15/09/2016
La présidente du Syndicat de la Magistrature refuse de donner la liste des fichés S aux maires (pour ne pas stigmatiser...)
La présidente du Syndicat de la Magistrature refuse de donner la liste des fichés S aux maires.
— Napoléon (@tprincedelamour) 14 septembre 2016
A ficher elle aussi! pic.twitter.com/LdM4J9w29M
PNF:
Raison invoquée par cette juge rouge: il ne faut pas stigmatiser ces terroristes en herbe...
En réalité, le pouvoir est totalement dépassé par la situation. Il y a en France plus de 10.000 fichés S pour radicalisme islamique (dixit Valls lui-même). Les français de souche n'accepteraient pas d'avoir un fiché S dans leur commune, et préféreraient se faire justice eux-mêmes plutôt que d'attendre le passage à l'acte de ces ennemis bien identifiés.
Pendant ce temps-là, l'immigration de masse, à l'origine du terrorisme et des attentats, continue de plus belle, et est même encouragée par le système LRPS au pouvoir (construction de centres d'accueil de migrants, envoi de bateaux de l'armée allant chercher les clandestins près des côtes libyennes, etc..).
La raison de l'inaction du pouvoir socialiste contre les fichés S est également politique. En effet, Hollande compte beaucoup sur le vote musulman (qui lui est très favorable) pour les élections de 2017. LRPS, ou le parti de la soumission à l'envahisseur musulman (cf. le livre de Houellebecq).
"Nous sommes en guerre" répètent à l'envi Hollande et Valls. Pourtant, ils ne prennent aucune mesure vigoureuse pour protéger la population française. En période de guerre, on doit prendre des mesures exceptionnelles, comme l'incarcération préventive de tous les islamistes fichés S.
Ainsi, durant la Seconde Guerre mondiale, les Américains sont allés beaucoup plus loin, et n'ont pas hésité en 1942, à incarcérer 110 000 civils ressortissants japonais et américains d'origine japonaise, des familles entières, dans des centres appelés « War Relocation Camps », à la suite de l'attaque de Pearl Harbor (source: Wikipédia).
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Commentaires
Un exemple flagrant de ce laxisme politico-judiciaire est illustré par le clan du converti Fabien CLAIN (alias Omar), qui convertit sa famille, puis son entourage, et radicalisa Mohamed MERAH, ami de l'Emir Blanc, syrien naturalisé français en 1983. Cette communauté d'Artigat suspectée de former et d'héberger des djihadistes, constamment surveillée.
Fabien CLAIN et sa bande sont partis en Syrie après les attentats parisiens, et il est devenu le porte-parole français de l'E.I. Malgré les demandes d'une des parties civiles au procès MERAH, de l'arrêter, et après un passage en prison, où il avait continué son prosélytisme, il a pu partir en Syrie sans être inquiété, avec toute sa famille.
Secrets d'Info sur France-Inter le samedi 17 septembre 2016, à 13h20.
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Écrit par : Coriolan | 17/09/2016
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