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24/05/2015

Dessin du jour

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Chard

Invasion migratoire: mardi 26 mai à Bruxelles, levez-vous!

Le Mouvement pour la Remigration appelle les citoyens attachés à l’Etat de Droit et à la démocratie, excédés par l’anarchie migratoire et l’inaction des pouvoirs publics, à perturber par leur présence et leurs pancartes STOP INVASION, l’incroyable manifestation de soutien aux clandestins du mardi 26 mai devant le Parlement Européen à Bruxelles, devant la porte Simone Veil à 13H00.

Mot d’ordre : STOP INVASION !

Remigration.me

 

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Collège : une réforme qui fait presque l'unanimité contre elle (Hérodote.net)

À la différence de leurs homologues britanniques, les partis français évitent les débats sur la pertinence de la monnaie unique, les orientations de la construction européenne, la prévalence du néolibéralisme financier ou encore l'immigration.

Le gouvernement et l'opposition partagent les mêmes choix (ou plutôt non-choix) sur ces questions de fond mais trouvent encore l'occasion de s'affronter sur des questions sociétales. Après le « mariage pour tous », voici donc la réforme du collège et l'Histoire...

Herodote.net, principal média d'Histoire sur internet, ne pouvait rester à l'écart de ces débats qui ont jeté dans la rue les enseignants le 19 mai et conduit d'éminents intellectuels de gauche à rallier leurs homologues de droite dans la dénonciation des projets gouvernementaux.

Nous avons essayé d'en cerner les contours et les enjeux.

Soulignons d'abord que nous avons affaire à deux débats simultanés mais tout à fait distincts qui traversent la gauche et la droite : une réforme de l'enseignement au collège et une réécriture des programmes d'Histoire au collège. Nous les traiterons donc séparément.

Quid de la « réforme » du collège ?

Chacun en France fait le constat d'une crise majeure de l'Éducation nationale avec aujourd'hui un quart des enfants qui, à l'issue du collège, ne maîtrisent pas plus la langue française que le calcul, matières essentielles à la socialisation et la professionnalisation.

Cette crise s'amplifie depuis deux décennies, en lien avec l'immigration mais aussi avec un système éducatif qui a renoncé aux deux objectifs de toute démocratie qui se respecte : tirer vers le haut les enfants les plus doués ; assurer à tous les autres des bases solides qui leur permettent de s'intégrer dans la vie active et leur laisse la faculté de progresser ensuite par leurs propres moyens s'ils le souhaitent.

Si les classes dirigeantes, indépendamment de leurs options politiques, acceptent cet état de fait, c'est qu'elles y trouvent leur compte car leurs propres enfants bénéficient d'une voie royale vers les formations les plus qualifiantes (X, ENS, écoles d'ingénieurs), sans avoir à souffrir de la concurrence des enfants plus intelligents issus des classes populaires et bien sûr des populations immigrées.

Si les syndicats d'enseignants sont vent debout contre toute velléité de réforme, c'est qu'ils veulent conserver leur mainmise sur la gestion de carrière des enseignants, une ineptie sans équivalent ailleurs qui déresponsabilise les chefs d'établissement. Imagine-t-on une entreprise dont le patron se verrait imposer par l'extérieur ses subordonnés et ses collaborateurs ?... Au contraire de la France, les pays dont on vante la qualité éducative, à commencer par la Finlande, ont pour caractéristique de laisser aux chefs d'établissement le libre choix de leur équipe enseignante.

Tout acquis syndical devient très vite irréversible. C'est l'« effet cliquet ». Difficile de progresser dans ces conditions. On l'a vu avec la suppression par le président Sarkozy d'une demi-journée hebdomadaire et l'instauration de la semaine de quatre jours dans les écoles. Quand le président Hollande a voulu revenir sur cette disposition quelque peu démagogique, il n'a pas osé reprendre aux enseignants cette demi-journée de repos supplémentaire et il a donc demandé aux maires de l'occuper en mettant en place à leurs frais des activités périscolaires avec des vacataires ou des employés communaux !

Avec des moyens financiers à la baisse qui suivent les injonctions des comptables de Bruxelles et Francfort, le gouvernement en est réduit à bricoler des réformettes.

C'est le cas aujourd'hui, dans les collèges, avec :
- la suppression des « classe bi-langues », destinées à accueillir les élèves assez doués pour apprendre deux langues étrangères dès la 6e,
- la suppression des enseignements du latin et du grec
- et surtout l'introduction d'« enseignements pratiques interdisciplinaires » laissés à la discrétion des chefs d'établissement, dont la première conséquence sera de réduire un peu plus les horaires réservés aux enseignements fondamentaux (français, mathématiques, sciences, histoire-géographie, anglais...).

Le gouvernement a de la sorte réalisé l'exploit de liguer contre lui à la fois l'extrême gauche, les syndicats d'enseignants et l'opposition de droite. En effet :
- d'un côté, il supprime les classes « bi-langues » et restreint l'enseignement des langues anciennes au nom de l'« égalitarisme »,
- de l'autre, il donne aux responsables d'établissement un brin d'autonomie avec la libre gestion d'un cinquième des horaires, au risque de creuser le fossé entre collèges des beaux quartiers et collèges des quartiers ethniques, les premiers privilégiant les enseignements d'éveil, les seconds s'en tenant à des formations de rattrapage.

