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18/03/2015

Abattage hallal à la Mecque lors de la fête du Hajj (vidéo)



En France, les mêmes choses se passent plus ou moins de la même manière dans les abattoirs hallal, où les bêtes ne sont pas étourdies avant d'être égorgées. Les Français sont forcés de manger sans le savoir cette viande hallal (qui constituerait plus de 50% de toute la viande commercialisée en France) car les députés UMPS ont refusé de voter pour une traçabilité de la viande hallal.

 

Vidéo en lien: Abattoir hallal en Belgique


Gaia: enquête 2009 sur l'abattage rituel halal

 

Le dessin du jour (en anglais)

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Citation du jour

La citation du jour date de 1880... mais garde un fort parfum d'actualité:

"Si quelqu’un possédait le génie mordant d’Aristophane, quelle prodigieuse comédie il pourrait faire aujourd’hui ! Du haut en bas de la société, le ridicule coule intarissable, et le rire est éteint en France, ce rire vengeur, aigu, mortel, qui tuait les gens aux siècles derniers mieux qu’une balle ou qu’un coup d’épée. Qui donc rirait ? Tout le monde est grotesque ! Nos surprenants députés ont l’air de jouer sur un théâtre de guignols. Et comme le chœur antique des vieillards, le bon Sénat hoche la tête, sans rien faire ni rien empêcher.

On ne rit plus. C’est que le vrai rire, le grand rire, celui d’Aristophane, de Montaigne, de Rabelais ou de Voltaire ne peut éclore que dans un monde essentiellement aristocratique. Par « aristocratie » je n’entends nullement parler de la NOBLESSE, mais des plus intelligents, des plus instruits, des plus spirituels, de ce groupement de supériorités qui constitue une société. Une république peut fort bien être aristocratique, du moment que la tête intelligente du pays est aussi la tête du gouvernement.

Ce n’est point le cas parmi nous. Mais le plus grave, c’est qu’une telle débandade existe, que les salons parisiens eux-mêmes ne sont plus que des halles à propos médiocres, si désespérément plats, incolores, assommants, odieux, qu’une envie de hurler vous prend quand on écoute cinq minutes les conversations mondaines.

Tout est farce, et personne ne rit. Voici, par exemple, la Ligue pour la revendication des droits de la femme ! Les braves citoyennes qui partent en guerre ne nous ouvrent-elles pas là une Californie de comique ? [...] "

La Lysistrata moderne, par Guy de Maupassant, Le Gaulois, 30 décembre 1880.

 

Pour Jean-Marie Le Pen, les Français de souche ont des droits moraux supplémentaires

Itélé – 16/03/15  (cliquer sur l'image pour accéder à la vidéo)

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via Fdesouche.com

François Fillon: "J'ai tremblé pour Israël pendant la guerre du Kippour" (fév 2014)

 

N’oubliez pas Jean-Jacques Le Chénadec et Jean-Claude Irvoas, les vraies victimes des émeutes de 2005

Jean-Jacques Le Chénadec (61 ans)

Le drame s’était déroulé le 4 novembre 2005 à Stains (93) , un de ces soirs d’émeutes qui embrasaient les banlieues.

La victime était d’ailleurs descendue avec l’un de ses voisins éteindre un feu de poubelles, boulevard Maxime-Gorki, lorqu’avait éclaté une altercation avec un groupe de jeunes.

Frappé d’un coup de poing, au pied de son immeuble de Stains, la victime, âgée de 61 ans, avait sombré dans le coma et était décédée deux jours plus tard.

Salaheddine Alloul, son meurtrier, n’a été condamné qu’à 5 ans de prison pour le coup mortel qui a entraîné la mort de Jean-Jacques Le Chenadec.

Jean-Claude Irvoas (56 ans)


 

Dans l’après-midi du 27 octobre 2005 à Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), une brève altercation mettait aux prises un homme et trois individus. Le premier chutait lourdement sur le trottoir : il succombait peu après, en dépit de tentatives de réanimation.


Il s’appelait Jean-Claude Irvoas. Salarié par un spécialiste de l’éclairage urbain, âgé de 56 ans, il voulait photographier un lampadaire pour enrichir son catalogue. Sa compagne et sa fille ont assisté à la scène tragique, filmée de surcroît par une caméra de vidéosurveillance.

A l’issue du procès de novembre 2007, l’avocat général avait requis des peines allant de 5 à 18 ans d’emprisonnement pour les quatre comparses. Après un délibéré de plus de sept heures, la cour et les jurés ont revu à la baisse les sanctions : 2 ans de prison pour Sébastien Béliny, antillais, simple guetteur, 12 années de réclusion pour MM. Diallo, franco-sénégalais, et Brighet, franco-algérien, complices du crime, et, enfin, 15 ans pour Benoît Kusonika, franco-congolais, son auteur.

Ce jeune homme né à Limoges, 25 ans lors des faits, se montrait parfois violent avec sa compagne d’alors. Il avait passé une nuit blanche et fumé quelques joints lorsque son chemin a croisé celui de la victime.

Le Figaro (article complet avec témoignage de la fille de la victime)

via Fdesouche.com