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09/09/2014

Tranche de vie à Springfield (Missouri)

Couple violemment agressé à Springfield (Missouri). La jeune fille Meredith Cole a déclaré à la police qu’elle avait été approchée par la bande et subi des attouchements sexuels.

Elle est alors retournée dans la discothèque où son petit ami disc-jokey travaillait. Celui-ci est alors sorti pour identifier les agresseurs. C’est à ce moment qu’ils ont été attaqués.

 

Source

via Fdesouche.com

08/09/2014

Guerre en Ukraine: éditorial de Joseph Savès (Hérodote)

« Sont-ils tous devenus fous ? » se demandait récemment Jacques Attali à propos des dirigeants européens (*). 

Après les manifestations de Maidan, à Kiev, à l'automne 2013, le nouveau gouvernement ukrainien n'a rien eu de plus pressé que d'ôter au russe, langue parlée par un tiers de leur population, son statut de langue officielle.

Et c'est avec les encouragements de l'Union européenne, de l'OTAN et de quelques intellectuels déphasés qu'il est entré en guerre contre les séparatistes russophones de Crimée et du Donbass, qui ne supportaient plus d'être traités en parias.

Ainsi les dirigeants occidentaux violent-ils en Ukraine le droit à l'autodétermination des peuples qu'ils approuvent quand il concerne les Catalans, les Écossais, les Corses ou encore les Tibétains. Il est vrai que tout est permis quand il s'agit de repousser l'ogre russe et relancer la « guerre froide ».

D'Eltsine à Poutine, quelle différence ?

Ah, c'est sûr, les Occidentaux avaient plus de sympathie pour Boris Eltsine que pour Vladimir Poutine, qui lui a succédé en 1999 à la tête de la Fédération russe.

D'abord, il avait l'alcool joyeux. Ensuite, il avait accueilli à bras ouverts les « Chicago boys » et, sur les conseils de ces missionnaires du néolibéralisme, il avait bradé l'économie russe aux anciens apparatchiki du Parti communiste. Cette politique éclairée avait conduit à l'effondrement démographique de la Russie.

Poutine a, lui, tous les défauts. Il est issu de la police d'État, le FSB (ex-KGB), dont l'historienne Hélène Carrère d'Encausse rappelle avec une nuance d'humour qu'il est le vivier des cadres russes, à l'égal de l'ENA en France. Ses manières sont celles d'un tsar et il ne cache pas son mépris des démocraties occidentales.

Plus gravement, il s'est mis en tête de redresser son pays en instaurant des barrières protectionnistes pour sauver l'industrie, en mettant au pas les hiérarques, voire en les jetant en prison, et en brutalisant les médias. Le pire est qu'il semble y réussir comme le montrent les indicateurs démographiques relevés par le démographe Emmanuel Todd. Cela lui vaut d'être immensément populaire dans son pays. 

La Russie (145 millions d'habitants) n'est plus menacée de disparition à moyen terme. Son indice de fécondité (1,2 enfants par femme en 1999, 1,7 en 2013) est remonté au-dessus de celui de la Chine (1,5), de l'Ukraine (1,5) et bien sûr de l'Europe, pour ne rien dire de l'Allemagne (1,4). Niveau d'éducation, accession des filles à l'enseignement supérieur, mortalité infantile, suicide... tous les indicateurs témoignent de ce que la population russe reprend lentement confiance en son destin.

C'est cette renaissance encore fragile de la plus grande nation du continent que les dirigeants européens s'appliquent à briser avant qu'un disciple de Charles de Gaulle ne s'avise de construire « l'Europe de l'Atlantique jusqu'à l'Oural ».

En finir avec la Russie ?

Certains, en Suède et plus encore en Pologne, cachent à peine leur désir de venger Poltava et Katyn. « Isolons la Russie et renvoyons-la dans ses lointaines steppes asiatiques », clament-ils.

Les gens de Bruxelles (l'OTAN et la Commission européenne) s'y sont essayé en 2008 avec la Géorgie. Ils ont encouragé celle-ci à rompre avec Moscou et se rapprocher de l'Union européenne, voire entrer dans l'OTAN, en violation de la promesse faite en 1991 à Mikhail Gorbatchev, dernier chef d'État soviétique, de ne pas étendre l'alliance aux portes de la Russie. La tentative a fait long feu après que Vladimir Poutine eut brutalement ramené la Géorgie au bercail.

Oublieux de la leçon (*), ils ont donc récidivé cinq ans plus tard avec l'Ukraine, ou « petite Russie », en l'invitant à s'émanciper de Moscou et se rapprocher de l'Union européenne et de l'OTAN, ce que les Russes ont perçu comme une nouvelle manifestation d'hostilité à leur égard.

