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22/10/2014

Alain Duhamel et le modèle d’intégration canadien

RTL  via Fdesouche.com

Grand Remplacement culturel: « C’est la hess » , « J’ai la seum ! », un dictionnaire « Ados-Français »

Le Dictionnaire Ados-Français réunit 500 mots et expressions utilisées par les jeunes au quotidien. Son auteur, Stéphane Ribeiro, ancien consultant en stratégie et organisation, Stéphane Ribeiro est auteur pour des émissions d’humour et d’actualité à la télévision : il a travaillé notamment pour Alain Chabat, Thierry Ardisson, et Mathieu Madénian et a publié « Tout sur Nous, Tout sur moi » et « C’était mieux avant ». Il explique cette « démarche originale » à metronews.

Pour que le livre ait un sens, il fallait que ce soit des expressions vraiment utilisées par des jeunes d’aujourd’hui. J’ai fait un premier travail avec les ados autour de moi. Ensuite, je suis allé voir des lycéens de banlieue pour vérifier que j’avais les bonnes définitions.

Présentation de l’éditeur : « C’est la hess » … « T’as trop le swag, BG ! » … « Il m’a trop fait golri, ce bolosse !» … « C’est ma besta »… Autant d’énigmes lâchées à l’oreille de parents hagards, ayant subitement l’impression d’héberger un Serbo-croate à domicile…

 

 

Comment avez-vous choisi les mots retenus ?

[...] Je voulais qu’ils participent au livre, qu’ils s’y retrouvent. Les ados étaient super contents de faire ça, qu’on s’intéresse à eux, et qu’on ne les prenne pas de haut. [...]

Plus sérieusement, le Français est-il en danger ?

Le Français est une langue vivante, ça ne servirait à rien de la mettre dans un bocal. Si on arrête de malmener une langue, c’est qu’elle est morte. Ce n’est pas un appauvrissement, au contraire. Il y a toujours eu de vrais artistes de la langue, comme Gainsbourg ou Audiard. Le problème, c’est les jeunes qui ne parlent que comme ça. Il faut juste continuer à expliquer qu’il y a plusieurs langages. Ma fille sait très bien ce qu’elle peut utiliser dans la cour d’école et pas à la maison.

metronews

via Fdesouche.com

 

Article sur le même sujet :

Florent Pagny : "Je préfère Miami pour mes enfants plutôt que de les entendre parler arabe en France"

Les policiers ne veulent plus assurer la sécurité du député Meyer Habib

Depuis ses prises de position favorables à Israël, l’UDI Meyer Habib est protégé par des policiers. Ils ont décidé d’exercer leur droit de retrait.

Depuis cet été et ses prises de position favorables à Israël, le député UDI Meyer Habib est protégé par quatre policiers du Service de la protection (SDLP ex-SPHP). Directeur général de Vendôme S.A, spécialisé dans le diamant, le parlementaire poursuit ses activités professionnelles si l’on en croit sa déclaration d’intérêt et d’activité remise à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique.

Alors qu’il souhaitait transporter de la marchandise dans le cadre de sa fonction de chef d’entreprise, il s’est heurté à une fin de non-recevoir de la part des policiers chargés de sa protection. Ils ont exercé leur droit de retrait. « Il voulait convoyer près de 20 000 euros de diamants. Nos collègues de la protection rapprochée ne sont pas formés à ce genre de mission qui relève du transport de fonds privés », assure un syndicaliste. « Ils se sont trompés, il s’agissait de produits factices », rétorque l’élu au Point. Sa protection a été maintenue par le ministère de l’Intérieur, mais, désormais, les officiers de sécurité ne l’autorisent plus à monter dans leur véhicule.

Le Point

via Fdesouche.com

Seine-Saint-Denis : un rapport confidentiel du rectorat rendu public

Un rapport du rectorat recensant des actes de violences scolaires en Seine-Saint-Denis a été rendu public alors qu’il était supposé rester confidentiel. Forcément, les professeurs et parents d’élèves regrettent la stigmatisation conséquente à ce type de document.

