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07/12/2016

Vivre ensemble à Sevran (93) : les femmes interdites d'aller au bar

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Alexandre Devecchio : "De la génération Dieudonné à la génération Zemmour !"

 

Alexandre Devecchio, 29 ans, est une des figures montantes du Figaro et de l’espace de débat sur lefigaro.fr. Il vient de publier un ouvrage atypique “Les nouveau enfants du siècle” en référence à Alfred de Musset et sa “Confession d’un enfant du siècle”. En sa qualité de reporter, il a enquêté et dressé un “état des lieux” de la génération française née depuis 1989. Son constat est sans appel : le jeunesse française est segmentée et antagoniste. Elle est éclatée en familles opposées : djihadistes, identitaires, réacs… qui forment tout autant de fractures ethniques, religieuses, culturelles et sociales. Alexandre Devecchio regroupe la jeunesse en 3 groupes distincts : la génération Coran qui recherche une identité de substitution dans l’Islam radical, la génération Zemmour qui veut préserver l’identité nationale et la génération Michéa qui se bat pour les valeurs et que l’on a retrouvé au coeur de La Manif pour tous. Pour l’auteur, toutes ces “tribus” ont un point commun : la détestation des acquis de Mai 68 : le libéralisme culturel, le relativisme et la mondialisation.

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Le YouTuber patriote Daniel Conversano agressé physiquement par l'essayiste Alain Soral

Écologie et énergie de demain : discours de Marine Le Pen

 

Reportage sur la convention thématique du FN « L'énergie et l'écologie de demain »

 

Intégration, islam, beurs, excuses bidons : en 1990 déjà, ça ne marchait pas

Antenne 2 – 16 juil. 1990

 

 

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Le tweet du jour

Être blanc dans un train de banlieue

Dans le train entre Paris et Mantes-la-Jolie, il ne fait pas bon être un « sale Blanc »

Je suis un client fidèle, et surtout captif, de la SNCF. Mais vu ses performances parfaitement médiocres, je la quitterais volontiers pour un car – Macron. À Évreux où je réside, il n’y en a pas : ce n’est pas une grande ville. Le train reste ainsi, et pour moi, un moyen de transport obligé. Je fais donc des Évreux-Paris et des Paris- Évreux comme on va à l’abattoir.

J’exagère un peu. Mon chemin de croix ne concerne que les TER qui, avant d’arriver à Évreux, marquent un arrêt à Mantes-la-Jolie. Les Intercités, eux, filent direct jusqu’à Évreux : voyage paisible garanti.

Je privilégie évidemment ces trains-là. Mais en fonction de mon agenda, je suis parfois contraint d’emprunter un TER.

Et là, jusqu’à Mantes-la-Jolie, la découverte, pour ne pas dire l’aventure, est au rendez-vous. Des mots comme « vivre ensemble » prennent corps. L’expression « mixité sociale » (oui, on doit dire « sociale » !) se fait chair. Au pittoresque de la population voyageuse, il faut ajouter un argument non négligeable. Il n’est pas nécessaire sur ce trajet d’acheter son billet. En effet, les contrôleurs ne se montrent presque pas. Ils n’ont pas envie de se faire insulter et de se faire démonter la gueule…

Il y a un mois, pendant un trajet Paris-Mantes-la-Jolie, j’ai été violemment bousculé. J’ai protesté. On m’a rétorqué : « Ta gueule, sale Blanc ! ». Ils étaient quatre. Soutenus silencieusement par la majorité du wagon, et j’étais seul.

Atlantico

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