Agression sauvage à Rennes: des "anti-fascistes" ultra-violents protégés par la "justice"?

 

Dans la nuit de mercredi à jeudi, deux individus qui étaient dans la boîte de nuit « le Pyms » située en centre-ville de Rennes ont été pris à partie par un autre groupe d’individus se revendiquant « antifasciste ».
À l’intérieur de la boîte de nuit, un des « antifas » aurait identifié un jeune homme comme étant un « nationaliste » et lui aurait immédiatement asséné un coup de tête en plein visage, avant que les coups ne pleuvent sur le jeune homme. La sécurité du Pyms est arrivée seulement après, séparant les deux groupes et raccompagnant les deux individus « pour leur sécurité », via une sortie de secours.
Mais une fois dehors, le même scénario se reproduit, avec le groupe d’« antifascistes » qui sort également de la boîte de nuit, et qui rattrape les deux hommes. S’en suit une nouvelle bagarre où les deux hommes se retrouvent lynchés par terre. L’intervention du service de sécurité du Pyms, à coups de gaz lacrymogènes, fera fuir tout le monde.
Des plaintes ont été déposées ce jeudi par les deux hommes agressés et choqués, notamment à l’encontre de l’auteur du violent coup de tête, identifié par les victimes et par les caméras de surveillance présentes dans la boîte de nuit.

De sources policières, la magistrature rennaise ferait jusqu’à présent en sorte que les milieux « d’extrême gauche » ne soient pas ou peu inquiétés sur Rennes, malgré de nombreuses plaintes et faits avérés et constatés. Néanmoins, le spectre d’une nouvelle affaire « Clément Méric » dans un sens ou dans l’autre pourrait bien réveiller une police et une justice qui, avec ou sans parti pris idéologique en faveur d’un des deux camps, ne souhaitent pas avoir ce genre d’affaire douloureuse et nuisible sur les bras.

Breizh Info

via Fdesouche.com