12/11/2013
NON au Changement de Peuple et de Civilisation: signez la pétition
Le NON, mouvement pour le NON au Changement de Peuple et de Civilisation (NCPC), appelle tous les Français attachés à leur peuple, au territoire de leur patrie et à leur civilisation millénaire — naguère encore une des plus hautes, des plus brillantes, des plus admirées et des plus aimées que la terre ait portées — à manifester, en apposant leur signature au bas de cette pétition, leur refus de la substitution démographique en cours et de la transmutation culturelle qu’elle implique fatalement.
C’est manifester une conception bien basse de l’homme, en effet, et bien avilissante des peuples, que de croire, ou de prétendre, qu’avec d’autres hommes, d’autres femmes, d’autres peuples ayant leurs propres traditions, leurs propres mœurs, leur propre type de rapports à la citoyenneté et à l’art de voisiner, souvent leurs propres ambitions géopolitiques ou religieuses, on pourra continuer à habiter la même histoire, à vivre au sein de la même civilisation, à avoir une France et des Français qui le soient autrement que de nom. Les seuls à propager cette légende sont ceux qui ont besoin, pour leurs intérêts financiers, leurs calculs électoraux ou leur volonté de conquête, d’individus remplaçables à merci, délocalisables à volonté, interchangeables, déracinés, déculturés, déshumanisés. Les promoteurs de cet homme remplaçable, nous, au NON, nous les appelons les remplacistes et nous nommons Grand Remplacement le crime qu’ils commettent sous nos yeux.
En signant cette pétition vous appelez à l’arrêt presque total de l’immigration légale et illégale, à la fin des régularisations de clandestins, à la réduction draconienne du nombre des naturalisations. La France a toujours intégré des individus, elle ne peut pas intégrer des peuples. Et dans l’état de crise culturelle où la plonge l’effondrement de son système de transmission, de crise morale où la maintient une idéologie mortifère de haine de soi et de repentance perpétuelle, de crise économique où la jette son inadaptation au contexte écologique, industriel et commercial global, elle n'a plus guère de capacité d'intégration, sauf exceptions, notamment pour services rendus.
En ajoutant votre nom à ce manifeste pour un grand refus, vous marquez votre conviction que le Grand Remplacement est le choc le plus grave qu’ait connu notre patrie depuis le début de son histoire puisque, si le changement de peuple et de civilisation, déjà tellement avancé, est mené jusqu'à son terme, l’histoire qui continuera peut-être ne sera plus la sienne, ni la nôtre. Vous signifiez votre certitude que la plupart des autres crises auxquelles nous sommes soumis — crise du logement, crise du travail, crise des comptes publics, crise de la sécurité surtout, crise pénitentiaire bien sûr, etc., ne sont, à des degrés divers, que des contrecoups de cette crise-là, la crise identitaire, la crise nationale, la crise du sens des mots : France, Français, peuple, populaire, quartiers populaires, quartiers, jeunes, cités, incivilités, autant de vocables du double langage, du mensonge quotidien qui sert à dissimuler, depuis quarante ans, la réalité simple, à savoir qu’il y avait dans ce pays un peuple dont c’était la patrie et qu’il y en a désormais plusieurs dont ce n’est souvent que la chose, pour ne pas dire la conquête.
De même qu’on nous a volé nos mots en en changeant le sens on nous a volé notre regard en essayant de nous convaincre que nous ne voyons pas ce que nous voyons, que nous ne souffrons pas ce que nous souffrons, que ce qui nous semble l'évidence est une illusion d’optique, que la France a toujours été une terre d’immigration, qu’il y a de moins en moins d’étrangers, que nous sommes de plus en plus cultivés, qu’à l’école le niveau monte, que l’insécurité n’est qu'une impression, un sentiment, comme à présent la température. Une caste médiatico-politique — appuyée sur une sociologie qui n’a rien vu de ce qui survenait et qui ne s'emploie, sur le mode dénégationniste, qu’à le nier jusqu'à ce qu’elle soit obligée de l'admettre piteusement vingt ans après tout le monde, quand elle croit enfin pouvoir proclamer que personne ne peut plus rien y faire — nous informe tous les jours de ce que nous devons croire, et que démentent tous nos regards, toutes nos réflexions, toute notre tristesse et notre colère de voir notre pays mourir si bêtement.
Il faut entrer en résistance. Il faut se rendre assez forts pour changer les lois, dénoncer les traités, soustraire officiellement la France à des conventions qui la livrent pieds et poings liés, de même que tous les pays d'Europe, à la substitution démographique et au changement de civilisation. Révision du droit d’asile, fermeture des frontières, défense du territoire, retour à une conception de la France et de l’Europe comme des puissances et non plus comme un droit de l’homme : voilà ce que vous réclamez en vous nommant au bas de ce document. Votre geste, vous pouvez le prolonger en adhérant au NON, qui est l’instrument politique de votre refus.
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