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13/10/2015

Le tract du jour

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Bloc Identitaire

12/10/2015

La mairie de Puteaux offre une piscine à 250 000€ aux frais des contribuables en… Israël !

(Cliquer sur l'image pour l'agrandir)

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Dans le numéro d’octobre du magazine Capital, un long dossier est consacré à  « l’extravagant train de vie du secteur public ». Si de nombreux sujets sont abordés, on apprend que le maire de Puteaux a financé, avec l’argent de ses administrés, une piscine pour 250 000€ dans la ville israélienne de Gan Yavne ! Mais, en plus de donner des centaines de milliers d’euros d’impôts locaux aux juifs, le maire prépare un voyage à 60 000€ pour surveiller l’avancement des travaux !

Article complet de Capital : « Partir en voyage aux frais du contribuable, c’est bien. Mais se débrouiller pour que cela vous rapporte des voix aux élections suivantes, c’est mieux encore. La recette de cette martingale ? C’est Joëlle Ceccaldi-Raynaud, la maire de Puteaux (Hauts-de-Seine), qui nous la livre. Pour se concilier les faveurs des trois fortes communautés portugaise, marocaine et juive qu’abrite sa commune, elle a signé des pactes d’amitié avec Braga (Portugal), Tanger (Maroc) et Gan Yavné (Israël). Et elle s’impose de mener régulièrement des visites de courtoisie dans ces villes pour entretenir les liens. C’est ainsi qu’elle a programmé l’envoi d’une délégation de douze personnes, dont six élus et quatre fonctionnaires, à Gan Yavné pour… surveiller l’avancement des travaux réalisés (aux frais de Puteaux) dans la piscine de cette cité proche de Tel-Aviv. Pour des raisons de sécurité, le voyage n’a pas encore pu avoir lieu (Gan Yavne est à portée des roquettes tirées de Gaza). Mais le conseil municipal a donné son accord et autorisé sans barguigner le déblocage des 60 000 euros de crédits nécessaires. A noter qe le maire devrait être du voyage, ainsi que son fils, lui aussi élu municipal.  »

Contre-Info

Brest (29) : la foule scande "Salafistes, hors de France", manifestation et contre-manifestation autour de la mosquée Sunna

Des mouvements se sont donnés rendez-vous à 11h ce samedi place de la Liberté pour dénoncer « l’islamisation de la Bretagne » alors qu’une contre-manifestation d’ »antifascistes » est partie de la fac Ségalen pour rejoindre le centre-ville.

via Fdesouche.com

11/10/2015

Une solution à la crise de l'euro: la double monnaie

Par Harold James, professeur d'histoire et d'affaires internationales à Princeton (article daté du 04/11/2011)

DR

La meilleure façon de vaincre la spéculation contre la zone euro, aujourd'hui, serait le maintien de la monnaie européenne, assorti de la possibilité pour chaque État de recréer leur monnaie nationale. Cette dualité monétaire, qui a déjà existé au XIXème siècle, permettrait à des pays comme la Grèce de regagner en compétitivité.

Les alternatives à la monnaie européenne, l'euro, se limitent de plus en plus au choix entre une tentative désespérée pour sortir de la crise et un effondrement chaotique. Pourtant il existe une approche plus audacieuse et plus efficace fondée sur la coexistence de plusieurs monnaies - un système qui s'est révélé efficace dans le passé.

Les Européens devraient examiner les solutions innovantes issues des crises dans le passé. La crise du Système monétaire européen (SME) entre septembre 1992 et juillet 1993 semblait menacer l'intégration européenne. Elle a mis en danger la Grande-Bretagne, l'Espagne, le Portugal et, enfin, en juillet 1993, la France. Tout comme aujourd'hui, l'avenir de l'Europe était menacé.

Initialement, la solution adoptée à l'issue d'une nuit de négociations frénétiques à Bruxelles paraissait contre-productive. L'élargissement brutal à 15% de la marge de fluctuation des monnaies européennes de part et d'autre d'une valeur pivot semblait rejeter aux calendes grecques l'adoption d'une monnaie unique. Mais cela a permis de déjouer les attaques spéculatives contre les devises les plus vulnérables, supprimant ainsi la cause fondamentale de l'instabilité. L'équivalent actuel de l'élargissement de la marge de fluctuation serait le maintien dans la zone euro de tous les pays membres, tout en autorisant ceux qui le jugeraient nécessaire à émettre une monnaie nationale. Ceux qui feraient ce choix verraient sans doute leur nouvelle devise se négocier à un taux très faible. Le succès des mesures de stabilisation se traduirait alors dans le taux de change de la nouvelle monnaie. Elle s'appréciera si elle permet de revenir à la stabilité budgétaire et de relancer la croissance. De la même manière, après 1993, le franc est tombé en dessous de la marge de fluctuation fixée, mais il y est revenu grâce à une politique judicieuse.

Cette approche présente un avantage important : elle n'exige pas une redénomination des actifs et des passifs bancaires. Elle évite donc les multiples problèmes juridiques liés à une solution plus radicale. Il est possible que les deux monnaies ne convergent pas et soient amenées à coexister durant une longue période. Ce n'est pas une idée nouvelle. Lors des discussions sur l'union monétaire au début des années 1990, on avait envisagé que la monnaie commune ne soit pas une monnaie unique. Il y a vingt ans, cette éventualité ne constituait pas une construction théorique limitée à des discussions marginales. C'était une véritable alternative historique.

