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23/11/2015

Dessin du jour (en anglais)

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"Décapitez ceux qui insultent l'islam"

"Religion de paix"

Boris Le Lay: "L'islam est incompatible avec notre civilisation"

"Il faut rétablir la peine de mort"

Vidéo publiée le 14 novembre 2015.

 

L'image du jour: La Seyne (83)

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22/11/2015

Philippe de Villiers réagit aux attentats

via Fdesouche.com

Turquie : arrestation de huit faux réfugiés membres présumés de Daesh en route vers l’Allemagne

Ils devaient se faire passer pour des réfugiés. La police turque a arrêté mardi à l’aéroport d’Istanbul huit Marocains présentés comme des militants du groupe Etat islamique (EI) qui, selon les autorités, voulaient se rendre illégalement en Allemagne, a rapporté l’agence de presse progouvernementale Anatolie.

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« L’Arabie saoudite, un Daesh qui a réussi »

Extraits d’un article de Kamal Daoud, chroniqueur au Quotidien d’Oran, dans le New-York Times.

Daesh noir, Daesh blanc. Le premier égorge, tue, lapide, coupe les mains, détruit le patrimoine de l’humanité, et déteste l’archéologie, la femme et l’étranger non musulman. Le second est mieux habillé et plus propre, mais il fait la même chose. L’Etat islamique et l’Arabie saoudite. Dans sa lutte contre le terrorisme, l’Occident mène la guerre contre l’un tout en serrant la main de l’autre. Mécanique du déni, et de son prix. On veut sauver la fameuse alliance stratégique avec l’Arabie saoudite tout en oubliant que ce royaume repose sur une autre alliance, avec un clergé religieux qui produit, rend légitime, répand, prêche et défend le wahhabisme, islamisme ultra-puritain dont se nourrit Daesh.

Le wahhabisme, radicalisme messianique né au 18ème siècle, a l’idée de restaurer un califat fantasmé autour d’un désert, un livre sacré et deux lieux saints, la Mecque et Médine. C’est un puritanisme né dans le massacre et le sang, qui se traduit aujourd’hui par un lien surréaliste à la femme, une interdiction pour les non-musulmans d’entrer dans le territoire sacré, une loi religieuse rigoriste, et puis aussi un rapport maladif à l’image et à la représentation et donc l’art, ainsi que le corps, la nudité et la liberté. L’Arabie saoudite est un Daesh qui a réussi.

Le déni de l’Occident face à ce pays est frappant: on salue cette théocratie comme un allié et on fait mine de ne pas voir qu’elle est le principal mécène idéologique de la culture islamiste. Les nouvelles générations extrémistes du monde dit « arabe » ne sont pas nées djihadistes. Elles ont été biberonnées par la Fatwa Valley, espèce de Vatican islamiste avec une vaste industrie produisant théologiens, lois religieuses, livres et politiques éditoriales et médiatiques agressives.

[...]

Il faut vivre dans le monde musulman pour comprendre l’immense pouvoir de transformation des chaines TV religieuses sur la société par le biais de ses maillons faibles : les ménages, les femmes, les milieux ruraux. La culture islamiste est aujourd’hui généralisée dans beaucoup de pays — Algérie, Maroc, Tunisie, Libye, Egypte, Mali, Mauritanie. On y retrouve des milliers de journaux et des chaines de télévision islamistes (comme Echourouk et Iqra), ainsi que des clergés qui imposent leur vision unique du monde, de la tradition et des vêtements à la fois dans l’espace public, sur les textes de lois et sur les rites d’une société qu’ils considèrent comme contaminée.

Il faut lire certains journaux islamistes et leurs réactions aux attaques de Paris. On y parle de l’Occident comme site de « pays impies »; les attentats sont la conséquence d’attaques contre l’Islam ; les musulmans et les arabes sont devenus les ennemis des laïcs et des juifs. [...]

Daesh a une mère : l’invasion de l’Irak. Mais il a aussi un père : l’Arabie saoudite et son industrie idéologique. Si l’intervention occidentale a donné des raisons aux désespérés dans le monde arabe, le royaume saoudien leur a donné croyances et convictions. Si on ne comprend pas cela, on perd la guerre même si on gagne des batailles. On tuera des djihadistes mais ils renaîtront dans de prochaines générations, et nourris des mêmes livres.

 

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via Fdesouche.com

21/11/2015

Tract du jour

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Dessin du jour

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Tranche de vie : bagarre à Saint-Denis

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via Fdesouche.com

Après les attentats: « Face à l’indifférence de mes élèves, j’ai bloqué »

(…) Mardi matin, en arrivant dans mon lycée de la banlieue parisienne, situé en zone d’éducation prioritaire, j’étais dans le même état d’anxiété que le jour de la rentrée. En montant les escaliers et en apercevant les premiers élèves de ma classe de Première, j’entendais mon coeur battre à tout rompre. Des dizaines de fois depuis samedi, je m’étais imaginée ce moment. Je pensais alors que mes élèves seraient aussi bouleversés que moi. Contrairement au mois de janvier, les meurtriers avaient tiré aveuglément, sans considération de profession, de religion et de convictions. J’attendais donc qu’une forme de communion se produise.

« Pourquoi être choqué? »
« Je ne me vois pas reprendre le cours où je l’ai laissé sans que l’on partage ensemble un moment de discussion après ce qu’il s’est passé vendredi soir », leur lançai-je, la voix mal assurée, en guise d’introduction. « Nous sommes tous bouleversés, traumatisés, j’aimerais vous entendre, vous devez vous poser des questions. » Les premières réactions, comme un poignard: « À quoi ça sert d’en parler? Ce qui est fait est fait », « C’est tabou non? », « Vous avez l’air ému, c’est gênant. » Quelques ricanements dispersés suivirent dans la classe. À ce moment-là, le dispositif s’inversa: je n’étais plus leur enseignante inaccessible, perchée sur son estrade, j’étais celle qui avait été touchée, dans son quartier.

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Manifestement, mes élèves n’avaient pas envie de parler. Lorsqu’ils prenaient la parole, c’était pour mettre en avant ce qu’ils savaient, ce qu’ils avaient entendu dire sur l’utilisation d’armes françaises en Syrie, sur Abou Bakr al-Baghdadi, ancien prisonnier de l’armée américaine qui entre en résistance. La discussion était un prétexte pour ceux qui avaient entendu une théorie originale ou un détail un peu étonnant. Ils avaient la possibilité de prouver à leurs camarades qu’ils en savaient plus. Et enfin cette question: « Pourquoi est-ce qu’on est choqué par ce qu’il se passe en France, alors qu’il se passe des choses bien pires ailleurs? » Je n’ai pas su répondre à cette question, je séchai, je balbutiai: « Tu as raison, c’est injuste, mais là, c’est nous, c’est toi, c’est moi. » Je me sentais incapable de rebondir sur la dimension symbolique des attentats.

(…) L’Express

via Fdesouche.com