Contre-Info

Conversations entre Roms : « Viens en Italie, on y vole facile »

« Laisse tomber la Roumanie. Viens en Italie. Ici, on vole facile ».
« En Roumanie, tu prends sept ou huit ans pour un survêtement, en Italie, c’est différent… »

Echantillon des conversations enregistrées pendant plusieurs semaines par la police italienne (…)

Lire l’article sur Novopress

via Fdesouche.com

Dessin du jour

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« Fdesouche force le maire FN de Fréjus à arrêter la construction d’une mosquée » (Les Inrocks)

Le travail de Fdesouche a porté ses fruits. A Fréjus, le maire FN David Rachline a cédé aux pressions de la blogosphère d’extrême droite, en annonçant qu’il prendrait un arrêté contre la construction d’une mosquée.

“Le travail de lobbying de la réinfosphère a porté ses fruits…”. Ce 17 octobre Fdesouche jubile sur son site, où il relaie un article de Var Matin selon lequel le maire FN de Fréjus, David Rachline, pourrait prendre un arrêté exigeant l’abandon du chantier de la mosquée, dans le quartier de La Gabelle. S’ensuit une série d’articles et de tweets antérieurs produits ou relayés par FdeSouche, qui témoignent de sa vigilance sur le sujet.

Le projet de construction d’une mosquée dans le quartier de La Gabelle à Fréjus date d’avril 2011. A cette époque, alors que la ville était administrée par le maire UMP Elie Brun, le permis de construire a été déposé dans le cadre d’un plan de sauvegarde du quartier. Toutes les difficultés économiques et sociales de la ville se concentrent effectivement à La Gabelle, où la population est très majoritairement musulmane : 35% de la population est au chômage et 57% des 15-25 ans sortent de l’école sans aucun diplôme. Selon Elsa Di Meo, conseillère municipale d’opposition à l’époque, l’idée était de “construire une mosquée neuve, pour remplacer la mosquée-garage, et que les musulmans puissent prier dans de bonnes conditions”.

(…) Les Inrocks

via Fdesouche.com

Renaud Camus donnera ce vendredi à Nantes une conférence sur le thème du Grand remplacement

Invité par le cercle Anne de Bretagne, Renaud Camus donnera ce vendredi à Nantes une conférence sur le thème du Grand remplacement. Avant sa venue dans la cité des ducs, l’écrivain a bien voulu répondre à nos questions.

Breizh-info : Vous venez en Bretagne, à Nantes, pour parler de la remigration et du Grand remplacement. Cette région est-elle vraiment touchée par le Grand remplacement ?

Renaud Camus
: Je crois cette région, et notamment Nantes, assez largement touchée par le Grande Remplacement en effet ; mais surtout, quand bien même elle ne le serait pas du tout, cela ne changerait absolument rien à la nécessité d’une prise de conscience nationale et, dirais-je, continentale. J’avoue que je suis exaspéré par ces journalistes ou polémistes remplacistes — inutile de dire que je ne vous mets pas dans ce sac-là… — qui feignent de s’étonner qu’on puisse déplorer le Grand Remplacement si l’on vit à la campagne ou dans des régions où il n’y a pas un immigré. D’abord, les régions où il n’y a pas un immigré, je n’en connais pas beaucoup, mais surtout ces gens ont toujours l’air de supposer qu’on n’a d’opinions politiques ou de conscience patriotique qu’en fonction de ses intérêts propres, de sa propre situation. L’attachement à la nation, ou bien à une civilisation donnée, leur est devenu tellement étranger, tellement inimaginable, que pour eux on ne vote ou ne parle ou ne pense qu’en vertu de ses petits intérêts immédiats et particuliers. C’est contre cette conception épicière du monde, tout économique, utilitariste, qu’il s’agit de s’insurger.

Breizh-info : Comment la remigration est possible dans les faits, alors que le métissage notamment est une réalité de plus en plus marquée ?

Renaud Camus : La remigration n’est pas une question de race ou d’appartenance ethnique, même si dans les faits il y a bien sûr des recoupements. Elle est une question de civilisation, de choix de société, d’amour ou d’inamour de la France, de la culture française, du mode français et européen d’habiter la terre. Les personnes éventuellement concernées par la remigration, c’est-à-dire étrangères à notre culture, à notre civilisation, à notre mode de vie, à notre amour de la patrie, sont visiblement et audiblement bien assez nombreuses, hélas, pour qu’il n’y ait pas à s’inquiéter de cela.

Source

via Fdesouche.com

Samedi : journée de réinformation de Polémia (màj vidéo)

TV Libertés a consacré un reportage à cette journée

 

 

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