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25/09/2016

Le patron de Sud Radio “clashe” le CSA, Weill et Drahi ! (Zoom - TV Libertés)

Didier Maïsto est le président de Sud Radio et de Lyon Capitale, organes de presse établis au sein du puissant groupe Fiducial Medias. Le 18 octobre 2011, il dépose devant le CSA, présidé par Michel Boyon, un dossier de candidature solide et financé pour obtenir un canal de la TNT.
Malgré de belles promesses, Didier Maïsto apprend rapidement qu’il participe à une farce : avant même le jour de clôture officielle des dépôts, on connaît déjà la liste des heureux gagnants. Les jeux sont faits ! Le projet du groupe Fiducial est rejeté au profit de chaînes vides et financièrement fragiles.
Didier Maïsto découvre un monde aux escroqueries sophistiquées, où de hautes autorités indépendantes sont en fait liées au pouvoir politique, où la télévision française est entre no man’s land et mafia d’Etat. En but à de nombreuses attaques jusqu’aux pages du Figaro, le président de Sud Radio a accepté de venir s’exprimer sur TV Libertés.
Didier Maïsto dirige une radio “classique” dont les codes conventionnels sont éloignés de TV Libertés. Cependant, c’est avec force, courage et même un certain panache qu’il s’attaque aux puissants et qu’il dénonce, à travers la TNT, un véritable scandale d’Etat.

TV Libertés

Préférence étrangère: « La vie de château pour les clandos, le caniveau pour les clodos ».

Communiqué de presse de Dominique Bilde, Secrétaire Départementale du FN54, Député française au Parlement Européen

Le gouvernement se dévoue pour accomplir les missions que lui afixées Terra Nova, notamment submerger la France de « migrants ». En réalité, ces « migrants » présentés comme étant des « réfugiés » sont pour la plupart, des clandestins qui n’ont rien à faire en France et devraient repartir en charters chez eux. Afin de démanteler la jungle de Calais, Bernard Cazeneuve a prévu de délocaliser les 12.000 migrants dans les régions françaises « en concertation avec les élus locaux ». Seule exception : la Corse, trop indocile.

Notre département de Meurthe-et-Moselle, plus légaliste, devrait malheureusement hériter de son lot de « migrants ». Son président, le socialiste Mathieu Klein estime qu’il est « inimaginable de fermer la porte ». Aussi désireux de plaire à ses supérieurs hiérarchiques que connu pour son amour immodéré de l’immigration massive,monsieur Klein veut construire des jungles de Calais miniatures dans toute la Meurthe-et-Moselle. En 2015, il appelait déjà à la générosité des familles du département, les enjoignant à loger les « mineurs étrangers » qui ne pouvaient pas être accueillis dans des centres dédiés faute de place (sic, nombre d’entre eux sont des majeurs munis de faux papiers ou qui se sont débarrassés volontairement de leurs vrais papiers).

Comprenez que les centres devront pouvoir recevoir au moins 100 personnes. Ce qui signifie que pour un village de 1.000 habitants, un centre pour « migrants » constituera au minimum 10 % de sa population ! Parmi ces 100 « migrants », une proportion non négligeable de personnalités asociales, dangereuses, aux lourds passés de violences ou islamistes. Pendant ce temps, les SDF français sont négligés. En somme, l’Etat nous dit : « La vie de château pour les clandos, le caniveau pour les clodos ».

Au Front National, nous n’acceptons pas cela. Nous refusons de nous faire les complices de la submersion de nos campagnes par une immigration devenue impossible à intégrer, encore moins à assimiler. Je rejoins l’initiative de Steeve Briois et demande aux maires de Meurthe-et-Moselle de montrer un peu de courage en signant la charte « Ma Commune sans migrants ».

Front National