutes les radiofréquences : aussi bien les téléphones que les antennes ou le WIFI) en « cancérogènes possibles » ? Ce classement suffit, à lui seul, à montrer la nécessité d’une action immédiate, sans attendre un Nième rapport de l’ANSES, à l’eau tiède nécessairement puisqu’il fait masse d’une quantité de données contradictoires et pour une part frelatées.

Les citoyens ne sont ni dupes ni naïfs ; ils savent bien ce qui se passe ; ils n’ignorent pas que les opérateurs sont en coulisses, avec à leur actif les milliards de la 4G. Seulement, voyez-vous, maintenant tout cela se voit et se sait, et l’autorité publique n’en sort pas grandie. Quel respect peut-on encore avoir pour un monde politique qui n’est que le laquais d’intérêts commerciaux parfaitement indifférents à la Santé Publique et au bien-être ?

L’emploi ? mais quel emploi ? Quelques postes de vendeurs peut-être ; mais l’industrie dont on parle n’est pas, au fond, une industrie française. Les téléphones sont manufacturés en Asie du Sud-Est, tandis que les antennes sont fabriquées en Chine. Même les centres d’appels des opérateurs sont délocalisés dans des pays à moindre coût !! D’ailleurs, si l’on regarde, les années de développement intensif des technologies sans fil ne sont pas des années de croissance et d’emploi, tant s’en faut, signe certain d’une fausse innovation non facteur de progrès. Pour quelques emplois créés, il y en a beaucoup  détruits, ne serait-ce que du fait du processus de dématérialisation non maîtrisé. Voyez ce qui se passe dans les industries culturelles. Non, vraiment, vos amis les opérateurs ne méritent pas tous les égards que vous déployez pour eux.

Monsieur le Premier Ministre, n’oubliez pas que les socialistes ont aussi été élus en 2012 grâce à toute une mouvance critique, associative et alternative, qui n’en pouvait plus de cette proximité insupportable entre le pouvoir politique et un certain nombre d’industries cupides et cyniques, dont l’affaire du Mediator a été la dernière illustration. On attend d’un pouvoir de gauche qu’il sache garder une juste distance face à une industrie qui n’a aucun souci du bien commun et qu’il l’encadre par une juste réglementation qui, d’ailleurs, préservera sa croissance à long terme.
Si la gauche ne tient pas cette promesse, tous ceux qui ont des attentes à cet égard se tourneront ailleurs.

Monsieur le Premier Ministre, acceptez de voir cette catastrophe sanitaire, acceptez ce débat crucial pour la Santé Publique comme pour la Démocratie. Ne dépensez pas les derniers deniers du crédit politique, emparez-vous enfin de cette question et soumettez-là à un vrai débat.

Dans cette attente, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de nos sentiments respectueux et dévoués en même temps que celle de notre vive inquiétude.

Etienne CENDRIER
Porte-Parole national

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d'Amsterdam 75008 Paris
Tél. : 33 1 47 00 96 33
E-mail : contact@robindestoits.org
http://www.robindestoits.org 

09/02/2013

Intervention de Marion Maréchal - Le Pen sur la Russie

Intervention de Marion Maréchal-Le Pen le 6 février, lors de la Grande commission parlementaire France-Russie : XVIIe session.



Front National

Environnement: quand la chimie contamine notre eau

 

 

Arte (7 février 2013)

06/02/2013

Dessin du jour

04/02/2013

Pôle Emploi recrute en France ...

 

via Fdesouche.com

03/02/2013

La phrase du jour

"Vous savez, en Amérique, il n’y a aucun questionnement [concernant les relations avec Israël]. L’influence des juifs américains est énorme. Il y a énormément d’argent."

Seymour Hersh (journaliste d'investigation américain)

source

La Syrie accuse Israël d'avoir bombardé un bâtiment militaire

L'armée syrienne a annoncé mercredi soir que l'aviation israélienne avait "directement bombardé" à l'aube un centre de recherche militaire situé entre Damas et la frontière libanaise.

"Un avion de combat israélien a violé notre espace aérien à l'aube et a directement bombardé un centre de recherche sur l'amélioration de la résistance et l'auto-défense dans la région de Jomrayah dans la province de Damas", a affirmé l'armée dans un communiqué publié par l'agence officielle Sana.

L'armée fait état de deux employés tués et de cinq blessés dans ce centre, qui a subi "d'importants dégâts" et dont le "bâtiment a été partiellement détruit".

"Israël coopère avec les pays hostiles au peuple syrien et leurs alliés à l'intérieur (de la Syrie) pour frapper les sites vitaux et militaires de l'Etat syrien pour tenter d'affaiblir son rôle de soutien de la résistance", accuse encore le communiqué.

L'armée ajoute ensuite "que des groupes terroristes ont essayé en vain à plusieurs reprises ces derniers mois d'entrer et de s'emparer de ce site". Le régime affirme, depuis le début il y a 22 mois d'une révolte devenue guerre civile, lutter contre des "terroristes" armés et financés par l'étranger.

"Israël bénéficiaire et parfois acteur des actes terroristes visant la Syrie"
Cette attaque prouve "désormais à tous qu'Israël est le moteur, le bénéficiaire et parfois l'acteur des actes terroristes visant la Syrie et son peuple résistant, en coordination avec les pays soutenant le terrorisme, dirigés par la Turquie et le Qatar", poursuit l'armée.

Le communiqué explique en outre que "les avions de combat israéliens ont pénétré (en Syrie) en volant en-dessous de la hauteur détectée par les radars".

Des habitants près de Damas avaient dit auparavant à l'AFP que des missiles avaient touché mardi vers 23H30 (21H30 GMT) un centre de recherches sur les armes non conventionnelles.

Selon eux, ce centre qui se trouve à Al-Hameh, à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Damas, a été touché par six missiles qui l'ont détruit partiellement, déclenchant un incendie et faisant au moins deux morts.

Une vidéo mise en ligne par des militants anti-régime de la région ont montré des explosions dans la nuit, ainsi que des flammes au sol.

Tsahal refuse de commenter
Interrogée par l'AFP, une porte-parole de l'armée israélienne s'est refusée à tout commentaire.

L'armée syrienne dément dans le texte ces informations, affirmant qu'aucun convoi n'a été visé et qu'Israël s'est rendu coupable d'une "agression caractérisée contre la souveraineté syrienne" qui "n'affaiblira pas la résistance".

De son côté, l'armée libanaise a fait état d'un survol particulièrement intensif de son territoire, affirmant que 16 avions de combat israéliens étaient entrés dans l'espace aérien libanais durant la seule journée de mardi.

L'armée israélienne a redéployé dimanche deux batteries du système antimissile Iron Dome dans le nord du pays en vue d'une éventuelle action militaire contre des cibles en Syrie ou au Liban.

A Washington, Maison Blanche et département d'Etat se sont refusés à tout commentaire sur l'action israélienne. Le chef du renseignement militaire israélien, le général Aviv Kochavi, se trouve actuellement à Washington où il a notamment rencontré le plus haut gradé américain, le général Martin Dempsey, ont indiqué à l'AFP deux responsables américains de la Défense.

7sur7.be

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