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16/10/2014

La Suède va devenir un pays du tiers-monde d’ici 2030 prévient l’ONU

D’après les prévisions de l’ONU, la Suède en 2030 sera devenu un pays beaucoup plus pauvre que ce qu’il est aujourd’hui, une situation bien pire que le gouvernement actuel tente pourtant de nier.

Le rapport HDI (Indice du Développement Humain) de l’ONU prévoit une diminution significative de la prospérité suédoise contrairement à ses voisins nordiques qui eux, non seulement se maintiendront en top position mais en plus vont (économiquement Ndlr) se renforcer sur le long terme.

En 2010, la Suède occupait la 15 ème place dans le classement de l’HDI, mais selon les prévisions de l’ONU, la Suède sera 25 ème en 2015 et dégringolera à la 45 ème place en 2030.

Beaucoup de pays pourtant moins développés que la Suède à ce jour, tels que Cuba, le Mexique, les pays baltes et la Bulgarie, dépasseront la Suède en 2030 d’après ce rapport de l’ONU.

Même la mortifère Grèce qui est aujourd’hui pratiquement en faillite devrait se rétablir pour occuper en 2030 la 13 ème place de ces prévisions.

L’establishment suédois conforté par les médias de gauche croient dur comme fer en une société parfaite basée sur le multiculturalisme issu d’une immigration à grande échelle provenant de pays les plus pauvres de la planète. Tout citoyen suédois qui ne partagerait pas ce point de vue, ce paradigme, prend le risque d’être qualifié de raciste, fasciste, voire même de nazi.

Ndlr : Relire les chiffres du Figaro ici concernant la déferlante de 80.000 clandestins en 2014 pour une population suédoise d’à peine 9 millions d’habitants.

La journaliste Ingrid Carlqvist déclare sur la vidéo CBN ci-dessous « Nous avons eu un pays de rêve jusqu’à présent, un très beau pays, et dans quelques années ce pays prospère aura totalement disparu »

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Les Observateurs

Guilluy : « La question identitaire est centrale »

Interview de Christophe Guilluy dans la Voix du Nord. Quelques extraits.

• La question identitaire est centrale. Ne pas la prendre au sérieux, c’est aller dans le mur. Le thème identitaire ne se substitue pas à l’économique ou au social, il s’y est ajouté. Les gens ne sont pas devenus méchants. Ils se protègent, recherchent un « entre-soi » rassurant.

• Les territoires qui marchent aujourd’hui économiquement sont les territoires les plus inégalitaires. Dans ces territoires, le clivage est aussi culturel : les bobos ont aussi des stratégies d’évitement pour mettre de la distance avec l’immigré. Ils mettent leurs enfants dans les écoles privées ou dans les bonnes écoles des bons quartiers et se retrouvent entre bobos. Il n’y a pas vraiment de mixité.

• Quand on se retrouve en situation de minorité culturelle, on se protège, on se regroupe. Le débat identitaire, il est universel, on le retrouve aujourd’hui dans des villages de Kabylie où s’installent des Chinois.

• Les gens se foutent de la gauche et de la droite. Il y a une désaffiliation totale avec les grands partis politiques de gouvernement, tel le PS ou l’UMP.

• Le temps des grands mouvements sociaux est dépassé. Mais on observe des radicalités sociales nouvelles. Le mouvement des bonnets rouges l’illustre bien. Personne ne l’a vu venir. Les syndicats ont été dépassés. C’est une colère destructurée qui vient de cette France des territoires oubliés, pas des banlieues des grandes métropoles.

• Le politique qui décide c’est celui des grandes villes. Or il est aveuglé par des mythes comme celui de la mixité sociale.

Voix du Nord

via Fdesouche.com

Lille (59) : il reçoit des coups de couteau pour avoir refusé une deuxième cigarette

« Le passant a bien voulu donner une cigarette, il a refusé la deuxième… C’est ainsi que la bagarre a commencé. » Vendredi soir, square Foch.

Taib Maizi a beaucoup bu et ne supporte pas d’essuyer un refus. La victime, un homme d’une trentaine d’années sent les coups mais s’apercevra plus tard qu’il a en fait reçu des coups de couteau. Une estafilade lui barre la joue. Il est aussi taillé à un bras, une jambe et une main.

Jugé hier après midi en comparution immédiate, Taib Maizi minimise les faits. Il répète fréquemment : « J’avais bu, je ne me souviens de rien », conteste s’être servi d’un couteau : « C’était une bouteille de vodka cassée ». Le président Matthieu Duclos finit par s’agacer : « Vous pouvez ne rien dire mais il faut arrêter de raconter n’importe quoi ».

Le prévenu répond par un sourire au fur et à mesure que l’interprète lui rapporte les propos. Il a 20 ans, est sans domicile ni emploi, est arrivé en France, il y a deux mois. Au moment de l’agression, il était avec un mineur qu’il accuse d’avoir volé le portefeuille de la victime. L’adolescent a été mis hors de cause, expliquera le procureur Jérôme Aimé qui requiert dix huit mois de prison dont six avec sursis et un maintien en détention.

Me Faustine Broulin plaidera le doute sur le vol. Admettant les faits de violences, l’avocate demande néanmoins au tribunal de privilégier le suivi socio-judiciare. Taib Maizi a été condamné à un an de prison. Il a été incarcéré.

Source

via fdesouche.com

L'UE renonce à étiqueter le pétrole des sables bitumineux comme étant « sale »

L'exploitation des sables bitumineux en Alberta

L'exploitation des sables bitumineux en Alberta  Photo :  PC/Jeff McIntosh

Après des années de lobbying de la part du gouvernement Harper et de l'industrie pétrolière, l'Union européenne renonce finalement à étiqueter le brut des sables bitumineux comme hautement polluant.

Une proposition déposée mardi par la Commission européenne élimine un obstacle à l'exportation de pétrole des sables bitumineux canadiens vers l'Europe, au moment où les tensions sont vives entre l'UE et la Russie, important producteur pétrolier.

Des sources à l'UE ont confié à Reuters, sous couvert de l'anonymat, que le désir de conclure une entente commerciale avec le Canada avait pesé dans la balance étant donné la situation avec Moscou.

Dans son objectif de réduire ses émissions de carbone d'ici 2020, la Commission européenne propose aujourd'hui que les fournisseurs déclarent le niveau d'émission moyen des matières de base utilisées dans leurs produits. Elle abandonne ainsi l'idée proposée en 2011 de considérer les produits des sables bitumineux à part.

« On sait que notre proposition initiale n'a pas pu être adoptée en raison des résistances rencontrées dans certains États membres. », a déclaré la commissaire au climat de l'UE, Connie Hedegaard, dans un communiqué.

La proposition détermine toujours une méthode de calcul des niveaux de pollution des différents types de carburants au cours de leurs cycles de vie. La Commission soutient qu'elle proposera des mesures si ces niveaux de pollution sont incompatibles avec les objectifs climatiques.

« La Commission donne aujourd'hui une nouvelle impulsion à ce texte, pour faire en sorte qu'existe à l'avenir une méthodologie propre à encourager le recours à des carburants plus respectueux de l'environnement, de préférence à des combustibles plus polluants, comme les sables bitumineux », indique la commissaire Hedegaard.

Environnementalistes et politiciens verts critiquent ce qu'ils considèrent comme une marche arrière. Greenpeace accuse la Commission européenne, sous la direction de son président sortant Jose Manuel Barroso, de prioriser les accords comme le Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement au détriment de l'environnement.

Radio Canada