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07/12/2011

« A Rome, fais comme les Romains. » (Saint-Ambroise)

7 décembre. C'est aujourd'hui la fête de Saint-Ambroise, également appelé Ambroise de Milan ou Aurelius Ambrosius.

Ambroise fut évêque de Milan au IVe siècle, sous le règne de l'empereur romain Théodose. Il combattit l'hérésie arienne et développa le culte des reliques. Il baptisa aussi le futur saint Augustin. Comme ce dernier, Ambroise figure parmi les grands Docteurs de l'Église catholique (*).

Une légende veut qu'un jour, Augustin demandât à Ambroise si le repos hebdomadaire devait se célébrer le samedi comme à Milan ou le dimanche comme à Rome. Il s'était attiré une réponse devenue proverbiale : « A Rome, fais comme les Romains ».


Source: Hérodote et Wikipédia

06/12/2011

Marine Le Pen obligée d'annuler son passage à l'université de Paris-Dauphine

Une centaine d'étudiants et de militants anti-FN ont empêché cet après-midi la venue à l'université de Paris-Dauphine de Marine Le Pen. La présidente du Front national dénonce des "milices de gauche" et demande notamment la dissolution de l'UNEF. Elle était l'invitée de l'association étudiante Dauphine Discussion Débat pour présenter son programme. Elle réagit au micro de France Info.



Source: France-Infos via Fdesouche.com

05/12/2011

Un député bruxellois sur cinq est musulman

Plus d’un député bruxellois sur cinq est d’origine musulmane. Unique en Europe. Plusieurs facteurs expliquent ce constat : le système institutionnel, l’évolution démographique et la concentration des musulmans dans certains quartiers de la capitale.

Le Parlement bruxellois est composé à 21,3 % de députés d’origine musulmane. C’est ce que conclut l’étude menée par Fatima Zibouh, chercheuse en sciences politiques à l’ULG. Les résultats de son travail sont à lire dans la revue Brussels Studies de ce lundi.

Dix-neuf députés bruxellois ont des racines musulmanes. Sans compter que deux élus musulmans occupent également des fonctions au sein d’un exécutif. Fadila Laanan à la Fédération Wallonie Bruxelles et Emir Kir, secrétaire d’Etat au gouvernement bruxellois. Notons également que la seule députée voilée en Europe siège également au parlement bruxellois. Il s’agit de la CDH Mahinu Ozdemir.

Unique en Europe

Près d’un député sur cinq est de culture musulmane. Une situation unique comparée aux autres grandes villes européennes. Cette représentation a fortement évolué en une vingt ans. De 0% en 1989, elle est passée à 5,3% en 1995, 19,1% en 2004 pour atteindre 21,3% en 2009. La plupart d’entre eux appartenant au PS. [...]

Cette particularité s’explique par plusieurs facteurs. Les changements dans l’attribution de la nationalité belge notamment. Depuis 1989, 200.000 personnes ont été naturalisées. [...]

lavenir.net via Fdesouche.com

02/12/2011

“Vous les Français n’en avez plus pour longtemps ! Le pouvoir va bientôt appartenir aux musulmans !”

Un procès-verbal d’un commissariat de Mantes-La-Jolie révèle les propos édifiants  d’une musulmane, entièrement voilée, venue chercher sa fille arrêtée pour vol.

(cliquer sur les images pour agrandir)


Procesverbal1.jpg

procesverbal2.jpg



Le Salon Beige via Fdesouche.com

01/12/2011

L'euro : la fausse bonne idée

Barrière des langues, manque de confiance entre les partenaires, différence de culture économique : le Time donne 10 raisons pour lesquelles la création de la monnaie unique était "une idée stupide".

Dans un article intitulé "Les dix raisons pour lesquelles la création de l'euro était une idée stupide", le journaliste Olaf Gersemann explique sur le site du Time pourquoi nous avons été "trop crédules" au moment de créer la monnaie unique.