Aussi surprenant que cela peut être, deux monnaies différentes ont déjà coexisté sans problème durant une longue période. Avant que l'étalon or ne soit adopté dans les années 1870, l'Europe a eu deux types de monnaie, l'une reposant sur l'or et l'autre sur l'argent. Ce régime a connu un grand succès, notamment parce que chaque type de monnaie était utilisé dans un contexte donné. Les pièces d'or de valeur élevée servaient de référence lors de transactions importantes et au niveau international. Les pièces d'argent de moindre valeur servaient aux transactions quotidiennes, ainsi que pour régler les petits salaires et les locations. Shakespeare qualifiait l'argent de "pâle et vulgaire intermédiaire - entre l'homme et l'homme".

Dans ce système, une dépréciation de l'argent par rapport à l'or se traduirait par une diminution des salaires réels et améliorerait la compétitivité. Ainsi les premiers travailleurs de l'industrie textile moderne en Italie ont-ils vu leur salaire en argent diminuer, tandis que les produits qu'ils fabriquaient étaient facturés en or sur le marché international des produits de luxe. C'est l'une des raisons pour lesquelles Milton Friedman considérait le bimétallisme intrinsèquement plus stable que le monométallisme (basé sur l'or). L'équivalent actuel du mécanisme d'ajustement monétaire de l'époque du bimétallisme consisterait, par exemple, en une baisse des salaires grecs qui seraient payés dans la monnaie nationale de faible valeur par rapport à l'euro. Ce serait l'équivalent de la monnaie en argent. L'euro jouerait le rôle de l'étalon or. Sa stabilité serait assurée par les institutions existantes, la Banque centrale européenne et celles des banques centrales nationales qui n'auraient d'autre alternative. En ce sens, le cours de la zone euro serait l'équivalent de la Grande-Bretagne du XVIIIe et du début du XIXe siècle qui ne connaissait que le régime de l'étalon or.

Offrir la possibilité d'utiliser deux monnaies, l'une à usage interne et l'autre à usage externe, paraît étrange et contre-intuitif. Mais c'est réalisable et cela a déjà été fait. Cela peut être un moyen remarquablement efficace pour répondre à l'exigence de stabilité.

La Tribune (et Project Syndicate) 

 

 

10/10/2015

Les frappes russes en Syrie auraient tué deux commandants de Daesh et 300 combattants

L’armée de l’air a effectué 67 sorties, frappant 60 cibles distinctes dans le nord de la Syrie ces dernières 24 heures, a indiqué le Ministère de la Défense russe. Deux commandants font partie des 300 combattants de l’EI tués dans les raids.

«Parmi les cibles touchées figurent des nœuds de communications, des postes de commandement, des stocks de carburants et des bases terroristes d’entraînement, situés à Racca, Lattaquié, Idleb, Alep et Hama», a fait savoir le lieutenant-général Igor Makushev lors d’un briefing à Moscou.

RT.com

 

Nicolas Hulot manie l'humour pour communiquer sur le réchauffement climatique

Citations - Maupassant: "Qui dit Arabe dit voleur, sans exception."

Extrait du carnet de voyage de Maupassant en Algérie en 1881:

"Chaque jour, l’officier en tournée envoie en avant un cavalier indigène pour prévenir le caïd chez qui il mangera et dormira le lendemain, afin que celui-ci puisse prélever dans sa tribu la nourriture des hommes et des bêtes. Cette coutume, qui équivaut aux billets de logement chez l’habitant des villes en France, devient fort onéreuse pour les tribus par la manière dont elle est pratiquée.

Qui dit Arabe dit voleur, sans exception. Voici donc comment les choses se passent. Le caïd s’adresse à un chef de fraction et réclame cette redevance de ses hommes.

Pour s’exempter de cet impôt et de cette corvée, le chef de fraction paie. Le caïd empoche et s’adresse à un autre qui souvent aussi s’exonère de la même façon. Enfin, il faut bien que l’un d’eux s’exécute.

Si le caïd a un ennemi, la charge tombe sur celui-là, qui procède, vis-à-vis des simples Arabes, de la même façon que le caïd vis-à-vis des cheiks.

Et voilà comment un impôt, qui ne devrait pas coûter plus de vingt à trente francs à chaque tribu, lui coûte quatre à cinq cents francs invariablement.

Et il est impossible encore de changer cela, pour une infinité de raisons trop longues à développer ici."

Maupassant, Au Soleil, pp.170-171, Folio Classique

Wikisource

PNF:

Cette oeuvre de Maupassant ne risque pas de sitôt d'être incluse dans les programmes scolaires de l'Education Nationale...

 

I Media (9 oct 2015) - La France, pays de "race blanche": Morano persiste et signe

02:09 - La France, pays de "race blanche", Morano persiste et signe
10:54 - Le zapping d'I-Média
17:43 - Libé, "Oui nous sommes bien-pensants" et alors?"
25:17 - Les tweets d'I-Média


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Le tweet du jour

La phrase du jour

"Les guerres civiles qui transforment des millions de personnes en réfugiés vont déstabiliser l'Europe économiquement et socialement, ce qui aura forcément un fort impact sur l'économie mondiale."

Nouriel Roubini, président de Roubini Global Economics et professeur d'économie à la Stern School of Business de l'université de New York - Les Echos, 8 oct. 2015 . (et Project Syndicate 2015)

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