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18/02/2013

Milan : Mamadou frappe les femmes qui ne veulent pas acheter ses livres

MILAN (NOVOpress) – Qui osera dire encore que les immigrés ne contribuent pas à la culture italienne ? Mamadou, Sénégalais de 31 ans, vend des livres dans les rues de Milan. Il s’adresse de préférence aux femmes – qui lisent plus que les hommes, c’est bien connu. Et sa passion pour la littérature est si ardente que, quand des béotiennes refusent d’acheter ses livres, il leur tape dessus.

Lundi 17 décembre, via Meravigli, non loin du château des Sforza, Mamadou a abordé une femme de 63 ans et lui a proposé avec insistance diverses publications. La femme s’étant obstinée à refuser, Mamadou lui a donné un coup de poing au visage. La police est intervenue. Mamadou, qui était déjà connu pour plusieurs affaires du même genre, a été laissé en liberté.

Trois semaines plus tard, le 9 janvier, toujours dans le centre de Milan, via Solferino, Mamadou a récidivé sur une femme italienne de 39 ans, Stefania. Après avoir vainement insisté pour qu’elle lui achète un livre, il lui a donné une gifle : « agression, écrit le journal local, pas particulièrement violente ». La victime a pu alerter la police, qui a à nouveau remis Mamadou en liberté.

Le dernier épisode a eu lieu jeudi , via Fiori Chiari, à côté du musée de Brera. Manifestement désespéré par le manque d’ouverture culturelle chez les Italiens de souche, Mamadou, cette fois, n’a même pas essayé de vendre ses livres. Il s’est jeté sur une femme de 43 ans et l’a frappée sans préambule.

Une voiture de police l’a embarqué et, après qu’il eut donné quelques coups aux agents, l’a conduit à la préfecture de police. Là, on s’apprêtait à le placer en détention pour résistance à agent de la force publique, quand les policiers ont découvert dans ses poches un billet d’avion (aller simple) pour Dakar.

Mamadou a donc été remis en liberté pour la énième fois, « dans l’espoir qu’il abandonne le commerce des livres à Milan pour pas mal de temps ».

Et voilà comment sont récompensés les efforts d’un immigré pour remédier à la crise de la lecture et relancer la librairie indépendante ! Étonnez-vous, après cela, que tant d’autres préfèrent vendre de la drogue ou des faux sacs Vuitton.

Novopress

via Fdesouche.com

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