1- Aucun mécanisme de résolution des conflits

Les dix premières années, l'intégration économique de l'Europe a été un succès. Au cours des différents sommets, les dirigeants se sont répartis les profits. Avec la crise de l'euro, cette dynamique a changé : maintenant il faut partager le fardeau, organiser des tours de garde pour s'occuper du bébé malade - un scénario auquel personne ne s'était préparé institutionnellement ou moralement. Résultat : les chamailleries et les prises de becs ont repris entre les partenaires européens à un niveau qui n'avait pas été vu depuis 1957, date de la signature du traité de Rome

2- Pas de points de ralliement 

À l'exception du football et du concours de l'Eurovision, il n'y a absolument rien autour de quoi les européens puissent se rallier.   Pas de chaîne de télévision régionale, pas de journaux, et encore moins une langue commune. En période de "gagnant-gagnant", ce n'était pas vraiment un problème. Mais dès que la crise de l'euro a éclaté, l'attitude du "nous contre eux" a rapidement refait surface. Même si la crise n'a pas réduit l'UE en lambeaux, le problème de base - celui du ralliement - demeure.

3- La barrière des langues

Pourquoi la Banque centrale allemande et la Commission n'ont pas été mises au courant ces dix dernières années de l'ampleur des problèmes de la Grèce et du Portugal? Tout simplement parce que les experts dépendaient des gouvernements grec et portugais pour obtenir le moindre petit bout d'information à ce sujet. Ne pas parler les langues de ces pays signifiaient tout simplement ne pas lire les journaux locaux, ce qui aurait contribué à rendre la situation plus claire beaucoup plus rapidement.

4- La confiance

Les expériences menées jusqu'à présent donnent à réfléchir. Un exemple éloquent : les chiffres truqués qui ont servi de base pour décider de l'entrée de la Grèce dans la zone euro. Pire : actuellement il n'y a aucun comportement qui puisse justifier de faire davantage confiance à ses partenaires.

5- Contrôle

L’Allemagne, la France, l'Italie et l'Espagne - qui représentent les trois quarts de l'économie de la zone euro - ne sont pas les seuls fautifs. La crise actuelle a parfaitement démontré que même un pays comme la Grèce, qui ne représente que 2% du PIB de la zone euro, peut entrainer l'ensemble de l'Union dans sa chute. A l'exception de minuscules pays comme Malte, tous les pays de la zone euro peuvent potentiellement faire sauter le système entier. On parle souvent de la domination allemande, mais les maillons faibles du système peuvent eux aussi prendre leurs partenaires en otage.

6- La culture du déficit

L'Europe n'aurait pas nécessairement besoin de partager beaucoup de valeurs pour fonctionner comme une zone de libre-échange. Mais pour survivre, une union monétaire a besoin, au minimum, de partager des valeurs économiques et politiques. Certains gouvernements d'Europe du Nord ont sérieusement pensé que la naissance de l'euro allait apporter aux pays du sud de l'UE une culture de la stabilité à l'allemande. Mais il apparaît clair que la France, l'Italie, l'Espagne et la Grèce continuent de voir la BCE comme une opportunité. Pas forcément à tort, mais cela contredit la profonde conviction allemande, selon laquelle une banque centrale indépendante est la seule garantie contre les gouvernements qui accumulent leur dette et font marcher la planche à billets.  

7- A la recherche d'un esprit européen

 Les différences de mentalité entre les nations ne poseraient aucun problème s'il existait au sein des gouvernements et des institutions des personnes pour s'asseoir sur leur "pensée nationale". Or, il n'existe pas d'homme européen parmi les politiciens et les technocrates. Tous sont Belges, Hongrois, Espagnols, avant d'être Européen.

8- L'absence de nivellement

Lorsque la monnaie unique a été introduite, même les plus sceptiques pensaient que les différences de niveaux entre les membres de la zone euro allaient s'estomper. Le nivellement escompté n'a pas eu lieu. Et c'est d'autant plus problématique qu'il n'existe qu'un seul taux directeur pour les 17 pays qui utilisent la monnaie unique. Pour certains pays, il est trop élevé, pour d'autres, trop faible. Résultat : hausse du chômage, inflation galopante dans certains cas, bulles immobilière (en particulier en Espagne et en Irlande).

9-  Manque de mobilité 

 Dans une union monétaire, les gens doivent être mobiles, prêts à passer la frontière pour aller là où se trouvent les emplois. Avec le temps, les Européens sont de plus en plus mobiles, comme le montre l'augmentation du nombre de migrants espagnols vers l'Allemagne.  Mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.

10- Pas de réelle volonté d'appliquer les règles

Malgré toutes les difficultés, l'union monétaire pourrait fonctionner si les gouvernements exerçaient une pression les uns sur les autres. Mais les pères de l'union monétaire ont surestimé leur propre caste politique. Grèce, Italie, Allemagne : tous ont signé   le traité de Maastricht. Aucun des contrevenants aux règles édictées n'a été puni.

Lu sur Time

Source: Atlantico