L'Ukraine ! Jusqu'à ces derniers mois, nous méconnaissions ce pays tout autant que la Géorgie. À sa partie orientale russophone, la « Nouvelle Russie », les Soviétiques ont rattaché la partie occidentale, enlevée aux mondes balkanique, carpathique et polonais. De ces régions pauvres mais fières sont issus les nationalistes qui s'associèrent aux envahisseurs allemands pendant la Seconde Guerre mondiale et aussi ceux qui se sont retrouvés sur Maidan à l'automne 2013 pour renouveler leur sympathie à l'adresse de l'Europe, de l'Allemagne et de la Pologne.

Cette sympathie justifie-t-elle que nous enfonçions un coin entre l'Ukraine et la Russie ? Est-il urgent et utile de nous rapprocher de l'Ukraine, avec son économie en lambeaux, sa société en loques et sa démographie sinistrée ? L'Ukraine, notons-le, est, de tous les pays de la planète, celui dont la population devrait le plus diminuer d'ici 2050 (34 millions d'habitants au lieu de 45 millions dans les frontières de 2013 d'après les démographes de l'ONU).

Las. Après un échec cuisant sur la Crimée, reprise par la Russie le 17 mars 2014, le président ukrainien Petro Porochenko a retourné son armée contre ses concitoyens russophones du Donbass, ne leur offrant que la « paix des cimetières ». Au lieu de calmer ses pulsions bellicistes, les Européens se sont enferrés dans leur erreur. Ils ont choisi de s'en prendre exclusivement à son homologue russe. 

Il s'en est suivi une escalade ukraino-occidentale, combinant sanctions économiques contre la Russie et opérations de guerre contre les séparatistes du Donbass, soutenus en sous-main par les Russes.

Le président Barroso, qui, avec Bush Jr, Blair et Aznar, a envoyé les Irakiens en enfer, s'est autorisé à menacer la Russie de ses foudres. Et tant pis si l'économie européenne, qu'il a déjà mise à terre, risque de s'enfoncer dans des profondeurs encore insoupçonnées. Les Russes ont fait comprendre qu'ils sauraient se passer des pommes de Pologne, du poulet français, des machines allemandes et aussi des bateaux Mistral construits à prix d'or par la France... Tant mieux pour les agriculteurs brésiliens, les fabricants de machines-outils japonais et les fabricants d'armements israéliens qui déjà se frottent les mains.

[...]

Poutine, que l'Ukrainien Porochenko et le Portugais Barroso ont choisi d'affronter, ne demande qu'à poursuivre le redressement de son pays sans être isolé de ses alliances traditionnelles ni menacé par l'installation de l'OTAN à ses portes. Il sait que ses compatriotes ne lui pardonneraient pas de reculer là-dessus ni d'abandonner les russophones d'Ukraine à la vengeance des Galiciens. Lui-même n'acceptera jamais de renvoyer la Russie dans les ténèbres eltsiniennes.

Faut-il donc l'acculer dans ses retranchements ? Sauf à vouloir en finir avec la Russie, cette option est indigne de tout homme d'État digne de ce nom, qui se doit au contraire de ménager à ses adversaires une issue honorable. L'Union européenne a provoqué la crise actuelle en tentant de détacher l'Ukraine de la Russie alors qu'elle n'en a ni les moyens financiers ni la capacité politique. Il lui appartient maintenant d'amorcer la désescalade. 

Il s'agit : 1) d'entériner le retour de la Crimée dans le giron russe, 2) d'imposer une fédéralisation de l'Ukraine, seule voie de sortie après les troubles de ces derniers mois qui ont creusé un abîme entre les différentes composantes du pays. Ces  avancées politique peuvent s'accompagner en contrepartie d'un rapprochement économique entre la Russie, l'Ukraine et l'Union européenne, profitable à toutes les parties [...].

Le ballet diplomatique des derniers jours d'août 2014 donne à penser que cette solution raisonnable finira par être mise en oeuvre sous l'impulsion des deux seuls « hommes » d'État qui restent en Europe : la chancelière Angela Merkel et Vladimir Poutine. La première, devenue le chef de facto de l'Union européenne, a tenté le 23 août, à Kiev, de calmer l'Ukrainien Porochenko et l'a invité à faire enfin des concessions à ses compatriotes russophones. Le second, après avoir fait la preuve de sa détermination, est en situation aujourd'hui de calmer le jeu à son avantage, en obtenant une neutralisation de l'Ukraine.

Joseph Savès
 
 
 

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Grand remplacement : en 1991, Giscard dénonçait déjà l’invasion migratoire (vidéo)

« Le problème actuel auquel nous aurons à faire face se déplace de celui de l’immigration vers celui de l’invasion »
V. Giscard d’Estaing, Fig Mag, 21/09/91


« Plus on aura d’immigration, plus on aura d’insécurité. Ce n’est pas une question ethnique mais notre immigration est une immigration bas de gamme. On va vers de graves conflits raciaux qui seront la conséquence du refus des Français d’être envahis par d’autres cultures. Toute race a l’instinct de se préserver.”
Jacques Chirac – Nouvel Obs - 1990

 


Compilation d’archives réalisée par Fdesouche en 2010

via Fdesouche.com

 

06/09/2014

Suspension de la livraison du Mistral à la Russie : Hollande ridiculise la France et porte atteinte aux intérêts vitaux de notre pays

Communiqué de Karim Ouchikh, Président exécutif du SIEL, Conseiller de Marine Le Pen à la Culture et à la Francophonie, Conseiller municipal de Gonesse

A la veille du sommet de l’Otan au Pays de Galles, François Hollande a décidé de suspendre brutalement la livraison à Moscou du Vladivostok, le premier des deux navires de guerre de classe Mistral qui devait être remis en octobre prochain aux marins russes actuellement en formation à Saint-Nazaire.

