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24/08/2010

Citation du jour

"Combien de temps allons-nous vivre par la seule force des armes?"

Levi Eshkol, Premier Ministre israélien, 1967 (avant la guerre des Six-Jours)

 

23/08/2010

Citation du jour

A méditer profondément avant qu'il ne soit trop tard car ce texte a plus de cinquante ans. Maintenant, on irait en prison pour bien moins que cela.

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"C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu'on ne se raconte pas d'histoire ! Les musulmans, vous êtes allés les voir? Vous les avez regardés avec turbans et djellabas? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français. Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et les Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcher de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées."

Citations du Général De Gaulle le 5 mars 1959

 

Source

22/08/2010

SOS Ma France - Jean-Paul ORCEL

20/08/2010

Libérez René Galinier

Cliquez sur l'image pour une meilleure lecture.

 

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19/08/2010

France, été 2010 : la peur pour les victimes, l’impunité pour les criminels

 

"Aujourd'hui, j'appelle au secours..."

 

 

Source: FDS

 

PNF:

Pour les victimes, la peur, le traumatisme à long-terme, et parfois même la prison comme pour René Galinier...

Sarkozy avait promis que la peur changerait de camp... est-ce le cas aujourd'hui?

 

Le Pen visionnaire: le racisme anti-blanc / anti-français

 

PNF:

Qu'on le veuille ou non, à cause de l'aveuglement et de la lâcheté des dirigeants politiques qui nous gouvernent, la guerre civile est au bout de la route.

Seule solution, qui nécessite du courage et de la volonté: l'expulsion de tous les immigrés maghrébins et africains vivant en France, qu'ils aient ou non la nationalité française, concept qui n'a plus aucun sens depuis bien longtemps.

18/08/2010

Citation du jour

"Il ressort que chaque immigré qui franchit la frontière (250 000 par an) coûte 100 000 euros par an à la collectivité nationale, soit vingt fois plus que les Corses".

Yves-Marie Laulan, économiste, président de l’Institut de géopolitique des populations, novembre 2005

 

Source: François de Souche

 

Roms : la multiplication miraculeuse

«Dans quelques semaines, Oscar, le fichier biométrique que nous avons mis au point, va permettre d’éviter cette noria, ces allers-retours: ceux qui ont perçu l’aide ne pourront pas la recevoir à nouveau», a déclaré mardi, sur RTL , le ministre de l’Immigration, Éric Besson, qui évoquait le dossier des campements illégaux de Roms.

Prises individuellement, les sommes en jeu paraissent modestes: un billet retour, 300 euros par adulte et 100 euros par enfant. Mais à raison de 15.000 aides au retour délivrées l’an dernier, et autant en 2009, ce sont près de 18 millions d’euros qui ont déjà été distribués en deux ans. Avec un fort soupçon de détournement de ces aides par des personnes qui, revenues en France à plusieurs reprises, se les sont vu attribuer autant de fois qu’elles ont franchi la frontière.

Un policier raconte: «Récemment, nous avons arrêté un Rom qui avait été ramené en Roumanie en avion, après avoir empoché les 300 euros. Là-bas, un Bucarest-Paris en car coûte 60 euros. Il n’a pas fallu une semaine pour que l’intéressé soit de retour en France. Accompagné de quatre cousins à qui il avait offert le trajet grâce à son pécule!»

Mais à compter du 1er septembre prochain, tout change. L’étranger membre de la communauté des gens du voyage contrôlé par la police, lors de l’occupation illicite d’un camp par exemple, verra ses empreintes digitales insérées dans le fichier, à côté du nom.

Quelle attitude doit adopter la police en cas de refus de se laisser signaliser? «Les agents ne peuvent contraindre les récalcitrants, même si ce refus de signalisation constitue une infraction. Il faudra alors qu’un juge condamne les intéressés et ordonne la prise d’empreintes», explique un commissaire de police.


Source: Figaro et FDS

17/08/2010

Le Hezbollah fournit à la justice libanaise des documents mettant en cause Israël dans l'assassinat du Premier Ministre Hariri en 2005

Le Hezbollah libanais a remis mardi un dossier à un procureur public à la suite d'une requête du Tribunal spécial de l'Onu, qui souhaite obtenir du mouvement chiite les éléments de preuve qu'il dit posséder d'une implication d'Israël dans l'assassinat de Rafic Hariri en 2005.

