10/02/2014
Référendum sur l'immigration en France: la pétition circule
Ils l'ont fait et ne le regrettent pas...
Marc, 23 ans : "l'immigration coûte cher à la France : plus de 36 milliards d'euros par an !" Julie, 24 ans : "moins d'immigration, c'est plus de logements pour les Français" Thierry, 25 ans : "on n'a jamais demandé aux Français leur avis, c'est le moment ou jamais de le faire" Marie, 23 ans : "je ne supporte plus de me faire traiter de "pute" par des jeunes d'origine immigrée. L'immigration, ça commence à bien faire !"
Germaine, 74 ans : "Je souhaite un référendum sur l'immigration car j'aimerais que mes petits enfants vivent en sécurité et dans un pays fidèle à son identité et à ses racines..."
Pour signer la pétition, RDV sur le site de Stop l'immigration.
22:51 | Lien permanent | Commentaires (2) | 
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Commentaires
Un référendum sur ce sujet comme sur l'Europe serait très efficace pour un changement radical. Mais nos gouvernants le souhaitent-ils? cela n'est pas sur.
De toute façon, le ver est dans le fruit et compte tenu de leur démographie galopante, c'est me semble t-il trop tard sauf avec des décisions qui à l'heure actuelle paraissent impossible à appliquer.
Écrit par : bousquet | 02/01/2011
Cela dit, même si la situation est compromise, il ne faut pas désespérer. A l'époque de l'Algérie française, la situation semblait insoluble. Aujourd'hui, plus personne ne songerait à recoloniser cette terre hostile... La seule solution d'avenir pour notre pays est que tous les immigrés d'origine africaine, qu'ils aient ou non la nationalité française, rentrent chez eux. Ce serait d'ailleurs une formidable mesure de développement du continent africain. Il faut arrêter de parler d'immigration mais utiliser le terme de colonisation.
Le retour des immigrés chez eux n'est pas irréalisable. Il faut pour cela un référendum et un changement de la Constitution. C'est possible à mettre en place légalement. La nation française a le droit de décider de son avenir, non?
"Toute vérité franchit trois étapes. - D'abord, elle est ridiculisée. - Ensuite, elle subit une forte opposition. - Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence. "
Arthur Schopenhauer
Écrit par : Francis | 04/01/2011
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