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09/05/2015

Harcèlement de rue : « Dans 95% des cas des Maghrébins »

Envoyé Spécial (21 mars 2013):

Harcèlement de rue. Une journaliste a filmé ses déplacements dans les rues et les transports parisiens. Elle a enregistré des agressions verbales et sexuelles.

 

"J’ai fait ce reportage car au moment de la diffusion du reportage de Sophie Peeters, on a dit que ça n’existait pas en France."

"Pour les harceleurs de rues, les hommes qui m’abordaient étaient surtout jeunes, majoritairement d’origine étrangère. J’ai ressenti beaucoup de frustration."


10 août 2012

Réaction de Robert Ménard sur son blog : « Dans le camp des Dupont Lajoie »

Revenons sur la polémique autour du documentaire « Harcèlement de rue », tourné en caméra cachée par une jeune étudiante en cinéma belge, Sofie Peeters. Parcourant les rues d’Annessens, un quartier « populaire » de Bruxelles, elle nous montre dans toute leur crudité les « réflexions sexistes et indécentes des hommes croisés dans la rue ». Du « jolies fesses », « bonne à baiser », « l’hôtel, le lit, tu connais : direct » jusqu’aux « chienne », « pute », « salope » : tout y est, et surtout le plus sordide. Une dénonciation salutaire du « machisme ordinaire » selon les féministes.

Et elles ont raison. A ceci près que « le quartier pudiquement qualifié de “populaire” est peuplé d’une large majorité d’immigrés nord-africains. Mais le dire, parait-il, serait raciste. De même qu’il est raciste, en France, d’observer que, dans les cités à forte concentration immigrée, la condition des femmes a plutôt tendance à régresser » explique, avec une saine insolence, Elisabeth Lévy sur le site de Causeur. Et d’ajouter :

 « Face à cette réalité déplaisante, la première ligne de défense consiste à faire comme si on n’avait rien vu. Machisme ordinaire, vous dis-je. Vient ensuite l’éternelle explication sociologique – employée par la réalisatrice, terrifiée à l’idée de se retrouver dans le camp des Dupont Lajoie : s’ils se comportent ainsi, c’est parce qu’ils sont victimes de l’exclusion, du racisme et du chômage. » [...]

Robert Ménard

via Fdesouche.com

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