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14/02/2015

Un parti communautariste musulman en lice pour les élections départementales : du multiculturalisme à l'éclatement de la nation

Dans son dernier roman, Soumission, Michel Houellebecq décrit l'arrivée au pouvoir d'une formation politico-religieuse baptisée « Fraternité musulmane ». Un sujet auquel l'actualité donne un étonnant écho à travers l'émergence d'un parti politique ouvertement communautaire, l'Union des Démocrates Musulmans de France (UDMF), qui veut présenter des candidats dans 8 cantons aux prochaines élections départementales. Si cette présence s’avère marginale pour le moment, elle n’en constitue pas moins un symbole fort d’une évolution inquiétante car ces candidatures témoignent d’une volonté de remise en cause de l'identité et de l’unité de la seule communauté devant être reconnue en France : la communauté nationale.

Najib Azergui, fondateur de l’UDMF, va même plus loin : il affirme qu’il souhaiterait récolter les 500 signatures nécessaires pour présenter un candidat à l’élection présidentielle de 2017. Nous voici revenu au roman de Houellebecq... De telles ambitions doivent alerter tous nos compatriotes. Elles n’auraient pu voir le jour si l’UMP et le PS n’avaient mené conjointement une politique d’immigration massive et de faiblesse face aux revendications communautaristes rendant inopérante l’assimilation républicaine.

Si nous sommes encore loin de la soumission du livre de Houellebecq, malgré des signaux préoccupants que l'on doit prendre au sérieux, nous voyons en revanche comment le multiculturalisme pourrait conduire peu à peu à l'éclatement de la Nation. Lors des élections départementales, face aux revendications portées par ce parti (autorisation du voile à l'école, instauration de la finance islamique, droit de vote des étrangers, développement de l'économie halal) et face aux élus UMPS qui ont permis son émergence, la réponse portée par les candidats du FN-RBM est claire, sereine mais forte : la fierté française et les valeurs républicaines !

Nicolas Bay

Secrétaire Général du Front National

Frontnational.com

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Dessin de Ali Dilem

 

Le bombardement de Dresde en février 1945 par les Anglo-Américains (documentaire)

Il est difficile de chiffrer le nombre exact de victimes, car la plupart d’entre elles ont été vaporisées par les bombes incendiaires. Les secours ont entassé et mis le feu aux cadavres trouvés dans les décombres, afin d’éviter les épidémies. La majorité des victimes sont mortes brûlées dans l’asphalte en fusion, incinérées dans des caves ou asphyxiées par le monoxyde de carbone et le manque d’oxygène. [...]

D'autres bombardements sur l'Allemagne (Berlin et Hambourg lors de l'Opération Gomorrhe) furent aussi très meurtriers mais celui de Dresde a plus profondément choqué les esprits, peut-être parce que c'était une ville d'arts et de culture et qu'elle n'avait pas d'intérêt stratégique (pouvant justifier une attaque aussi lourde) si on considère qu'Albertstadt, le fort militaire de Dresde, n'a pas été bombardé.


Certains voient aujourd'hui la destruction de Dresde comme un crime de guerre motivé notamment par le besoin de venger le bombardement de Coventry par la Luftwaffe en novembre 1940, alors que d'autres considèrent que tous les moyens devaient être utilisés pour mettre fin le plus rapidement à la guerre et en définitive, épargner des vies humaines. Quoi qu'il en soit, Winston Churchill lui-même s'est désolidarisé de ce bombardement, quelques semaines après, dans un memorandum adressé à l'état-major britannique : " Il m’apparait que le moment est venu de se demander si la question du bombardement des villes allemandes dans le but d'augmenter la terreur ou pour d'autres raisons ne devrait pas être réévaluée... la destruction de Dresde constitue un sérieux doute sur la conduite des bombardements alliés ".

Wikipédia