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09/10/2014

De nombreux chefs de la collaboration furent-ils membres de la LIC(R)A ?

18/03/10

Eric Zemmour s’est exprimé cette semaine [mars 2010 NDLR] sans prendre de pincettes sur les liens troublants entre la LIC(R)A, la gauche dreyfusarde et la collaboration (cf vidéo à partir de 11 minutes). La LICRA n’a pas répondu…

 



« L’antisémitisme le plus puissant n’est pas en 40, contrairement à ce qu’on croit aujourd’hui, celui de l’extrême-droite et de l’Action Française : le plus virulent dans les années 40 sous l’occupation c’est l’antisémitisme de la gauche pacifiste, de Laval et de tous les autres. (…) L’historien israélien Simon Epstein** montre que la plupart des collabos viennent de la gauche pacifiste, socialiste, radicale, antiraciste : il note tous les discours qu’ils faisaient à la LICRA dans les années 20 contre l’antisémitisme et le racisme, et tous ceux-là sont passés à la collaboration ! »

 Caricature tirée du journal collaborationniste Au Pilori, 1er octobre 1942

**Spécialiste de l’antisémitisme, Simon Epstein a constitué au fil des ans un socle informatif considérable sur les itinéraires contrastés de deux catégories de Français : ceux qui protestèrent contre le racisme et l’antisémitisme dans les années 1920 et 1930, avant de s’engager dans la Collaboration ; et ceux qui exprimèrent une hostilité ou un préjugé à l’égard des Juifs, puis qui se retrouvèrent, l’heure venue, dans la Résistance. Ce livre ne retrace ni l’histoire de l’antiracisme ni celle de l’antisémitisme ; il est l’histoire du passage de l’un à l’autre.

Les principaux chefs de la Collaboration ont traversé, chacun à sa manière, une phase de dénonciation de la haine antijuive ; beaucoup furent même militants de la Ligue internationale contre l’antisémitisme (LICA, l’ancêtre de la LICRA). Réciproquement, de nombreux résistants, et non des moindres, sont originaires d’une extrême droite nationaliste qui, dans les années 1930, fut fertile en prises de positions hostiles aux Juifs. C’est ce phénomène paradoxal que Simon Epstein décrit puis analyse, en s’appliquant aussi à démonter l’occultation dont ces chassés-croisés, déroutants certes mais significatifs, ont fait l’objet dans les mémoires françaises.

Biographie de l’auteur
Économiste et historien, Simon Epstein vit à Jérusalem depuis 1974. Auteur de plusieurs ouvrages sur le racisme et l’antisémitisme, il a publié, en 2001, un livre remarqué sur Les Dreyfusards sous l’Occupation.

Voir la page Amazon de l’ouvrage

Fdesouche.com

Eric Zemmour : « Le peuple français ne reconnaît plus la France »

Eric Zemmour, journaliste et écrivain, auteur de « Le Suicide français » chez Albin Michel, a répondu aux questions de Ruth Elkrief sur son nouveau livre. Depuis le début de sa commercialisation, il se vend à 5.000 exemplaires par jour. L’auteur y dresse un constat accablant du déclin de notre pays depuis 1970. « Je pense que le peuple français est effaré par le cours que prend son pays, il ne reconnaît plus la France et se dit pourquoi on nous a fait ça ? » a-t-il déclaré.

« Il n’y a pas de danger antisémite d’extrême droite en France. Le danger antisémite vient d’ailleurs. Ce n’est pas l’extrême droite qui va dans la rue et qui crie ‘Mort aux juifs’, ce n’est pas l’extrême droite qui va à Sarcelles casser du juif. »

« Il y a aujourd’hui un antisémitisme dans une partie de la population arabo-musulmane. Ce sont eux qui vont casser du juif à Sarcelles. »

« Le peuple français, dans son tréfonds, est effaré par le cours que prend son pays. Profondément le peuple français ne reconnaît plus la France. »

BFM via Fdesouche.com

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