Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/04/2015

Action discrète: l'association Keufs Watch

Jugement : briser un bracelet électronique n’est pas un crime

Jean-Luc Moindrot avait fui son domicile de Nancy en juin dernier avant d’être interpellé, trois semaines plus tard, à la frontière espagnole.

Briser un bracelet électronique alors qu’on n’est plus en détention mais simplement sous «surveillance judiciaire», n’est pas une évasion: la cour d’appel de Nancy a tranché en ce sens mercredi en relaxant un violeur multirécidiviste. Jean-Luc Moindrot, 48 ans, avait été condamné en première instance à 18 mois de prison pour avoir fui début juin son domicile de Nancy avant d’être interpellé trois semaines plus tard à la frontière espagnole. Mais lors de son deuxième procès, le 4 mars dernier, l’avocat général avait requis la relaxe. Car si le bracelet électronique peut permettre à certains détenus de bénéficier d’aménagements de peine, Jean-Luc Moindrot, lui, avait déjà purgé la sienne lorsqu’il s’est vu placer sous surveillance judiciaire, compte tenu de son caractère dangereux de violeur en série.


Il voulait voir la mer

Le quadragénaire avait en effet été condamné en 1991 à Orléans à 9 ans d’emprisonnement pour un viol, puis en 2001 à Auxerre à 20 ans de réclusion, dont 13 ans de sûreté, pour trois nouveaux viols. «Avec les réductions et les remises de peine, il arrivait en fin de peine le 3 décembre 2013»…

Source

via Fdesouche.com

B. Cazeneuve : le mouvement identitaire sera ciblé par la loi sur le renseignement

Le ministre de l’Intérieur estime notamment que des groupuscules comme le mouvement identitaire, proche de l’extrême droite, peuvent se trouver à « l’origine de violences portant atteinte aux principes fondamentaux de la République« .


« Notre objectif est, par des mesures de police administrative, sous le contrôle du juge des libertés, de prévenir des atteintes graves à la paix sociale. » Mardi, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve était auditionné par la Commission des lois à propos du projet de loi sur le renseignement. Il a refusé d’exclure du champ du texte les mouvements sociaux.

Le ministre répondait au député socialiste Pascal Popelin, qui annonçait que le groupe SRC envisageait de déposer un amendement précisant le champ d’action des services de renseignement. Dans sa rédaction actuelle, regrette le député, le texte permet des « interprétations extensives » qui pourraient être utilisées « à l’encontre des mouvements sociaux ».

« Que les choses soient claires, il y a des mouvements qui, en raison des actions qu’ils déclenchent, peuvent se trouver à l’origine de violences portant atteinte aux principes fondamentaux de la République », a rétorqué Bernard Cazeneuve, qui pense notamment « au mouvement identitaire ».

LCP

via Fdesouche.com

Zemmour, Classement des lycées 2015 : « C’est l’école des fans ! »

RTL

via Fdesouche.com