02/08/2016
Message de Renaud Camus, président du mouvement "Non au changement de peuple et de civilisation"
Chers Amis,
nous ne sommes plus qu’à dix mois de l’échéance décisive, celle après laquelle je pense, comme beaucoup d’entre vous, qu’il sera trop tard — trop tard pour une issue pacifique, en tout cas ; trop tard pour autre chose qu’un miracle, comme la résurrection de Lazare.
J’ai eu l’occasion de le dire bien souvent, et je le répète, l’élection présidentielle de 2017 sera en fait un référendum, atour de cette question simple :
« Acceptez-vous que la France cesse d’être la patrie du seul peuple français et de ceux qui s’y assimilent, ou l’ont déjà fait ? qu’elle devienne, en somme, un territoire partagé à égalité (dans un premier temps…) entre plusieurs peuples, plusieurs cultures, plusieurs civilisations, plusieurs façons d’habiter la terre, et de se comporter avec elle ? »
À cette question, tous les candidats, pour ainsi dire, et notamment tous les “grands”, tous ceux que la presse considère comme “sérieux”, répondent oui, peu ou prou : soit par conviction sincère, multiculturaliste et pluriethnique ; soit par lâcheté, soit par résignation, soit encore par opportunisme ou peur de perdre leur statut de candidat respectable, “sérieux”. Or c’est justement parce qu’ils sont “sérieux”, respectables, normaux, qu’ils sont incapables de voir et surtout de nommer l’énormité qui vient, qui est déjà là : la submersion migratoire, l’invasion, la conquête, la colonisation à l’envers, l’islamisation et maintenant le terreur. Leur manque d’imagination leur interdit d’apercevoir et surtout de désigner l’épouvantable réalité, le Grand Remplacement, le changement de peuple et de civilisation, avec toutes les violences et l’asservissement impliqués. Ils parlent de tout comme si de rien n’était. Leur discours est mort, mort, mort : il ne touche plus en rien à la réalité. Il est d’autant plus mort, d’autant plus vain, que tous les problèmes qui se posent, si graves soient-ils — sécurité, crise économique, chômage, logement, surpopulation carcérale, déséquilibre des comptes sociaux, etc. — n’ont aucune espèce de consistance s’ils ne sont pas envisagés à la lumière terrible de la substitution ethnique et de la conquête en cours. Ils n’ont aucune espèce de solution possible, non plus, en dehors de la perspective de la révolte indigène, la nôtre : de la décolonisation, du reflux, de la remigration des colonisateurs. Aucune paix, aucune tranquillité, aucun repos ne sont concevables avant la libération du territoire.
A la question référendaire inavouée de l’élection présidentielle de 2017, je suis le seul candidat à répondre et même à hurler NON, de toutes mes forces. Aidez-moi. Ce qu’il y a de plus horrible dans la catastrophe qui guette notre peuple et notre patrie, c’est qu’elle pourrait encore parfaitement et presque facilement être évitée. Il suffirait que les Français sortent de la torpeur où ils ont été plongés, qu’ils s’unissent, se rassemblent, expriment clairement leur refus : qu’il constituent une force suffisante pour qu’ils n’aient pas, peut-être, à s’en servir. Vous êtes membres du NON : recrutez en d’autres, parlez autour de vous de notre mouvement, faites-en parler. Forcez les élus qui peuvent me donner leur signature à se poser la question de leur responsabilité devant l’histoire. Jamais on n’a demandé à notre peuple s’il voulait de l’immigration de masse, encore moins de l’actuelle submersion migratoire ou de l’islamisation foudroyante. Obtenez de ceux qui le peuvent qu’ils permettent, au moins, que la question soit enfin posée, avant qu’il ne soit tout à fait trop tard.
Je sais que beaucoup d’entre vous ont jugé que nous ne nous manifestions pas assez. Nous n’étions ni assez nombreux, ni assez forts, ni assez riches, ni assez professionnels de la politique, sans doute, pour le faire de façon pleinement satisfaisante. Vous vous demandez ce que nous pouvons faire pour notre cause. Demandez-vous ce que vous pouvez faire pour notre mouvement. Offrez-nous des moyens, vos compétences, vos idées. Si vous trouvez qu’on ne vous répond pas assez vite et assez bien, adressez-vous directement à moi, Renaud Camus, 32340 Plieux, renaud.camus@wanadoo.fr. Vos cotisations et dons ont payé et paient notre campagne électorale aux dernières élections régionales, mes voyages, mes prises de parole ici et là, nos auto-collants, demain nos affiches peut-être, la diffusion de mon programme présidentiel. Nous avons besoin de gestionnaires, d’organisateurs, de stratèges, de comptables, de gestionnaires de site, de chargés de relations publiques, de démarcheurs d’élus, de conseillers politiques (même si le drame actuel est bien plus que “politique”). Soutenez-nous, soutenez-moi, unissons-nous, révoltez-vous, faisons-nous entendre, devenons une force inévitable,
Renaud Camus
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