Le chef du Hezbollah, Sayyed Hassan Nasrallah, a diffusé la semaine dernière des enregistrements vidéo censés être d'origine israélienne et réalisés sur des itinéraires qu'empruntait Hariri. Il a suggéré sur cette base aux enquêteurs d'envisager un rôle d'Israël dans la mort de l'ex-Premier ministre libanais.

Nasrallah divulguait ces images quelque temps après avoir été informé que le Tribunal spécial de l'Onu pour le Liban pourrait inculper des membres de son mouvement. Il rejette toute implication du Hezbollah dans l'assassinat de février 2005.

Le chef du mouvement chiite a vivement critiqué le tribunal de l'Onu en le qualifiant de "projet israélien". Ce qui fait craindre un nouveau conflit éventuel entre le groupe, soutenu par l'Iran et la Syrie, et le Premier ministre Saad Hariri, fils de Rafic appuyé par les Etats-Unis et l'Arabie saoudite.

RISQUE DE CRISE POLITIQUE

Lors d'un rassemblement qui s'est tenu lundi soir, Saad Hariri a cherché à apaiser l'atmosphère. Le Liban ne doit craindre "aucun tapage politique, nous espérons apaiser cela (...) et engager un dialogue démocratique", a-t-il déclaré.

Samedi, Hariri avait exprimé la volonté de savoir qui avait tué son père tout en préconisant la stabilité politique. "Le dialogue ne peut aboutir avec des accusations de trahison, ni avec des appels répétés aux tests de patriotisme et de nationalisme", soulignait-il.

Après la divulgation d'images et de témoignages à laquelle s'était prêté Nasrallah le 9 août, le bureau du procureur du tribunal de l'Onu avait demandé aux autorités libanaises de fournir toutes les informations en la possession de Nasrallah, y compris les documents vidéo qu'il avait présentés.

Le procureur libanais Saïd Mirza a transmis au bureau du procureur Daniel Bellemare au Liban les documents qu'il avait reçus du responsable hezbollahi Wafik Safa, a-t-on indiqué mardi de source judiciaire.

Le Hezbollah, qu'un conflit armé a opposé à Israël en 2006, est résolu à se soustraire à toute mise en cause dans l'assassinat de 2005.

A l'occasion d'une séance de "dialogue national" prévue jeudi, des dirigeants rivaux doivent tenter de définir la stratégie de défense du Liban à l'égard d'Israël. Selon des sources politiques, le tribunal de l'Onu n'est pas à l'ordre du jour mais sera très probablement évoqué durant ces discussions.

Saad Hariri a formé l'an dernier un gouvernement d'union nationale où figurent des ministres du Hezbollah. Si le tribunal inculpe certains de ses membres, des analystes jugent possible que le mouvement chiite décide de faire tomber le gouvernement.

Le journal Assafir rapporte mardi qu'Hariri et l'adjoint de Nasrallah, Hussein Khalil, ont eu dimanche un entretien "positif et très utile".

Philippe Bas-Rabérin pour le service français

Source: Reuters 

Une Rom : « Maintenant on ne peut plus rien voler »

Le quotidien roumain Romania Libera a consacré  un article à la situation des romanichels résidant dans notre pays. Il contient cet étonnant entretien avec Elena B. « vivant et travaillant (?) à Rouen » qui se plaint du nombre de vigiles dans les magasins « Maintenant on ne peut plus rien voler« …

« Avant, on était dans une situation de liberté totale. Maintenant, quand on entre dans un magasin, si les employés se rendent compte qu’on est des Roms, on est suivi partout dans les rayons où l’on va, jusqu’à la sortie du magasin. On ne peut plus rien voler. »

« Dans un premier temps, les Roms volaient uniquement pour se nourrir et les Français ne disaient rien. Puis, certains ont exagéré et se sont mis à voler des objets qu’ils revendaient ensuite. Il ne volaient alors plus de la nourriture, mais des produits d’un prix élevé. Maintenant, dans les supermarchés on ne laisse même plus les Roms  déguster les produits en promotion. »

Source : Romania Libera et François de Souche