Joseph Savès
 

Roubaix : Un cheikh saoudien interdit d’entrée en France vient pour la troisième fois dans une mosquée de Roubaix

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Le 8 mai, la mosquée Abou Bakr, dans le quartier du Pile à Roubaix, a accueilli pour la troisième fois en deux ans le cheikh Mohammed Ramzan al-Hajiri. Celui-ci n’est pourtant, en théorie, pas autorisé à pénétrer sur le territoire français.

C’est une note, adressée au directeur général de la police nationale, tombée entre les mains du Canard enchaîné. Elle est quelque peu embarrassante pour les services de renseignement. Elle signale que le cheikh saoudien Mohammed Ramzan al-Hajiri est présent à Roubaix. Or, il n’a en théorie pas le droit de pénétrer sur le sol français. Interdit de séjour jusqu’en 2050, précise le Canard dans son numéro paru ce mercredi.

Pour être précis, le prédicateur salafi n’est pas sous le coup d’une mesure judiciaire. Il fait l’objet d’une fiche « TE » d’opposition à son entrée sur le territoire, délivrée par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) car il serait un « individu susceptible de troubler l’ordre public en raison de ses prêches islamistes radicaux ». Tous les pays de l’espace Schengen en sont informés et ne doivent pas lui laisser franchir leur frontière…

Le ressortissant saoudien jugé indésirable par la DGSI a donc passé le week-end prolongé du 8 Mai dans la mosquée Abou Bakr Essedik, dans le quartier du Pile à Roubaix. Comme en août 2013 et en avril 2014.

Farid Gacem, responsable de la mosquée, ne voit pas le problème : « Aucun élément, recommandation ou document officiel n’atteste cette interdiction de séjour », dit-il.

Le séminaire, qui a accueilli environ 1 500 personnes, n’était pas caché – « Nous avons bien sûr prévenu les autorités », précise Farid Gacem – et la présence de Ramzan al-Hajiri absolument pas secrète – son nom était inscrit en grand et en toutes lettres sur les tracts.

Source : lavoixdunord.fr

via fninfos.fr

Marine Le Pen sur le Programme européen en matière de migrations

Front National

Le double jeu de l'UMP en matière d'immigration

Communiqué de Gilles Lebreton, Député français au Parlement européen

Le débat sur l’immigration qui a eu lieu mercredi 20 mai au Parlement de Strasbourg s’est révélé riche d’enseignements. L’UMP y a en effet défendu des points de vue très différents de la posture martiale affichée en France par Nicolas Sarkozy.

Brice Hortefeux a avoué que la France accueille 300 000 migrants par an. N’était-il pas ministre de l’Intérieur ? Qu’a-t-il fait pour l’empêcher ? Arnaud Danjean, de l’UMP lui aussi, a avoué pour sa part qu’il ne croyait pas dans la solution (pourtant envisageable) qui consisterait à détruire les bateaux des passeurs avant qu’ils prennent la mer. Il a déclaré avec défaitisme que « quand on s’attaque au problème sur les rives de la Méditerranée, c’est qu’il est déjà trop tard ».

Mme Corazza Bildt, du PPE (auquel appartient l’UMP), a carrément tiré les conséquences de ce défaitisme en soutenant la proposition de Jean-Claude Juncker de répartir entre les pays de l’UE les migrants qui arrivent en Italie et en Grèce.

L’UMP n’a donc pas réellement l’intention de lutter efficacement contre l’immigration. Là comme dans beaucoup d’autres domaines, elle ne peut plus rien faire parce qu’elle a vendu son âme gaulliste à sa chère UE. Son changement de nom n’y changera rien, mais il aura au moins le mérite de clarifier les choses en renonçant à toute référence au peuple ou à un rassemblement national.

Front National

 

Immigration : Génération Identitaire occupe le siège de la Commission européenne à Paris

Communiqué de Génération Identitaire : L’émigration tue l’Afrique, l’immigration tue l’Europe !

Alors que l’Europe est confrontée à un afflux sans précédents d’immigrés clandestins en provenance du continent africain, les jeunes identitaires tiennent à dénoncer la politique menée par la Commission Européenne ainsi que par les gouvernements des états membres de l’Union Européenne.

La passivité dans la lutte contre l’immigration clandestine, l’accueil systématique des bateaux de clandestins, la folle politique des quotas par pays, ne font que renforcer le fantasme d’un eldorado européen qui n’existe pas. Les candidats à l’émigration se font donc toujours plus nombreux, pour le plus grand bonheur des passeurs, milices et mafias dont nos dirigeants se font finalement les complices. Les morts en Méditerranée sont aussi la conséquence de cette politique.

L’avenir des Africains ne se trouve pas en Europe, tout comme l’avenir de l’Europe n’est pas de devenir l’Afrique !

À chaque peuple son identité, sa terre, et son avenir à bâtir.

L’immeuble du 288 boulevard Saint-Germain héberge la représentation en France de la Commission européenne et le bureau d’information du Parlement européen en France. (Wikipédia)

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