En cédant servilement aux pressions conjuguées des Etats-Unis, du Royaume-Uni, de l’Allemagne, de la Pologne ou des pays Baltes, avec l’illusion de peser sur la politique ukrainienne de Moscou, le chef de l’Etat porte triplement atteinte aux intérêts vitaux de la France : l’activité et les emplois de nos chantiers navals de Saint-Nazaire seront considérablement fragilisés ; le crédit accordé à la signature commerciale de notre pays sera durablement ruiné ; l’indépendance de notre outil diplomatique sera partout compromise.

Une fois de plus, le chef de l’Etat aura fait preuve d’une immense pusillanimité, là où les circonstances lui imposaient de manifester une force de caractère et une capacité de discernement qui soient en rapport avec les devoirs liés à sa charge. Devant pareil gâchis, Marine Le Pen et le Rassemblement Bleu Marine appellent solennellement François Hollande à se ressaisir et à reconsidérer rapidement sa décision irresponsable : si elle veut éviter de se ridiculiser davantage sur la scène internationale et s’épargner les lourdes répercussions financières liées à cette rupture abusive, la France doit honorer fidèlement le contrat de vente signé en 2011 et livrer à la Russie le Vladivostok à la date convenue, mais aussi le second bâtiment de projection et de commandement dont la construction sera achevée dans un an. Succédant aux fiascos déjà éprouvés en Libye, Syrie et en Irak, cette dernière volte-face diplomatique démontre enfin les limites de l’alignement atlantiste systématique imposé à notre pays par les forces de l’UMPS et souligne l’urgence pour la France de sortir promptement du commandement intégré de l’Otan afin retrouver nos marques dans le concert des nations.

Front National

 

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05/09/2014

Image du jour : ils bloquent une rue de Londres pour fumer la chicha

Londres : La ruée du Ramadan est presque finie mais dans les « Images de la Semaine », Monika Agata Maron a photographié  comment  Knightsbridge (Ndlr : un quartier de luxe du centre de Londres dans le district de la Cité de Westminster) est devenu ridicule pendant cette période.

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La photo de trois jeunes arabes assis au milieu de la route fumant la chicha en dit long comment ces visiteurs se comportent quand ils viennent à Londres. (…) Les arabes posant dans leurs super voitures dans les rues sont maintenant devenus une habitude pour les locaux (…).

Source

via Fdesouche.com

Florian Philippot: "Dans ce gouvernement, il y a un triple bras d'honneur"

La phrase du jour

"En Europe, nous continuons de lutter contre la concurrence déloyale des importations de nombreux modèles de briquets chinois à bas prix qui ne respectent pas les normes internationales de sécurité. Les Chinois profitent de droits de douane de seulement 2,7% alors que nous devons acquitter 25% pour vendre nos briquets chez eux. Et nos gouvernements ne cessent de parler de défendre l'industrie européenne..."

Marcel Bich, PDG de Bic - Le Point, 4 septembre 2014

 

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TTIP: question de Marine Le Pen à l'ambassadeur américain près de l'UE au Parlement Européen

Traité transatlantique : question sur l’agriculture, la transparence et le déni de démocratie lors de la commission du commerce international du mercredi 3 septembre 2014 au Parlement européen.

 

 

http://www.frontnational.com/videos

04/09/2014

Grand remplacement : pourquoi la France est candidate au suicide

Tribune libre de Paysan Savoyard

On ne cessera pas de s’interroger sur ce phénomène étrange. La plupart des Français (74% selon un récent sondage) pensent qu’il y a trop d’immigrés. Ce sentiment est probablement l’une des sources principales de leur pessimisme quant à l’avenir du pays (les études d’opinion montrent qu’une large majorité sont persuadés que l’avenir est sombre). Pourtant…

Lire l'article sur Fdesouche (article vivement conseillé par PNF)

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Chard

Jesi (italie) : armé d’une machette il sème la panique dans la rue

Entre 19:30 et 21 heures, s’est tenu un nouveau cas « Adam Kabobo » à Jesi, où un jeune noir âgé de 20-30 ans, débardeur vert et pantalon blanc rôdait sur la route, à l’abri des murailles historiques de la ville en menaçant de décapiter les passants avec deux machettes. Le bilan final a été contenu: seulement un blessé, le commandant des carabiniers, capitaine Mauro Epifani ‘(…)

La Stampa

via Fdesouche.com