Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/03/2015

L'image du jour

mossoul,ei,isis,daech,massacre,chrétiens,chaldéens,irak

Photo de chrétiens massacrés par l'Etat Islamique en Irak.

Source

Le président de Radio France aurait dépensé 100.000 euros pour la "rénovation de son bureau"

Les dépenses de la direction de Radio France font l'objet d'une enquête de l'inspection générale des Finances, un service du ministère des Finances, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier, confirmant des informations du journal Le Monde.

Cette enquête "diligentée par les ministères de la Culture et des Finances pour vérifier les dépenses de la présidence, de la direction générale et du comité directeur de Radio France", selon le quotidien, intervient après la révélation de travaux dans le bureau du président du groupe Mathieu Gallet pour quelque 100.000 euros.

L'inspection générale des Finances, considérée comme l'un des services clé de Bercy, "exerce une mission générale de contrôle, d'audit, d'étude, de conseil et d'évaluation en matière administrative, économique et financière", selon sa propre définition.

D'après Le Monde, la mission doit rendre ses conclusions "dans une quinzaine de jours".

Radio France a dépensé quelque 100.000 euros pour la rénovation cet hiver du bureau de son président Mathieu Gallet, loin des 34.500 euros prévus initialement, a indiqué à l'AFP le groupe public mardi, confirmant une information du Canard enchaîné paru mercredi.

Le climat social au sein de Radio France est actuellement dégradé par une grève illimitée lancée jeudi par plusieurs syndicats, sur fond de craintes d'un plan d'économies avec réduction des effectifs.

Boursorama

PNF:

Ces révélations sur le train de vie (et peut-être le détournement de fonds: l'enquête le dira, ou pas...) du président de Radio France sont probablement dûes au conflit social actuellement en cours au sein de cette institution publique. Autrement dit, paradoxalement, cette affaire ne serait probablement jamais sortie s'il n'y avait pas eu un plan d'économies à Radio France...

Combien d'autres scandales de ce genre dans la fonction publique en France, et qui ne sortiront jamais ?

Pendant que certains profitent des largesses de l'argent public, la dette de l'Etat augmente de 5000 euros chaque seconde, soit 432 millions d'euros chaque jour...

Et on veut nous faire croire que l'arrivée du Front National au pouvoir serait une mauvaise chose...

Attaque de RER à Juvisy (Màj : une seconde attaque à Saint-Michel-sur-Orge, au moins 6 plaintes)

Mise à jour du 19 mars 2015

Une double attaque dimanche matin. C’est une jeune fille de 17 ans qui a donné l’alerte. Dimanche matin, vers 5 heures, elle monte dans le RER D, en direction de Paris, lorsqu’en gare de Juvisy, à 20 kilomètres au sud de la capitale, elle voit monter dans sa rame entre 20 et 25 jeunes. Certains viennent lui prendre de force le smartphone qu’elle a glissé dans sa proche ; d’autres montent à l’étage du train. Une deuxième victime porte plainte peu après les faits.

Depuis, les enquêteurs ont découvert que le groupe de voleurs venait de commettre les mêmes agissements, sur la ligne C du RER, dès 4h30 du matin, entre Saint-Michel-sur-Orge et Juvisy. Concernant cette première attaque, quatre victimes, qui se sont fait voler leurs portables et leurs portefeuilles, ont porté plainte.

Source


Mise à jour du 18 mars 2015

L’attaque, dimanche, d’un RER à Juvisy-sur-Orge a-t-elle été dissimulée pour éviter de perturber le plan de communication du premier ministre, en déplacement lundi soir dans l’Essonne dans le cadre des élections départementales ? C’est la thèse que semble avancer la droite tandis que les vols subis par plusieurs passagers ont été révélés mardi soir par Le Parisien, près de 48 heures après les faits.

Dans un tweet publié mardi soir, l’ancienne ministre UMP Valérie Pécresse, qui vise la présidence de la région Île-de-France, s’interroge: «Attaque du RER D à Juvisy dimanche: le premier ministre était-il au courant quand il a tenu son meeting essonnien à Evry hier (lundi)? #dissimulation».

Proche de l’ancienne ministre, Robin Reda, l’édile UMP de Juvisy-sur-Orge, partage le même doute. «Le maire de Juvisy pas informé en deux jours, affaire étouffée?», note-t-il sur le réseau social. Ce mercredi, il s’agace de la «minimisation de l’attaque, après la dissimulation». Au Scan, il s’étonne: «J’ai appris cette affaire par la presse. Personne n’a été prévenu alors qu’il existe une cellule de veille. Pourquoi cette omerta? Ça ne m’étonnerait pas que Manuel Valls ait voulu cacher le côté obsur de l’Essonne». [...]

Source


Article du 17 mars 2015

Une rame du RER D a été la cible d’une attaque de grande ampleur dimanche matin en gare de Juvisy-sur-Orge. Une vingtaine d’individus se sont introduits à l’intérieur du wagon à double niveau peu après 5 heures du matin.

Là, ils se divisent en deux groupes et se mettent à importuner puis à dépouiller souvent de façon violente les passagers présents dans les deux niveaux de la rame. Plusieurs plaintes ont été déposées.

(…) Le Parisien

via Fdesouche.com

Racisme anti-blanc: chronique d'une haine qui existe

Racisme anti-blanc : chronique d'une haine qui existe

 

15/02/2015 – PARIS (NOVOPress)


Gérald Pichon est l’auteur de « Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas », sorti il y a maintenant deux ans.

Les dernières semaines ont livré malheureusement leurs flots d’agressions anti-blanches/anti-françaises. Aucune association antiraciste (Sos Racisme, Mrap, Licra, Ligue des Droits de l’Homme) ne s’est portée partie civile.

En voici une liste non exhaustive, montrant l’ampleur du phénomène.

Lire l'article sur Novopress