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17/10/2014

Rapport édifiant d'un fonctionnaire de la police aux frontières sur la France "passoire"

Communiqué de Presse de Nicolas Bay, Secrétaire général adjoint du Front National, Député français au Parlement européen

Dans un rapport d’un fonctionnaire de la police aux frontières (PAF) dont le Figaro a publié hier quelques extraits, les dysfonctionnements et dérives de la politique migratoire de la France apparaissent au grand jour. Contraintes d’appliquer les folles directives de l’Union Européenne que le PS comme l’UMP cautionnent, les autorités policières françaises sont impuissantes à enrayer les afflux de clandestins toujours plus nombreux en provenance notamment d’Italie. Une situation d’autant plus anarchique que les effectifs et les moyens de la police sont en constante diminution, malgré les annonces de Manuel Valls.

Pour mettre un terme à cette explosion de l’immigration clandestine qui frappe la France, le Front National demande la dénonciation des accords de Schengen qui font de la France une véritable passoire. Il nous faut retrouver notre souveraineté territoriale et par conséquent politique afin de pouvoir lutter efficacement contre le fardeau que constituent ces entrées illégales sur le sol français dont le coût est exorbitant pour nos comptes publics et sociaux et qui génèrent une insécurité en hausse constante ainsi que des risques sanitaires évidents.

Front National

 

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Pendant que la Turquie fait le jeu de l'Etat Islamique, la Commission Européenne continue le processus d'adhésion de cette dernière à l'Union Européenne...

Communiqué de presse de Louis Aliot, Vice-Président du FN, Député Français au PE

Au moment où la Turquie refuse de s’engager contre l’État Islamique mais réprime durement les manifestations pro-kurdes et bombarde les positions du PKK, nous apprenons que la Commission européenne continue, sans pressions particulières, ses négociations avec le gouvernement islamiste au pouvoir à Ankara.

En effet, lors d’une récente réunion à Bruxelles, la Commission a approuvé une communication dressant un bilan du processus d’élargissement de l’U.E et fait le point sur les progrès réalisés au cours des douze derniers mois par la Turquie.

Dans le même temps le Ministre Turc en charge des affaires européennes ainsi que l’ambassadeur Bozkir ont déclaré que le rapport d’étapes d’adhésion à l’U.E serait utilisé comme un élément constructif pour faire avancer le processus d’une intégration à l’U.E.

Alors que beaucoup de peuples d’Europe sont majoritairement hostiles à une éventuelle intégration de la Turquie à l’Europe et au regard des engagements pris par les institutions européennes, Louis Aliot, député Français au Parlement européen, a réitéré l’opposition de son groupe à ce processus d’intégration et demandé à la commission des précisions sur ce rapport d’étape.

Front National

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Bataille de Kobané: «Pour la Turquie, Daesh n’est pas un ennemi»

Entretien avec Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R).

Où se situe l’intérêt de la Turquie dans cette bataille de Kobané?

Le président Erdogan a aujourd’hui deux véritables fixations: renverser Bachar al-Assad à tout prix et empêcher la montée en puissance des Kurdes en Turquie, mais aussi en Syrie et en Irak. La Turquie a échoué à s’opposer à l’autonomisation d’un Kurdistan irakien et refuse de voir la même chose se passer pour les Kurdes de Syrie et de Turquie, où ils représentent tout de même 20% de la population.

Quelles relations entretiennent la Turquie et Daesh?

Même s’il ne le dit pas clairement, Erdogan, qui est membre du bureau international des Frères musulmans, adhère à l’idéologie islamiste. Pour lui, l’organisation de l’Etat islamique n’est pas un ennemi. Par ailleurs, le trafic de Daesh enrichit les mafias turques. Jusque-là, les Kurdes de Kobané demandaient un droit de passage pour le pétrole des djihadistes. S’ils disparaissent, Daesh comme la Turquie sont gagnants. De son côté, l’organisation de l’Etat islamique n’a jamais menacé la Turquie, à l’inverse de la Jordanie ou de l’Arabie saoudite.

La Turquie peut-elle être considérée comme un ennemi de la coalition?

Elle est en tout cas en totale contradiction avec la politique de la coalition et avec l’Otan, dont elle est pourtant membre. Quand l’Occident refuse de négocier avec les djihadistes, la Turquie n’a, elle, pas hésité à échanger des petits chefs de Daesh contre des otages turcs kidnappés au consulat de Mossoul. Pour changer le rapport de forces, il faudrait que les Occidentaux utilisent les moyens de pression à leur disposition. Mais personne ne montre la moindre volonté de le faire.

Source : 20 minutes

via Contre-Info